Avec le recul. Éditoriaux (2003-2016) et regards d'aujourd'hui
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- Nombre de pages324
- FormatePub
- ISBN978-2-924606-76-6
- EAN9782924606766
- Date de parution26/09/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurProductions Somme Toute
Résumé
Josée Boileau a été éditorialiste et responsable de la page Idées du Devoir de 2003 à 2007 puis rédactrice en chef de 2009 à janvier 2016. Elle s'est replongée dans les centaines d'éditoriaux qu'elle a écrits pour en faire un recueil, en y ajoutant son regard d'aujourd'hui!
« Prendre position dans le feu du quotidien c'est exigeant, essoufflant, enthousiasmant, exaspérant. L'urgence est une passion, une drogue pour qui s'y adonne.
Mais il y a l'après. L'après immédiat, auprès du lectorat : le propos est-il sensé ? S'est-on bien expliqué ? A-t-on bien compris, a-t-on été compris ? Cet éditorial n'est-il qu'un bruit de plus dans le flot des prises de position ou ajoute-t-il au débat ? Mais déjà se presse la prochaine tombée. C'est le tour d'un autre sujet. Les éditoriaux ne sont pas faits pour durer. Et pourtant, nul besoin de s'y exercer longtemps pour constater que malgré soi, des thèmes reviennent et que même dans l'instantané, dans le tourbillon du monde, on construit une approche, une cohérence.
Il resterait donc quelque chose ? Pour trouver ces quelques choses, j'ai revisité mes éditoriaux du Devoir, corpus maintenant complété, non comme un recueil à bâtir mais comme un choix à commenter. Avec le recul, quels textes illustrent le mieux mes préoccupations ? Avec le recul, qu'ai-je à dire aujourd'hui de tous ces thèmes qui m'ont passionnée ? Avec le recul, où en est donc ce Québec que j'aime tant.
» - Josée Boileau
Mais il y a l'après. L'après immédiat, auprès du lectorat : le propos est-il sensé ? S'est-on bien expliqué ? A-t-on bien compris, a-t-on été compris ? Cet éditorial n'est-il qu'un bruit de plus dans le flot des prises de position ou ajoute-t-il au débat ? Mais déjà se presse la prochaine tombée. C'est le tour d'un autre sujet. Les éditoriaux ne sont pas faits pour durer. Et pourtant, nul besoin de s'y exercer longtemps pour constater que malgré soi, des thèmes reviennent et que même dans l'instantané, dans le tourbillon du monde, on construit une approche, une cohérence.
Il resterait donc quelque chose ? Pour trouver ces quelques choses, j'ai revisité mes éditoriaux du Devoir, corpus maintenant complété, non comme un recueil à bâtir mais comme un choix à commenter. Avec le recul, quels textes illustrent le mieux mes préoccupations ? Avec le recul, qu'ai-je à dire aujourd'hui de tous ces thèmes qui m'ont passionnée ? Avec le recul, où en est donc ce Québec que j'aime tant.
» - Josée Boileau
Josée Boileau a été éditorialiste et responsable de la page Idées du Devoir de 2003 à 2007 puis rédactrice en chef de 2009 à janvier 2016. Elle s'est replongée dans les centaines d'éditoriaux qu'elle a écrits pour en faire un recueil, en y ajoutant son regard d'aujourd'hui!
« Prendre position dans le feu du quotidien c'est exigeant, essoufflant, enthousiasmant, exaspérant. L'urgence est une passion, une drogue pour qui s'y adonne.
Mais il y a l'après. L'après immédiat, auprès du lectorat : le propos est-il sensé ? S'est-on bien expliqué ? A-t-on bien compris, a-t-on été compris ? Cet éditorial n'est-il qu'un bruit de plus dans le flot des prises de position ou ajoute-t-il au débat ? Mais déjà se presse la prochaine tombée. C'est le tour d'un autre sujet. Les éditoriaux ne sont pas faits pour durer. Et pourtant, nul besoin de s'y exercer longtemps pour constater que malgré soi, des thèmes reviennent et que même dans l'instantané, dans le tourbillon du monde, on construit une approche, une cohérence.
Il resterait donc quelque chose ? Pour trouver ces quelques choses, j'ai revisité mes éditoriaux du Devoir, corpus maintenant complété, non comme un recueil à bâtir mais comme un choix à commenter. Avec le recul, quels textes illustrent le mieux mes préoccupations ? Avec le recul, qu'ai-je à dire aujourd'hui de tous ces thèmes qui m'ont passionnée ? Avec le recul, où en est donc ce Québec que j'aime tant.
» - Josée Boileau
Mais il y a l'après. L'après immédiat, auprès du lectorat : le propos est-il sensé ? S'est-on bien expliqué ? A-t-on bien compris, a-t-on été compris ? Cet éditorial n'est-il qu'un bruit de plus dans le flot des prises de position ou ajoute-t-il au débat ? Mais déjà se presse la prochaine tombée. C'est le tour d'un autre sujet. Les éditoriaux ne sont pas faits pour durer. Et pourtant, nul besoin de s'y exercer longtemps pour constater que malgré soi, des thèmes reviennent et que même dans l'instantané, dans le tourbillon du monde, on construit une approche, une cohérence.
Il resterait donc quelque chose ? Pour trouver ces quelques choses, j'ai revisité mes éditoriaux du Devoir, corpus maintenant complété, non comme un recueil à bâtir mais comme un choix à commenter. Avec le recul, quels textes illustrent le mieux mes préoccupations ? Avec le recul, qu'ai-je à dire aujourd'hui de tous ces thèmes qui m'ont passionnée ? Avec le recul, où en est donc ce Québec que j'aime tant.
» - Josée Boileau