Asiel in de ruimte - E-book - Epub fixed layout

Edition en néerlandais

Note moyenne 
 Walthéry et  Laudec - Asiel in de ruimte.
Een leuk album met allemaal identiteitsverwarringen omdat de patiënten uit een asiel meemochten op vakantie zonder vluchtbegeleiding. Kapingen... Lire la suite
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Résumé

Een leuk album met allemaal identiteitsverwarringen omdat de patiënten uit een asiel meemochten op vakantie zonder vluchtbegeleiding. Kapingen mislukken omdat ze voor gewone gekken worden aanzien, het uitwisselen van documenten wordt verstoord omdat iedereen beweert de juiste tussenpersoon te zijn. Als dat maar goed afloopt! Te gek om los te lopen.

Caractéristiques

  • Caractéristiques du format Epub fixed layout
    • Taille
      45 619 Ko
    • Protection num.
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À propos des auteurs

"Le divan, c'est mon outil de travail. Dans presque toutes les pièces de la maison il y en un, ou quelque chose qui lui ressemble." Raoul Cauvin, scénariste aux mille et une histoires, l'avoue humblement : il ne peut réfléchir correctement que lorsqu'il est allongé. Il ajoute : "D'ailleurs, je vous défie de penser les yeux ouverts !" Né à Antoing le 26 septembre 1938, Cauvin est l'une des rares personnes à avoir suivi pendant cinq ans des études de lithographie publicitaire à l'Institut Saint-Luc de Tournai, pour découvrir en entrant dans la vie active que cette profession n'existait plus ! Suivent toute une série de petits métiers et notamment un emploi dans une usine de boules de billard, qui lui développe une véritable passion pour ce jeu sur tapis vert où l'on ne mise guère plus qu'une tournée générale. Il entre en 1960 aux Éditions Dupuis comme...
lettreur (passage obligé s'il en est), puis devient rapidement caméraman au département dessins animés où il restera 7 ans. Durant ces années, il se découvre une autre passion : le scénario. C'est Charles Dupuis lui-même qui lui offre sa chance. Cauvin fait ses premières armes avec des collaborateurs internes de la Maison : Ryssack ("Arthur et Léopold"), Gennaux ("L'Homme aux phylactères", "Loryfiand et Chifmol"), Degotte, Carlos Roque et Vittorio.
A ses débuts, il travaille avec une jeune dessinatrice parisienne : Claire Bretécher ! Leur collaboration donne naissance à une série intitulée "Les Naufragés". 1968 est l'année clef. Cauvin et Salvérius lancent leur propre western : "Les Tuniques Bleues", une bande dessinée d'humour sur fond de guerre de Sécession. A la mort du dessinateur, il propose la reprise de la série à Lambil qui la développera jusqu'aux hautes altitudes des best-sellers.
Cette saga dépasse les quinze millions d'exemplaires vendus en français et fait l'objet d'innombrables traductions à travers l'Europe. Toujours responsable de la vieille machine Rank tirant les copies et travaux d'agrandissement ou de réduction pour les rédactions et les auteurs de passage, Cauvin est désormais au centre de la toile et, grâce à sa renommée grandissante, il se voit sollicité par tous les dessinateurs à court de scénario. Une série de succès s'amorce avec Berck ("Sammy" et "Lou"), Mazel ("Caline et Calebasse", puis "Boulouloum et Guiliguili" et "Les Paparazzi"), Macherot ("Mirliton"), Walthéry ("Le Vieux bleu"), Counhaye ("Les Naufragés de l'espace"), Lambil ("Pauvre Lampil"), Kox ("L'Agent 212"), Sandron ("Godasse et Godaille"), Bercovici ("Les Grandes Amours contrariées"), Nic ("Spirou et Fantasio"), Carpentier ("Les Toyottes"), etc.
En parallèle, il écrit des scénarios pour les personnages de dessins animés de la Maison ("Musti", Tip et Tap", "Les Pilis") et leurs produits dérivés. S'il excelle dans l'aventure humoristique pour tous les publics et toutes les formes du gag visuel, il évolue dans les années 80 vers des productions plus incisives, proches souvent de l'humour noir et de la parodie délirante. Ainsi le veut sa nouvelle vague de dessinateurs : Bercovici ("Les Femmes en Blanc"), Hardy ("Pierre Tombal"), Glem ("Les Voraces"), Laudec ("Cédric" et "Taxi-girl"), Malik ("Cupidon"), Bédu ("Les Psy"), Carpentier ("L'Année de la bière", puis "Du côté de chez Poje"), Jean-Pol (la reprise de "Sammy" après le départ en retraite de Berck), etc. Rares sont les échecs : son imagination, la qualité de ses dialogues et le métier mis dans ses découpages qu'il livre complets à ses auteurs représentent une véritable mine d'or.
Le grand public est assuré de toujours trouver sous sa signature un album populaire et agréable à lire. C'est un don et il est extraordinaire qu'il puisse l'exercer sur autant de séries parallèles, le contraignant à fournir la matière d'une bonne quinzaine de volumes par année, sans jamais la moindre baisse de régime! Cauvin adore chasser les idées comme d'autres les papillons, et comme il le dit lui-même, pourvu que ça dure... Né à Argenteau le 17 janvier 1946, François Walthéry est aiguillé à seize ans vers certains ateliers pratiques de Saint-Luc à Liège où on a senti que l'adolescent était doué pour le dessin, tout en n'ayant pas encore la maturité pour suivre les cours généraux destinés à des étudiants de loin ses aînés.
Un voisin de Cheratte, le dessinateur Mittéï, lui donne quelques conseils de perfectionnement et les scénarios d'une vingtaine de gags de "Pipo" qui sont acceptés pour JUNIOR, le petit frère de TINTIN. En juillet 1963, encore en culottes courtes, il est conduit par sa mère à la rédaction de SPIROU où le seul petit croquis qu'il a avec lui, dans son portefeuille, attire l'attention d'Yvan Delporte, de Charles Dupuis et de Peyo ! Désespérément à la recherche de collaborateurs pour répondre à la demande de planches des Schtroumpfs, Peyo le prend dans son studio, mais découvre rapidement que l'adolescent n'est pas très à l'aise avec les petits lutins bleus.
Il lui faudrait une série plus dynamique. Supervisé au début par Will, Walthéry est dirigé vers la série "Jacky et Célestin", produite pour LE SOIR ILLUSTRÉ. De l'automne 1963 à 1966, Walthéry, sous le pseudonyme de Pop's, en dessine quatre épisodes et développe graduellement son style. Lorsqu'il termine son service militaire, il est jugé apte à assurer la suite de "Benoît Brisefer", série plus ambitieuse que le Maître réserve à SPIROU.
Là aussi, il assumera quatre épisodes, de 1968 à 1973. Parallèlement, il met en route un nouveau personnage sur un scénario de son compagnon de Studio, Gos : "Natacha, hôtesse de l'air" est acceptée dès 1967, mais ce n'est qu'en 1970 que cette petite bonne femme déterminée débarque dans SPIROU. Les rédacteurs devront désormais se relayer pour courir derrière un dessinateur aux retards proverbiaux.
Ce sera pire encore lorsque, le succès aidant, l'éternel gamin honorera de sa présence tous les festivals de France et de Navarre. En trente années d'existence, la pulpeuse créature n'a pas encore atteint les vingt albums ! Les scénaristes (Gos, Borgers, Stoquart, Wasterlain, Tillieux, Mittéï, Cauvin, Mythic, Peyo, Michel Dusart) et les décorateurs (Jidéhem, Mittéï, Will, Wasterlain, Laudec, Georges Van Linthout) se succèdent pourtant à son chevet, mais ses épisodes ont été proposés à doses homéopathiques, d'abord par Dupuis (13 albums en 18 ans), puis par Marsu-Productions à partir de 1989 (une demi-douzaine de titres). Durant les absences de la belle, il arrive au dessinateur de se tourner vers de petits projets plus ou moins éphémères : un recueil des histoires pigeonnantes du "Vieux Bleu" sur scénarios de Cauvin en 1980, un hommage au personnage folklorique liégeois "Tchantchès" en 1988, des plaquettes publicitaires et des calendriers scouts.
Après deux volumes chez Marsu-Productions de son personnage le plus autobiographiques, "Le P'tit Bout de chique", il l'a remis aux soins de Mittéï et il supervise la série "Rubine", dessinée par Dragan de Lazare et scénarisée par Mythic depuis 1993 pour les éditions du Lombard. Laudec ne sera jamais garagiste. Né le 4 juin 1947 dans le sud de l'Italie, il a trois ans lorsque ses parents émigrent en Belgique et s'installent à Liège.
Son père, qui espère pouvoir retourner un jour en Calabre, y fait construire une maison et un garage, rêvant d'un avenir chromé pour son fils. Hélas, celui-ci, excellent élève, gagne un album de SPIROU en collectionnant des bons points à l'école. Le mal est fait : il sera dessinateur de bande dessinée ! En attendant, pour gagner sa vie, il quitte l'école technique avec un diplôme en "électronique et automatismes" pour travailler dans une entreprise de chauffage, puis entre dans un des bureaux d'études des ACEC, à Charleroi. Pendant quelques années, il collabore à divers fanzines belges.
En 1977, il remporte un concours de BD à Cheratte, le fief de Walthéry et de Mittéï. Ce dernier voudrait l'engager comme assistant. Rebuté par les horaires nocturnes de travail du solliciteur, Laudec préfère la sécurité à l'aventure : il continuera à étudier les divers types de matériel électrique durant la journée, mais consacrera ses soirées et week-ends à illustrer pour SPIROU "Les Contes de Curé-la-flûte", un scénario rétro de Mittéï.
Il collabore ensuite avec Walthéry pour les décors de "Natacha" et d'un album du personnage liégeois "Tchanchès". En 1986, lorsque son patron le convoque pour lui demander, non pas de prendre la porte (ce à quoi s'attendaient tous ses camarades), mais de lui dédicacer un de ses albums, il comprend qu'il peut enfin se consacrer entièrement à ses premières amours. Le public est là, prêt à le soutenir ! Son médecin abonde dans ce sens en diagnostiquant un sérieux surmenage.
Il doit choisir entre son métier sérieux et son travail pas sérieux s'il veut s'en sortir sur le plan physique. Encore rédacteur en chef du journal de SPIROU avant de monter à de plus hautes fonctions éditoriales, Philippe Vandooren le met en contact avec Cauvin, scénariste productif des Éditions Dupuis. Cette fois, le courant passe. Ils s'étaient déjà rencontrés à l'époque où Laudec cherchait encore sa voie.
(Cauvin avait eu ce mot : "On dirait que vous dessinez avec une mitraillette dans le dos, tellement vos dessins sont raides!"). Le dessinateur lui soumet en vrac des croquis de personnages divers. Ils flashent sur un gamin. L'idée qui les réunit fait l'unanimité : raconter les aventures d'un garnement, de sa famille et de son école, soit un univers quotidien, bien vivant et toujours renouvelable.
La recette est bonne, car la série "Cédric" compte désormais parmi les best-sellers vendant plus de cent mille exemplaires à la nouveauté. Et le dessinateur y glisse quelques "private jokes" qui échappent à la moyenne de ses lecteurs, mais pas à son entourage. Ainsi, Mlle Nelly, l'institutrice, est sa femme, qui exerce, elle aussi, cette profession. Le traître l'a dessinée telle quelle, très ressemblante.
Elle a simplement changé de coiffure depuis pour ne plus être reconnue dans la rue. Toujours enclin à exercer deux métiers à la fois, Laudec a voulu lancer une seconde série au climat plus réaliste, "Taxi-Girl", également scénarisée par Cauvin. Malgré l'assistance de Michel Chantraine pour les remarquables décors parisiens, il n'a pu en terminer à ce jour que deux albums. Comme bien d'autres collègues, il est désormais contraint, sous la pression des lecteurs, de se consacrer au personnage que réclame le public.

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