Archéologie de la construction en Grand Est

Par : Cédric Moulis
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  • Nombre de pages294
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-38451-138-9
  • EAN9782384511389
  • Date de parution02/04/2025
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurÉditions de l’Université de Lorr...

Résumé

Le colloque ArCoGE, qui s'est tenu les 26 et 27 septembre 2019, a permis de faire le point sur l'état et les conditions de la recherche en archéologie du bâti en région Grand Est. Une soixantaine d'acteurs et partenaires de l'archéologie (universités, SRA, collectivités territoriales, Inrap, architectes) s'étaient ainsi donné rendez-vous, à Nancy, à la Maison des Sciences de l'Homme de Lorraine. Les actes du colloque présentés ici regroupent les articles des différents auteurs selon trois thématiques.
La première, « Enjeux, méthodes et techniques de l'archéologie de la construction », rappelle les cadres légaux et les dernières avancées méthodologiques dans la région. Cette thématique reste essentielle au renouvellement des questionnements formulés sur les bâtiments non seulement pour leur compréhension, mais également pour offrir de nouveaux arguments de réflexion aux professionnels de la restauration et de la conservation du patrimoine.
En second lieu, « Les usages du bois » illustrent l'importance de ce matériau tant dans la construction médiévale que dans la compréhension d'édifices quelquefois très transformés. Si la recherche en ce domaine reste tournée vers les techniques d'assemblage et de mise en ouvre, les questions afférentes aux réseaux d'approvisionnement, aux provenances, aux transports sont maintenant posées. La part des données archéométriques est prépondérante dans cette évolution, mettant en évidence les données relatives aux essences, et les modalités de gestion des populations forestières.
Le troisième thème s'intitule « La pierre et le chantier ». Impossible en effet d'ignorer le matériau pierre, qui est la plupart du temps le seul encore présent dans les édifices. Il doit être redécouvert sans cesse, à la lumière des avancées méthodologiques, des évolutions historiographiques et des opportunités d'investigation. L'objectif est ici de montrer que les considérations inhérentes au chantier de construction lui-même commencent peu à peu à être prises en compte dans les opérations archéologiques.
Ces contributions sont, espère-t-on, les témoins des passerelles qui commencent à se cimenter, en vue d'une meilleure synergie entre les différents acteurs de l'archéologie, lors des interventions de terrain comme dans la législation ou dans la définition de programmes-cadres de la recherche sur la construction.
Le colloque ArCoGE, qui s'est tenu les 26 et 27 septembre 2019, a permis de faire le point sur l'état et les conditions de la recherche en archéologie du bâti en région Grand Est. Une soixantaine d'acteurs et partenaires de l'archéologie (universités, SRA, collectivités territoriales, Inrap, architectes) s'étaient ainsi donné rendez-vous, à Nancy, à la Maison des Sciences de l'Homme de Lorraine. Les actes du colloque présentés ici regroupent les articles des différents auteurs selon trois thématiques.
La première, « Enjeux, méthodes et techniques de l'archéologie de la construction », rappelle les cadres légaux et les dernières avancées méthodologiques dans la région. Cette thématique reste essentielle au renouvellement des questionnements formulés sur les bâtiments non seulement pour leur compréhension, mais également pour offrir de nouveaux arguments de réflexion aux professionnels de la restauration et de la conservation du patrimoine.
En second lieu, « Les usages du bois » illustrent l'importance de ce matériau tant dans la construction médiévale que dans la compréhension d'édifices quelquefois très transformés. Si la recherche en ce domaine reste tournée vers les techniques d'assemblage et de mise en ouvre, les questions afférentes aux réseaux d'approvisionnement, aux provenances, aux transports sont maintenant posées. La part des données archéométriques est prépondérante dans cette évolution, mettant en évidence les données relatives aux essences, et les modalités de gestion des populations forestières.
Le troisième thème s'intitule « La pierre et le chantier ». Impossible en effet d'ignorer le matériau pierre, qui est la plupart du temps le seul encore présent dans les édifices. Il doit être redécouvert sans cesse, à la lumière des avancées méthodologiques, des évolutions historiographiques et des opportunités d'investigation. L'objectif est ici de montrer que les considérations inhérentes au chantier de construction lui-même commencent peu à peu à être prises en compte dans les opérations archéologiques.
Ces contributions sont, espère-t-on, les témoins des passerelles qui commencent à se cimenter, en vue d'une meilleure synergie entre les différents acteurs de l'archéologie, lors des interventions de terrain comme dans la législation ou dans la définition de programmes-cadres de la recherche sur la construction.