Angelika Klüssendorf, née en 1958 à Ahrensbourg, a vécu à Leipzig de 1961 jusqu'à son départ pour la RFA en 1985. Elle vit aujourd'hui à Berlin et consacre son temps à l'écriture. A l'instar de La Fille sans nom, son second roman traduit en français, April, a été couronné de nombreux prix littéraires, dont le prestigieux prix Hermann-Hesse (l'équivalent du Renaudot).
April
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages159
- FormatePub
- ISBN978-2-258-13536-9
- EAN9782258135369
- Date de parution28/01/2016
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille549 Ko
- ÉditeurPresses de la Cité
- TraducteurFrançois Mathieu
- TraducteurRégine Mathieu
Résumé
" April, April, elle fait ce qu'elle désire... Le portrait bouleversant d'une enfant de milieu défavorisé qui devient adulte. " Tobias Becker, Spiegel Online
Au début, il y a une valise avec de maigres affaires et une chambre en sous-location. La jeune fille qui s'est donné le nom d'April - d'après la chanson de Deep Purple - a quitté son foyer social et son apprentissage pour un poste d'employée de bureau.
Elle essaie de trouver ses marques dans le Leipzig de la fin des années soixante-dix, en se heurtant souvent à ses propres limites. Elle franchit cependant toutes les barrières qui lui sont imposées, y compris la frontière qui sépare les deux Allemagne, lorsqu'elle rejoint le Berlin-Ouest des années quatre-vingt. Mais à tout nouveau départ succède une rechute, à tout instant de bonheur une destruction, à toute ivresse le dégrisement.
Et toujours revient la question des modèles de l'enfance, de l'empreinte laissée par une mère irresponsable et un père alcoolique... Après La Fille sans nom (Grand Prix de l'héroïne Madame Figaro 2015), Angelika Klüssendorf signe une nouvelle ouvre bouleversante. Dans une prose sans complaisance ni pathos, elle relate le parcours d'un être qui se libère d'un passé apparemment sans issue. Un roman poignant sur l'adolescence.
Une peinture lucide des conditions sociales avant la chute du Mur.
Elle essaie de trouver ses marques dans le Leipzig de la fin des années soixante-dix, en se heurtant souvent à ses propres limites. Elle franchit cependant toutes les barrières qui lui sont imposées, y compris la frontière qui sépare les deux Allemagne, lorsqu'elle rejoint le Berlin-Ouest des années quatre-vingt. Mais à tout nouveau départ succède une rechute, à tout instant de bonheur une destruction, à toute ivresse le dégrisement.
Et toujours revient la question des modèles de l'enfance, de l'empreinte laissée par une mère irresponsable et un père alcoolique... Après La Fille sans nom (Grand Prix de l'héroïne Madame Figaro 2015), Angelika Klüssendorf signe une nouvelle ouvre bouleversante. Dans une prose sans complaisance ni pathos, elle relate le parcours d'un être qui se libère d'un passé apparemment sans issue. Un roman poignant sur l'adolescence.
Une peinture lucide des conditions sociales avant la chute du Mur.
" April, April, elle fait ce qu'elle désire... Le portrait bouleversant d'une enfant de milieu défavorisé qui devient adulte. " Tobias Becker, Spiegel Online
Au début, il y a une valise avec de maigres affaires et une chambre en sous-location. La jeune fille qui s'est donné le nom d'April - d'après la chanson de Deep Purple - a quitté son foyer social et son apprentissage pour un poste d'employée de bureau.
Elle essaie de trouver ses marques dans le Leipzig de la fin des années soixante-dix, en se heurtant souvent à ses propres limites. Elle franchit cependant toutes les barrières qui lui sont imposées, y compris la frontière qui sépare les deux Allemagne, lorsqu'elle rejoint le Berlin-Ouest des années quatre-vingt. Mais à tout nouveau départ succède une rechute, à tout instant de bonheur une destruction, à toute ivresse le dégrisement.
Et toujours revient la question des modèles de l'enfance, de l'empreinte laissée par une mère irresponsable et un père alcoolique... Après La Fille sans nom (Grand Prix de l'héroïne Madame Figaro 2015), Angelika Klüssendorf signe une nouvelle ouvre bouleversante. Dans une prose sans complaisance ni pathos, elle relate le parcours d'un être qui se libère d'un passé apparemment sans issue. Un roman poignant sur l'adolescence.
Une peinture lucide des conditions sociales avant la chute du Mur.
Elle essaie de trouver ses marques dans le Leipzig de la fin des années soixante-dix, en se heurtant souvent à ses propres limites. Elle franchit cependant toutes les barrières qui lui sont imposées, y compris la frontière qui sépare les deux Allemagne, lorsqu'elle rejoint le Berlin-Ouest des années quatre-vingt. Mais à tout nouveau départ succède une rechute, à tout instant de bonheur une destruction, à toute ivresse le dégrisement.
Et toujours revient la question des modèles de l'enfance, de l'empreinte laissée par une mère irresponsable et un père alcoolique... Après La Fille sans nom (Grand Prix de l'héroïne Madame Figaro 2015), Angelika Klüssendorf signe une nouvelle ouvre bouleversante. Dans une prose sans complaisance ni pathos, elle relate le parcours d'un être qui se libère d'un passé apparemment sans issue. Un roman poignant sur l'adolescence.
Une peinture lucide des conditions sociales avant la chute du Mur.