Angelika Klüssendorf, née en 1958 à Ahrensbourg, a vécu à Leipzig de 1961 jusqu'à son départ pour la RFA en 1985. Elle vit aujourd'hui à Berlin et consacre son temps à l'écriture. A l'instar de La Fille sans nom, son second roman traduit en français, April, a été couronné de nombreux prix littéraires, dont le prestigieux prix Hermann-Hesse (l'équivalent du Renaudot).
April
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.28 kg
- Dimensions13,1 cm × 20,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-258-11917-8
- EAN9782258119178
- Date de parution28/01/2016
- ÉditeurPresses de la Cité
- TraducteurFrançois Mathieu
- TraducteurRégine Mathieu
Résumé
Au début, il y a une valise avec de maigres affaires et une chambre en sous-location. La jeune fille qui s'est donné le nom d'April -d'après la chanson de Deep Purple- a quitté son foyer social et a interrompu son apprentissage pour un poste d'employée de bureau. Elle essaie de trouver ses marques dans le Leipzig de la fin des années soixante-dix, en se heurtant souvent à ses propres limites. Elle franchit cependant toutes les barrières qui lui sont imposées, y compris la frontière qui sépare les deux Allemagne, lorsqu'elle rejoint le Berlin-Ouest des années quatre-vingt.
Mais à tout nouveau départ succède une rechute, à tout instant de bonheur une destruction, à toute ivresse le dégrisement. Et toujours revient la question des modèles de l'enfance, de l'empreinte laissée par une mère irresponsable et un père alcoolique... Après La Fille sans nom, Angelika Klüssendorf signe une oeuvre bouleversante, sans complaisance ni pathos, sur la fin de l'adolescence, mais aussi sur les conditions sociales avant la chute du Mur.
Mais à tout nouveau départ succède une rechute, à tout instant de bonheur une destruction, à toute ivresse le dégrisement. Et toujours revient la question des modèles de l'enfance, de l'empreinte laissée par une mère irresponsable et un père alcoolique... Après La Fille sans nom, Angelika Klüssendorf signe une oeuvre bouleversante, sans complaisance ni pathos, sur la fin de l'adolescence, mais aussi sur les conditions sociales avant la chute du Mur.
Au début, il y a une valise avec de maigres affaires et une chambre en sous-location. La jeune fille qui s'est donné le nom d'April -d'après la chanson de Deep Purple- a quitté son foyer social et a interrompu son apprentissage pour un poste d'employée de bureau. Elle essaie de trouver ses marques dans le Leipzig de la fin des années soixante-dix, en se heurtant souvent à ses propres limites. Elle franchit cependant toutes les barrières qui lui sont imposées, y compris la frontière qui sépare les deux Allemagne, lorsqu'elle rejoint le Berlin-Ouest des années quatre-vingt.
Mais à tout nouveau départ succède une rechute, à tout instant de bonheur une destruction, à toute ivresse le dégrisement. Et toujours revient la question des modèles de l'enfance, de l'empreinte laissée par une mère irresponsable et un père alcoolique... Après La Fille sans nom, Angelika Klüssendorf signe une oeuvre bouleversante, sans complaisance ni pathos, sur la fin de l'adolescence, mais aussi sur les conditions sociales avant la chute du Mur.
Mais à tout nouveau départ succède une rechute, à tout instant de bonheur une destruction, à toute ivresse le dégrisement. Et toujours revient la question des modèles de l'enfance, de l'empreinte laissée par une mère irresponsable et un père alcoolique... Après La Fille sans nom, Angelika Klüssendorf signe une oeuvre bouleversante, sans complaisance ni pathos, sur la fin de l'adolescence, mais aussi sur les conditions sociales avant la chute du Mur.