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- Nombre de pages160
- FormatePub
- ISBN978-2-8236-2133-4
- EAN9782823621334
- Date de parution19/08/2024
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille809 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurOlivier
Résumé
« Je lui demande à quoi il pense et sans lui laisser le temps de répondre je jette un coup d'oil en bas de la falaise, je dis que c'est plutôt haut vu d'ici, tu t'imagines sauter des fois ? »
Max n'a pas mis longtemps avant d'emmener Lou sur le bunker qui fait face à la mer. Les deux amis s'y retrouvent presque tous les soirs de ces vacances caniculaires, regardent partir les ferrys et la parole se délie au fur et à mesure que les bières descendent.
C'est un de leurs points communs, de ne pas être trop bavard. Il y a aussi l'ennui, les jeux qu'ils s'inventent, cette ville qu'ils sillonnent avec sa jetée, comme un pont vers le néant. Les pêcheurs s'y disputent les meilleurs emplacements et au bout, on saute dans l'eau en évitant les rochers. On passe à l'âge adulte. Comment devenir un homme quand les pères ont la main lourde les soirs de défaite de l'OM ou sont absents et que les frères sont partis ? Dans un premier roman débordant de tendresse, Eliot Ruffel explore le langage des corps et des regards.
Au cour des silences, se dégagent la beauté et le drame d'une amitié.
C'est un de leurs points communs, de ne pas être trop bavard. Il y a aussi l'ennui, les jeux qu'ils s'inventent, cette ville qu'ils sillonnent avec sa jetée, comme un pont vers le néant. Les pêcheurs s'y disputent les meilleurs emplacements et au bout, on saute dans l'eau en évitant les rochers. On passe à l'âge adulte. Comment devenir un homme quand les pères ont la main lourde les soirs de défaite de l'OM ou sont absents et que les frères sont partis ? Dans un premier roman débordant de tendresse, Eliot Ruffel explore le langage des corps et des regards.
Au cour des silences, se dégagent la beauté et le drame d'une amitié.
« Je lui demande à quoi il pense et sans lui laisser le temps de répondre je jette un coup d'oil en bas de la falaise, je dis que c'est plutôt haut vu d'ici, tu t'imagines sauter des fois ? »
Max n'a pas mis longtemps avant d'emmener Lou sur le bunker qui fait face à la mer. Les deux amis s'y retrouvent presque tous les soirs de ces vacances caniculaires, regardent partir les ferrys et la parole se délie au fur et à mesure que les bières descendent.
C'est un de leurs points communs, de ne pas être trop bavard. Il y a aussi l'ennui, les jeux qu'ils s'inventent, cette ville qu'ils sillonnent avec sa jetée, comme un pont vers le néant. Les pêcheurs s'y disputent les meilleurs emplacements et au bout, on saute dans l'eau en évitant les rochers. On passe à l'âge adulte. Comment devenir un homme quand les pères ont la main lourde les soirs de défaite de l'OM ou sont absents et que les frères sont partis ? Dans un premier roman débordant de tendresse, Eliot Ruffel explore le langage des corps et des regards.
Au cour des silences, se dégagent la beauté et le drame d'une amitié.
C'est un de leurs points communs, de ne pas être trop bavard. Il y a aussi l'ennui, les jeux qu'ils s'inventent, cette ville qu'ils sillonnent avec sa jetée, comme un pont vers le néant. Les pêcheurs s'y disputent les meilleurs emplacements et au bout, on saute dans l'eau en évitant les rochers. On passe à l'âge adulte. Comment devenir un homme quand les pères ont la main lourde les soirs de défaite de l'OM ou sont absents et que les frères sont partis ? Dans un premier roman débordant de tendresse, Eliot Ruffel explore le langage des corps et des regards.
Au cour des silences, se dégagent la beauté et le drame d'une amitié.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
1 Coup de cœur
de nos libraires
Marie-Léonie B.— Decitre Bezons
5/5
“ Deux amis, un été... ”
Dans une ville sans nom, Lou et Max passent le temps et tuent l'ennui sur un bunker, face à la mer. Le temps d'un été, entre bières, cigarettes et soleil écrasant, les deux jeunes hommes peu bavards cultivent une amitié pudique, où les gestes ont souvent plus de sens que les mots.
Dans un roman touchant, Eliot Ruffel nous parle d'amitié, d'ennui, de violences intrafamiliales, un roman tout en pudeur, parfois drôle, avec des personnages attachants, un très joli premier roman.
Dans une ville sans nom, Lou et Max passent le temps et tuent l'ennui sur un bunker, face à la mer. Le temps d'un été, entre bières, cigarettes et soleil écrasant, les deux jeunes hommes peu bavards cultivent une amitié pudique, où les gestes ont souvent plus de sens que les mots.
Dans un roman touchant, Eliot Ruffel nous parle d'amitié, d'ennui, de violences intrafamiliales, un roman tout en pudeur, parfois drôle, avec des personnages attachants, un très joli premier roman.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
4/5
“ Ennui adolescent ”
Ce roman raconte ce qu'on ne dit pas, la langueur de l'été et l'ennui, la chaleur qui se dissout dans la mer comme l'ivresse de la nuit. Les deux adolescents au cœur de ce livre grandissent envers et contre tout, malgré les drames de cet âge et ceux qui sont plus vastes, malgré la violence des pères et grâce aux efforts des mères qui font de leur mieux (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2024/10/09/apres-ca-eliot-ruffel/)
Ce roman raconte ce qu'on ne dit pas, la langueur de l'été et l'ennui, la chaleur qui se dissout dans la mer comme l'ivresse de la nuit. Les deux adolescents au cœur de ce livre grandissent envers et contre tout, malgré les drames de cet âge et ceux qui sont plus vastes, malgré la violence des pères et grâce aux efforts des mères qui font de leur mieux (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2024/10/09/apres-ca-eliot-ruffel/)
A propos de Eliot Ruffel
5/5
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Après ça
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