Disponible d'occasion :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages245
  • FormatePub
  • ISBN978-2-84876-960-8
  • EAN9782848769608
  • Date de parution25/08/2022
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille841 Ko
  • ÉditeurPhilippe Rey

Résumé

Un premier roman magistral qui raconte la dérive de l'histoire d'amour entre Erika et Vincent au Rwanda, 25 ans après le génocide des Tutsis. Kigali, 2018. Depuis sa rupture avec Vincent, Erika vit sur un fil, et écrit à sa sour pour " exorciser de son corps " un amour-dévastation qui l'habite toujours. Elle raconte son histoire, mais également celle des êtres fragiles auxquels elle est attachée, qui eux aussi tentent de vivre.
Avec James, son frère second hand, Manzi, le séduisant karatéka, Maman Colonel, Tonton Damas, les cours débordants comme la mousse des bières décapsulées au bar L'Église, ils reconstruisent une nouvelle famille qui illumine ce roman. Du Rwanda, pays aux mille collines florissantes, où après le génocide des Tutsis chacun a été forcé de tourner la page, Dominique Celis montre que derrière la rhétorique officielle d'unité nationale chacun a " incarcéré ses peines à perpète ".
Des blessures sans cesse ravivées lorsqu'on peut croiser les bourreaux d'hier au détour d'une station-service ou sur la rive calme du lac Kivu... Dans ce saisissant premier roman, Erika fait le récit d'un amour qui tente de résister à la fatalité tragique héritée du passé. Même lorsque Vincent se sépare d'elle, leur passion charnelle ne faiblit pas, et c'est une femme vibrante de regrets, encore taraudée par le désir, qui rédige ces lettres splendides, puisque sur sa peau " rien ne veut s'effacer ".
Un premier roman magistral qui raconte la dérive de l'histoire d'amour entre Erika et Vincent au Rwanda, 25 ans après le génocide des Tutsis. Kigali, 2018. Depuis sa rupture avec Vincent, Erika vit sur un fil, et écrit à sa sour pour " exorciser de son corps " un amour-dévastation qui l'habite toujours. Elle raconte son histoire, mais également celle des êtres fragiles auxquels elle est attachée, qui eux aussi tentent de vivre.
Avec James, son frère second hand, Manzi, le séduisant karatéka, Maman Colonel, Tonton Damas, les cours débordants comme la mousse des bières décapsulées au bar L'Église, ils reconstruisent une nouvelle famille qui illumine ce roman. Du Rwanda, pays aux mille collines florissantes, où après le génocide des Tutsis chacun a été forcé de tourner la page, Dominique Celis montre que derrière la rhétorique officielle d'unité nationale chacun a " incarcéré ses peines à perpète ".
Des blessures sans cesse ravivées lorsqu'on peut croiser les bourreaux d'hier au détour d'une station-service ou sur la rive calme du lac Kivu... Dans ce saisissant premier roman, Erika fait le récit d'un amour qui tente de résister à la fatalité tragique héritée du passé. Même lorsque Vincent se sépare d'elle, leur passion charnelle ne faiblit pas, et c'est une femme vibrante de regrets, encore taraudée par le désir, qui rédige ces lettres splendides, puisque sur sa peau " rien ne veut s'effacer ".

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Mathieu LartaudDecitre Grenoble
4/5
Ainsi pleurent nos hommes
Dominique Célis sonde les plaies encore visibles de tout un pays, le Rwanda, la quête délicate  d'un avenir commun et ces blessures infinies qui traversent les coins de rues, les rumeurs des collines, étouffent les amours comme une boule aux ventre qui vous tenaille. La langue y résonne comme un exorcisme, éruptive comme les saignées lancinantes d'un pays irrigué des blessures qui peinent à s'effacer. Roman épistolaire enragé, fiévreux, brut et infiniment sensible, chargé de désirs comme d'amours impossibles après lesquels on court, roman d'amitiés, de désirs charnels et de douleurs, "Ainsi pleurent nos hommes" interroge avec force la capacité d'un peuple à la résilience, le chemin  des hommes à aimer quand les fracas du génocide sonnent encore comme les échos stridents d'une "peine à perpet".
Dominique Célis sonde les plaies encore visibles de tout un pays, le Rwanda, la quête délicate  d'un avenir commun et ces blessures infinies qui traversent les coins de rues, les rumeurs des collines, étouffent les amours comme une boule aux ventre qui vous tenaille. La langue y résonne comme un exorcisme, éruptive comme les saignées lancinantes d'un pays irrigué des blessures qui peinent à s'effacer. Roman épistolaire enragé, fiévreux, brut et infiniment sensible, chargé de désirs comme d'amours impossibles après lesquels on court, roman d'amitiés, de désirs charnels et de douleurs, "Ainsi pleurent nos hommes" interroge avec force la capacité d'un peuple à la résilience, le chemin  des hommes à aimer quand les fracas du génocide sonnent encore comme les échos stridents d'une "peine à perpet".

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Le Rwanda dans la peau
Malgré des défauts de premier roman, ce livre faussement épistolaire est porté par une plume presque viscérale quand il s'agit de dire les maux du cœur – passion contrariée racontée des années après et cicatrices à vif du génocide rwandais. Se regrettent la construction temporelle un peu anarchique et le manque de sympathie que l'on éprouve pour Erika et ses amis sans avoir vécu leur vie (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/08/31/ainsi-pleurent-nos-hommes-dominique-celis/)
Malgré des défauts de premier roman, ce livre faussement épistolaire est porté par une plume presque viscérale quand il s'agit de dire les maux du cœur – passion contrariée racontée des années après et cicatrices à vif du génocide rwandais. Se regrettent la construction temporelle un peu anarchique et le manque de sympathie que l'on éprouve pour Erika et ses amis sans avoir vécu leur vie (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/08/31/ainsi-pleurent-nos-hommes-dominique-celis/)