Agir par la culture. Acteurs, enjeux et mutations des mouvements culturels
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- Nombre de pages320
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-916002-67-5
- EAN9782916002675
- Date de parution10/07/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurEDITIONS DE L'ATTRIBUT
Résumé
La culture a-t-elle d'abord une visée émancipatrice ? Le sport favorise-t-il le lien social ? L'art est-il autonome et détaché de toute contingence sociale, économique et politique ? Les loisirs permettent-ils aux travailleurs d'accéder à la culture dominante par l'éducation ou sont-ils le lieu de l'élaboration d'une culture populaire singulière ?A travers la notion d'agir culturel qu'il décline tout au long de l'ouvrage, Lionel Arnaud répond à ces questions formulées à l'aune de la situation et des enjeux contemporains.
Pour cela, il brosse l'histoire de la politique culturelle et sportive mais aussi, bien sûr, de l'éducation populaire, avec ses mouvements, ses valeurs et ses figures (Léo Lagrange, Jean Zay, Jeanne Laurent, Benigno Caceres, Jean Vilar, Joffre Dumazedier...). En analysant l'évolution vers une « action culturelle » apte à identifier et à diffuser les ouvres artistiques qu'il légitime, il montre comment l'Etat, sous couvert de « populariser » la culture, a pris soin de dissocier le contenu de l'agir culturel des pratiques jugées trop peu réflexives. Mais la dimension transversale et participative des usages du XXIe siècle, notamment numériques, semble réaliser l'utopie de l'agir culturel où le spectateur deviendrait acteur et où seraient redéfinies les frontières entre amateurs et professionnels, entre secteur marchand et secteur non marchand.
Pour cela, il brosse l'histoire de la politique culturelle et sportive mais aussi, bien sûr, de l'éducation populaire, avec ses mouvements, ses valeurs et ses figures (Léo Lagrange, Jean Zay, Jeanne Laurent, Benigno Caceres, Jean Vilar, Joffre Dumazedier...). En analysant l'évolution vers une « action culturelle » apte à identifier et à diffuser les ouvres artistiques qu'il légitime, il montre comment l'Etat, sous couvert de « populariser » la culture, a pris soin de dissocier le contenu de l'agir culturel des pratiques jugées trop peu réflexives. Mais la dimension transversale et participative des usages du XXIe siècle, notamment numériques, semble réaliser l'utopie de l'agir culturel où le spectateur deviendrait acteur et où seraient redéfinies les frontières entre amateurs et professionnels, entre secteur marchand et secteur non marchand.
La culture a-t-elle d'abord une visée émancipatrice ? Le sport favorise-t-il le lien social ? L'art est-il autonome et détaché de toute contingence sociale, économique et politique ? Les loisirs permettent-ils aux travailleurs d'accéder à la culture dominante par l'éducation ou sont-ils le lieu de l'élaboration d'une culture populaire singulière ?A travers la notion d'agir culturel qu'il décline tout au long de l'ouvrage, Lionel Arnaud répond à ces questions formulées à l'aune de la situation et des enjeux contemporains.
Pour cela, il brosse l'histoire de la politique culturelle et sportive mais aussi, bien sûr, de l'éducation populaire, avec ses mouvements, ses valeurs et ses figures (Léo Lagrange, Jean Zay, Jeanne Laurent, Benigno Caceres, Jean Vilar, Joffre Dumazedier...). En analysant l'évolution vers une « action culturelle » apte à identifier et à diffuser les ouvres artistiques qu'il légitime, il montre comment l'Etat, sous couvert de « populariser » la culture, a pris soin de dissocier le contenu de l'agir culturel des pratiques jugées trop peu réflexives. Mais la dimension transversale et participative des usages du XXIe siècle, notamment numériques, semble réaliser l'utopie de l'agir culturel où le spectateur deviendrait acteur et où seraient redéfinies les frontières entre amateurs et professionnels, entre secteur marchand et secteur non marchand.
Pour cela, il brosse l'histoire de la politique culturelle et sportive mais aussi, bien sûr, de l'éducation populaire, avec ses mouvements, ses valeurs et ses figures (Léo Lagrange, Jean Zay, Jeanne Laurent, Benigno Caceres, Jean Vilar, Joffre Dumazedier...). En analysant l'évolution vers une « action culturelle » apte à identifier et à diffuser les ouvres artistiques qu'il légitime, il montre comment l'Etat, sous couvert de « populariser » la culture, a pris soin de dissocier le contenu de l'agir culturel des pratiques jugées trop peu réflexives. Mais la dimension transversale et participative des usages du XXIe siècle, notamment numériques, semble réaliser l'utopie de l'agir culturel où le spectateur deviendrait acteur et où seraient redéfinies les frontières entre amateurs et professionnels, entre secteur marchand et secteur non marchand.