Né à Montauban le 27 août 1936, Philippe Labro est un écrivain, parolier, journaliste et présentateur télé et radio. Passionné des USA, il part y étudier à 17 ans. A son retour, il est embauché comme reporter pour Europe 1 et France-Soir. De 1985 à 2000, il devient directeur des programmes de RTL et lance en 2005 la chaîne Direct 8. Parolier reconnu, il a écrit tout un album de Johnny Hallyday et collabore à plusieurs reprises avec Serge Gainsbourg. Découvrez l'ensemble de son œuvre littéraire acclamé par la critique et les lecteurs. En 2013, il publie Le flûtiste invisible qui nous interroge sur la puissance d'une force extérieure que nous pouvons appeler : le destin. De sa plume fine et intelligente, il nous transporte, à chaque reprise, dans un univers fascinant au sein duquel nous évoluons avec plaisir. Parmi ces œuvres poignantes restant ancrées dans notre mémoire pour toujours, succombez à La couleur des sentiments de Kathryn Stockett, Peste et Choléra de Patrick Deville ou encore L'homme qui voulait vivre sa vie de Douglas Kennedy. Livraison à 0.01€, garantie satisfait ou remboursé et plusieurs formats à votre disposition... vous avez toutes les raisons de vous procurer les livres qui comblent vos envies.
7 500 signes. Chroniques
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- Nombre de pages478
- FormatePub
- ISBN978-2-07-230475-0
- EAN9782072304750
- Date de parution14/10/2010
- Protection num.Adobe DRM
- Taille645 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGallimard
Résumé
« Ton regard, aussi bien celui du romancier que celui du journaliste, sur tout sujet qui t'intéresse, chaque semaine. Tu as 7 500 signes pour le faire. Tel est le contrat. Un signe, c'est aussi bien une virgule, un blanc entre deux mots, qu'un guillemet ou un point d'exclamation, et, naturellement, des lettres qui forment des mots, lesquels traduisent une pensée ou proposent une image.
On prend des notes, on interroge, on fouille des archives, on consulte plusieurs ouvrages, on e-maile à des correspodants (amis et contacts aux États-Unis, en province, en Asie), on rencontre tel ou telle, on voyage.
La plupart du temps, on dépasse le compte : 9 000, voire 10 000 signes. Alors, on rabote, on essaie de conserver ce que l'on croit être l'essence même d'un papier, et on n'oublie pas la phrase qu'un vieux routier prononça à l'adresse du grand écrivain Tom Wolfe, lorsqu'il faisait ses débuts dans la presse du New York des années 60 : Arrête-toi quand ça devient emmerdant. En vérité, pour bien exercer ce métier, il ne faut jamais être emmerdant.
Jamais. »
La plupart du temps, on dépasse le compte : 9 000, voire 10 000 signes. Alors, on rabote, on essaie de conserver ce que l'on croit être l'essence même d'un papier, et on n'oublie pas la phrase qu'un vieux routier prononça à l'adresse du grand écrivain Tom Wolfe, lorsqu'il faisait ses débuts dans la presse du New York des années 60 : Arrête-toi quand ça devient emmerdant. En vérité, pour bien exercer ce métier, il ne faut jamais être emmerdant.
Jamais. »
« Ton regard, aussi bien celui du romancier que celui du journaliste, sur tout sujet qui t'intéresse, chaque semaine. Tu as 7 500 signes pour le faire. Tel est le contrat. Un signe, c'est aussi bien une virgule, un blanc entre deux mots, qu'un guillemet ou un point d'exclamation, et, naturellement, des lettres qui forment des mots, lesquels traduisent une pensée ou proposent une image.
On prend des notes, on interroge, on fouille des archives, on consulte plusieurs ouvrages, on e-maile à des correspodants (amis et contacts aux États-Unis, en province, en Asie), on rencontre tel ou telle, on voyage.
La plupart du temps, on dépasse le compte : 9 000, voire 10 000 signes. Alors, on rabote, on essaie de conserver ce que l'on croit être l'essence même d'un papier, et on n'oublie pas la phrase qu'un vieux routier prononça à l'adresse du grand écrivain Tom Wolfe, lorsqu'il faisait ses débuts dans la presse du New York des années 60 : Arrête-toi quand ça devient emmerdant. En vérité, pour bien exercer ce métier, il ne faut jamais être emmerdant.
Jamais. »
La plupart du temps, on dépasse le compte : 9 000, voire 10 000 signes. Alors, on rabote, on essaie de conserver ce que l'on croit être l'essence même d'un papier, et on n'oublie pas la phrase qu'un vieux routier prononça à l'adresse du grand écrivain Tom Wolfe, lorsqu'il faisait ses débuts dans la presse du New York des années 60 : Arrête-toi quand ça devient emmerdant. En vérité, pour bien exercer ce métier, il ne faut jamais être emmerdant.
Jamais. »