On connaît Adolphe Thiers homme politique, on connaît moins Adolphe Thiers collectionneur. Pourtant, le premier président de la IIIe République avait rassemblé dans son hôtel particulier de la place Saint-Georges à Paris, nombre d'oeuvres européennes et asiatiques, avec un intérêt particulier pour les arts de la Chine. Peintures sur rouleaux ou en albums, porcelaines, laques et ivoires, émaux cloisonnés : ce ne sont-pas moins de cent vingt pièces qui sont ainsi entrées au musée du Louvre à la faveur d'un legs en 1881.
Grâce aux contributions de nombreux spécialiste, cet ouvrage, illustré d'une sélection des plus belles oeuvres de la collection, témoigne des échanges commerciaux et diplomatiques encre la Chine et la France en cette période troublée et intense du XIXe tiède.
On connaît Adolphe Thiers homme politique, on connaît moins Adolphe Thiers collectionneur. Pourtant, le premier président de la IIIe République avait rassemblé dans son hôtel particulier de la place Saint-Georges à Paris, nombre d'oeuvres européennes et asiatiques, avec un intérêt particulier pour les arts de la Chine. Peintures sur rouleaux ou en albums, porcelaines, laques et ivoires, émaux cloisonnés : ce ne sont-pas moins de cent vingt pièces qui sont ainsi entrées au musée du Louvre à la faveur d'un legs en 1881.
Grâce aux contributions de nombreux spécialiste, cet ouvrage, illustré d'une sélection des plus belles oeuvres de la collection, témoigne des échanges commerciaux et diplomatiques encre la Chine et la France en cette période troublée et intense du XIXe tiède.