A la fenêtre ouverte du poème, un homme assiste au défilé des vivants. Tout est là, sous ses yeux, des animaux à l'humanité, de la nature à la culture, de l'harmonie à la guerre, de la mémoire à l'origine, au rythme de l'humain carnaval dont Villon est le héraut. Jean-Jacques Marimbert, acteur/spectateur du Carnaval, distille les images, traquant la beauté prosodique et vivace. Dans la clepsydre coulent l'émerveillement et le doute, la subtile caresse du désespoir et l'enchantement de la joie, la genèse des petites bêtes et la palette des sentiments, dans la profonde rupture entre avant et après, et l'histoire.
Au terme du poème, qui est ouverture, peut-être vous reconnaitrez vous dansant, une fois l'heure venue d'aimer.
A la fenêtre ouverte du poème, un homme assiste au défilé des vivants. Tout est là, sous ses yeux, des animaux à l'humanité, de la nature à la culture, de l'harmonie à la guerre, de la mémoire à l'origine, au rythme de l'humain carnaval dont Villon est le héraut. Jean-Jacques Marimbert, acteur/spectateur du Carnaval, distille les images, traquant la beauté prosodique et vivace. Dans la clepsydre coulent l'émerveillement et le doute, la subtile caresse du désespoir et l'enchantement de la joie, la genèse des petites bêtes et la palette des sentiments, dans la profonde rupture entre avant et après, et l'histoire.
Au terme du poème, qui est ouverture, peut-être vous reconnaitrez vous dansant, une fois l'heure venue d'aimer.