Plus qu'une véritable histoire, cet ouvrage se veut une évocation de ce qu'était l'île de Sein et ses habitants à la fin du XIXe et dans la première moitié du XXe siècle, avant que ne se perdent définitivement les moeurs et coutumes spécifiques de l'île finistérienne. De la légende de la ville d'Ys en passant par la construction homérique du phare d'Ar-Men sur la chaussée de Sein, ou encore des naufrages et des sauvetages que mènent, avec une humble abnégation, les hommes de l'île, c'est tout ce qui fait la magie de cette île plate, - risquant toujours la submersion comme sa légendaire et moins heureuse cousine : la ville d'Ys -, que l'on découvre simplement au fil des pages.
Au travers du regard de quatre auteurs : Lucien Boulain publie son "Raz de Sein" en 1893 ; Anatole Le Braz ses notes de voyage sous le titre "Sein, île sinistre" en 1935 ; Charles Le Goffic son livre-enquête "Quatre jours à l'Ile de Sein" en 1928.
Plus qu'une véritable histoire, cet ouvrage se veut une évocation de ce qu'était l'île de Sein et ses habitants à la fin du XIXe et dans la première moitié du XXe siècle, avant que ne se perdent définitivement les moeurs et coutumes spécifiques de l'île finistérienne. De la légende de la ville d'Ys en passant par la construction homérique du phare d'Ar-Men sur la chaussée de Sein, ou encore des naufrages et des sauvetages que mènent, avec une humble abnégation, les hommes de l'île, c'est tout ce qui fait la magie de cette île plate, - risquant toujours la submersion comme sa légendaire et moins heureuse cousine : la ville d'Ys -, que l'on découvre simplement au fil des pages.
Au travers du regard de quatre auteurs : Lucien Boulain publie son "Raz de Sein" en 1893 ; Anatole Le Braz ses notes de voyage sous le titre "Sein, île sinistre" en 1935 ; Charles Le Goffic son livre-enquête "Quatre jours à l'Ile de Sein" en 1928.