Alors que nous approchions du fleuve, l'air était si pur au-dessus de l'Hudson que, malgré la largeur du fleuve, les maisons, de l'autre côté, paraissaient n'être qu'au bout de la rue ; on apercevait les branches des arbres dénudés, les réservoirs d'eau sur les toits, chaque cheminée. Préface Robert Creeley, postface David Lespiau.
Alors que nous approchions du fleuve, l'air était si pur au-dessus de l'Hudson que, malgré la largeur du fleuve, les maisons, de l'autre côté, paraissaient n'être qu'au bout de la rue ; on apercevait les branches des arbres dénudés, les réservoirs d'eau sur les toits, chaque cheminée. Préface Robert Creeley, postface David Lespiau.