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Les nouveaux objets du droit de l'Union européenne
Nove sed non nova, la manière est nouvelle, non la matière. Telle aurait pu être la maxime du Congrès de l'Association française d'Etudes européennes (AFEE) tenu à l'Université Toulouse Capitole les 13 et 14 juin 2024. Son objet, comme celui de cet ouvrage collectif, tient dans une série de réflexions ayant en commun de porter sur les nouveaux objets du droit de l'Union apparus lors de ce premier quart de XXIe siècle.
Elles sont conduites à la lumière d'une grille de lecture engendrée par le précédent, reposant sur l'opposition entre méthodes d'intégration et de coopération. Ces deux méthodes structurant les travaux de la doctrine alors nommée communautariste, deviennent un horizon dépassable pour les chercheurs et enseignants-chercheurs parcourant le champ contemporain des études juridiques européennes. Les travaux de cette doctrine "communitariste" d'une certaine manière, plus qu'européaniste, s'ouvrent sur la définition des objets et méthodes afin de mieux saisir le processus juridico-politique par lequel l'Union envisage ces nouveaux objets.
Ensuite, une tentative de bilan de l'intégration de ces derniers est réalisée à l'aune de l'efficacité variable de la méthode employée. Enfin, les contributions terminales sont nourries par des interrogations quant à la capacité ou l'incapacité de ces méthodes s'agissant de l'édification d'une "Europe espace" autant qu'une "Europe puissance", la première précédant la seconde.
Elles sont conduites à la lumière d'une grille de lecture engendrée par le précédent, reposant sur l'opposition entre méthodes d'intégration et de coopération. Ces deux méthodes structurant les travaux de la doctrine alors nommée communautariste, deviennent un horizon dépassable pour les chercheurs et enseignants-chercheurs parcourant le champ contemporain des études juridiques européennes. Les travaux de cette doctrine "communitariste" d'une certaine manière, plus qu'européaniste, s'ouvrent sur la définition des objets et méthodes afin de mieux saisir le processus juridico-politique par lequel l'Union envisage ces nouveaux objets.
Ensuite, une tentative de bilan de l'intégration de ces derniers est réalisée à l'aune de l'efficacité variable de la méthode employée. Enfin, les contributions terminales sont nourries par des interrogations quant à la capacité ou l'incapacité de ces méthodes s'agissant de l'édification d'une "Europe espace" autant qu'une "Europe puissance", la première précédant la seconde.
Nove sed non nova, la manière est nouvelle, non la matière. Telle aurait pu être la maxime du Congrès de l'Association française d'Etudes européennes (AFEE) tenu à l'Université Toulouse Capitole les 13 et 14 juin 2024. Son objet, comme celui de cet ouvrage collectif, tient dans une série de réflexions ayant en commun de porter sur les nouveaux objets du droit de l'Union apparus lors de ce premier quart de XXIe siècle.
Elles sont conduites à la lumière d'une grille de lecture engendrée par le précédent, reposant sur l'opposition entre méthodes d'intégration et de coopération. Ces deux méthodes structurant les travaux de la doctrine alors nommée communautariste, deviennent un horizon dépassable pour les chercheurs et enseignants-chercheurs parcourant le champ contemporain des études juridiques européennes. Les travaux de cette doctrine "communitariste" d'une certaine manière, plus qu'européaniste, s'ouvrent sur la définition des objets et méthodes afin de mieux saisir le processus juridico-politique par lequel l'Union envisage ces nouveaux objets.
Ensuite, une tentative de bilan de l'intégration de ces derniers est réalisée à l'aune de l'efficacité variable de la méthode employée. Enfin, les contributions terminales sont nourries par des interrogations quant à la capacité ou l'incapacité de ces méthodes s'agissant de l'édification d'une "Europe espace" autant qu'une "Europe puissance", la première précédant la seconde.
Elles sont conduites à la lumière d'une grille de lecture engendrée par le précédent, reposant sur l'opposition entre méthodes d'intégration et de coopération. Ces deux méthodes structurant les travaux de la doctrine alors nommée communautariste, deviennent un horizon dépassable pour les chercheurs et enseignants-chercheurs parcourant le champ contemporain des études juridiques européennes. Les travaux de cette doctrine "communitariste" d'une certaine manière, plus qu'européaniste, s'ouvrent sur la définition des objets et méthodes afin de mieux saisir le processus juridico-politique par lequel l'Union envisage ces nouveaux objets.
Ensuite, une tentative de bilan de l'intégration de ces derniers est réalisée à l'aune de l'efficacité variable de la méthode employée. Enfin, les contributions terminales sont nourries par des interrogations quant à la capacité ou l'incapacité de ces méthodes s'agissant de l'édification d'une "Europe espace" autant qu'une "Europe puissance", la première précédant la seconde.
Les livres de Didier Blanc
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