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Domaine foncier en Gaule romaine
À quoi sert l'archéologie ? Les données matérielles qu'elle fournit permettent-elles de répondre à des questions historiques de l'ordre du statut des personnes et des biens, pour les périodes et/ou aires géographiques ou la documentation textuelle ou épigraphique fait défaut ? C'est à cette gageure que s'attèle cet ouvrage : quel était le statut des terres et des protagonistes, du point de vue foncier, dans les campagnes des provinces romaines des Gaules, de la fin du IIe s.
av. n. è. au VIe s. de n. è. ?La situation est d'abord examinée pour l'ensemble du monde romain, à travers les données classiques des textes et inscriptions, mieux représentées par exemple en Italie ou en Afrique romaine, permettant d'observer le statut des terres en des hommes propriétaires et travailleurs), du ou des « modèle(s) » du domaine foncier. Puis on s'attache à voir les concordances et éventuelles différences observables à travers le monde rural des Gaules et Germanies, à la lumière des plus rares données écrites, mais surtout, dans le détail, des données archéologiques de tous ordres - abondamment illustrées -, susceptibles, de manière plus ou moins indirectes, d'éclairer la question.
av. n. è. au VIe s. de n. è. ?La situation est d'abord examinée pour l'ensemble du monde romain, à travers les données classiques des textes et inscriptions, mieux représentées par exemple en Italie ou en Afrique romaine, permettant d'observer le statut des terres en des hommes propriétaires et travailleurs), du ou des « modèle(s) » du domaine foncier. Puis on s'attache à voir les concordances et éventuelles différences observables à travers le monde rural des Gaules et Germanies, à la lumière des plus rares données écrites, mais surtout, dans le détail, des données archéologiques de tous ordres - abondamment illustrées -, susceptibles, de manière plus ou moins indirectes, d'éclairer la question.
À quoi sert l'archéologie ? Les données matérielles qu'elle fournit permettent-elles de répondre à des questions historiques de l'ordre du statut des personnes et des biens, pour les périodes et/ou aires géographiques ou la documentation textuelle ou épigraphique fait défaut ? C'est à cette gageure que s'attèle cet ouvrage : quel était le statut des terres et des protagonistes, du point de vue foncier, dans les campagnes des provinces romaines des Gaules, de la fin du IIe s.
av. n. è. au VIe s. de n. è. ?La situation est d'abord examinée pour l'ensemble du monde romain, à travers les données classiques des textes et inscriptions, mieux représentées par exemple en Italie ou en Afrique romaine, permettant d'observer le statut des terres en des hommes propriétaires et travailleurs), du ou des « modèle(s) » du domaine foncier. Puis on s'attache à voir les concordances et éventuelles différences observables à travers le monde rural des Gaules et Germanies, à la lumière des plus rares données écrites, mais surtout, dans le détail, des données archéologiques de tous ordres - abondamment illustrées -, susceptibles, de manière plus ou moins indirectes, d'éclairer la question.
av. n. è. au VIe s. de n. è. ?La situation est d'abord examinée pour l'ensemble du monde romain, à travers les données classiques des textes et inscriptions, mieux représentées par exemple en Italie ou en Afrique romaine, permettant d'observer le statut des terres en des hommes propriétaires et travailleurs), du ou des « modèle(s) » du domaine foncier. Puis on s'attache à voir les concordances et éventuelles différences observables à travers le monde rural des Gaules et Germanies, à la lumière des plus rares données écrites, mais surtout, dans le détail, des données archéologiques de tous ordres - abondamment illustrées -, susceptibles, de manière plus ou moins indirectes, d'éclairer la question.
