Je suis ne?e un 27 janvier : pile la date anniversaire de la libe?ration du camp d'Auschwitz. Quatre ans apre`s. Impossible d'oublier : le jour de mon anniversaire, la radio me le rappelle. Ponctuellement. J'appelle cela une coi?ncidence. Ma me`re n'est pas d'accord. Elle ne conteste pas la date, encore heureux, mais la coi?ncidence. Auschwitz, oui cela lui rappelle quelque chose. Elle a se?journe? a` cet endroit, dans un camp d'extermination, en 1944.
Monique Gehler, ne?e a` Paris, est la fille de Livia Vajda.
Juive d'origine hongroise, rescape?e d'Auschwitz, sa me`re est devenue peintre pour substituer de tre`s beaux tableaux aux images atroces qu'elle a soigneusement gomme?es. Comment se construire a` co^te? de la force d'une artiste qui ne connai^t que le travail acharne? et le me^me acharnement a` oublier ?
Monique Gehler brosse son autoportrait en creux, remonte le fil de l'histoire, interroge les derniers te?moins et recolle quelques morceaux.
Humour et absence de pathos caracte?risent son re?cit. s ne?e un 27 janvier : pile la date anniversaire de la libe?ration du camp d'Auschwitz. Quatre ans apre`s. Impossible d'oublier : le jour de mon anniversaire, la radio me le rappelle. Ponctuellement. J'appelle cela une coi?ncidence. Ma me`re n'est pas d'accord. Elle ne conteste pas la date, encore heureux, mais la coi?ncidence. Auschwitz, oui cela lui rappelle quelque chose.
Elle a se?journe? a` cet endroit, dans un camp d'extermination, en 1944.
Monique Gehler, ne?e a` Paris, est la fille de Livia Vajda. Juive d'origine hongroise, rescape?e d'Auschwitz, sa me`re est devenue peintre pour substituer de tre`s beaux tableaux aux images atroces qu'elle a soigneusement gomme?es. Comment se construire a` co^te? de la force d'une artiste qui ne connai^t que le travail acharne? et le me^me acharnement a` oublier ?
Monique Gehler brosse son autoportrait en creux, remonte le fil de l'histoire, interroge les derniers te?moins et recolle quelques morceaux.
Humour et absence de pathos caracte?risent son re?cit.
Je suis ne?e un 27 janvier : pile la date anniversaire de la libe?ration du camp d'Auschwitz. Quatre ans apre`s. Impossible d'oublier : le jour de mon anniversaire, la radio me le rappelle. Ponctuellement. J'appelle cela une coi?ncidence. Ma me`re n'est pas d'accord. Elle ne conteste pas la date, encore heureux, mais la coi?ncidence. Auschwitz, oui cela lui rappelle quelque chose. Elle a se?journe? a` cet endroit, dans un camp d'extermination, en 1944.
Monique Gehler, ne?e a` Paris, est la fille de Livia Vajda.
Juive d'origine hongroise, rescape?e d'Auschwitz, sa me`re est devenue peintre pour substituer de tre`s beaux tableaux aux images atroces qu'elle a soigneusement gomme?es. Comment se construire a` co^te? de la force d'une artiste qui ne connai^t que le travail acharne? et le me^me acharnement a` oublier ?
Monique Gehler brosse son autoportrait en creux, remonte le fil de l'histoire, interroge les derniers te?moins et recolle quelques morceaux.
Humour et absence de pathos caracte?risent son re?cit. s ne?e un 27 janvier : pile la date anniversaire de la libe?ration du camp d'Auschwitz. Quatre ans apre`s. Impossible d'oublier : le jour de mon anniversaire, la radio me le rappelle. Ponctuellement. J'appelle cela une coi?ncidence. Ma me`re n'est pas d'accord. Elle ne conteste pas la date, encore heureux, mais la coi?ncidence. Auschwitz, oui cela lui rappelle quelque chose.
Elle a se?journe? a` cet endroit, dans un camp d'extermination, en 1944.
Monique Gehler, ne?e a` Paris, est la fille de Livia Vajda. Juive d'origine hongroise, rescape?e d'Auschwitz, sa me`re est devenue peintre pour substituer de tre`s beaux tableaux aux images atroces qu'elle a soigneusement gomme?es. Comment se construire a` co^te? de la force d'une artiste qui ne connai^t que le travail acharne? et le me^me acharnement a` oublier ?
Monique Gehler brosse son autoportrait en creux, remonte le fil de l'histoire, interroge les derniers te?moins et recolle quelques morceaux.
Humour et absence de pathos caracte?risent son re?cit.