Alexandre Astruc

Dernière sortie

Le plaisir en toutes choses

Né en 1923, Alexandre Astruc signe ses premiers articles dans la presse littéraire sous l'Occupation, se lie d'amitié avec Sartre et Vian et publie son premier roman, Les Vacances (Gallimard, 1945) tout en suivant pour Combat le procès de Brasillach. Mais l'écriture nourrit en lui une nouvelle passion : le cinéma. En 1948, deux articles-manifestes - « La caméra-stylo » et « L'avenir du cinéma » - font de lui le prophète du cinéma d'auteur et le « tonton de la Nouvelle Vague », ainsi que l'appellera Godard.
Passant de la théorie à la pratique, il met en scène son premier long-métrage, Les Mauvaises rencontres (1955). C'est le début d'une brillante série de films, ainsi qu'une collaboration à la télévision naissante, pour laquelle il adapte les chefs-d'ouvre de Balzac, Maupassant (Une vie, 1958), Flaubert (L'Éducation sentimentale) et Poe (Le Puits et le Pendule, 1963). Desnos, Cocteau, Vadim, Bardot, Sagan, Vilar, mais aussi Heidegger, Welles, Langlois, Bachelard, Queneau, Camus, Nimier et, bien sûr, toute l'équipe des Cahiers du cinéma.
Astruc les a tous connus, tous sont au générique de ces entretiens.
Né en 1923, Alexandre Astruc signe ses premiers articles dans la presse littéraire sous l'Occupation, se lie d'amitié avec Sartre et Vian et publie son premier roman, Les Vacances (Gallimard, 1945) tout en suivant pour Combat le procès de Brasillach. Mais l'écriture nourrit en lui une nouvelle passion : le cinéma. En 1948, deux articles-manifestes - « La caméra-stylo » et « L'avenir du cinéma » - font de lui le prophète du cinéma d'auteur et le « tonton de la Nouvelle Vague », ainsi que l'appellera Godard.
Passant de la théorie à la pratique, il met en scène son premier long-métrage, Les Mauvaises rencontres (1955). C'est le début d'une brillante série de films, ainsi qu'une collaboration à la télévision naissante, pour laquelle il adapte les chefs-d'ouvre de Balzac, Maupassant (Une vie, 1958), Flaubert (L'Éducation sentimentale) et Poe (Le Puits et le Pendule, 1963). Desnos, Cocteau, Vadim, Bardot, Sagan, Vilar, mais aussi Heidegger, Welles, Langlois, Bachelard, Queneau, Camus, Nimier et, bien sûr, toute l'équipe des Cahiers du cinéma.
Astruc les a tous connus, tous sont au générique de ces entretiens.
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier

Les livres de Alexandre Astruc

Le plaisir en toutes choses
Alexandre Astruc
E-book
14,99 €
Le samovar et l'édredon
Alexandre Astruc, Simon Gordon
E-book
6,99 €
Le samovar et l'édredon
Alexandre Astruc, Simon Gordon
E-book
6,99 €
Le Roman de Descartes
Alexandre Astruc
E-book
7,99 €
Le Roman de Descartes
Alexandre Astruc
E-book
7,99 €
Quand la chouette s'envole
Alexandre Astruc
E-book
7,49 €
Quand la chouette s'envole
Alexandre Astruc
E-book
7,49 €
La tête la première
Alexandre Astruc, Alain Menevy
E-book
7,99 €
La tête la première
Alexandre Astruc, Alain Menevy
E-book
7,99 €
Le serpent jaune
Alexandre Astruc
Grand Format
9,80 €
Sartre
Alexandre Astruc, Michel Contat
Grand Format
6,70 €