C'est en octobre 1924, à l'Institut français de Naples, qu'Henri Bosco rencontra Jean Grenier, jeune agrégé de philosophie connu du grand public pour avoir été, quelques années plus tard, le professeur d'Albert Camus. Entre le romancier et le philosophe naquit une amitié solide dont témoignent les lettres d'Henri Bosco, seul versant disponible d'une correspondance qui s'échelonna sur une quarantaine d'années.
Agrémenté par le recours à l'humour ou vivifié par l'exercice d'une ironie mordante, ce commerce épistolaire séduit par une riche palette stylistique. Il se révèle un document essentiel à la compréhension de l'homme, comme à l'intelligence de l'oeuvre romanesque.
C'est en octobre 1924, à l'Institut français de Naples, qu'Henri Bosco rencontra Jean Grenier, jeune agrégé de philosophie connu du grand public pour avoir été, quelques années plus tard, le professeur d'Albert Camus. Entre le romancier et le philosophe naquit une amitié solide dont témoignent les lettres d'Henri Bosco, seul versant disponible d'une correspondance qui s'échelonna sur une quarantaine d'années.
Agrémenté par le recours à l'humour ou vivifié par l'exercice d'une ironie mordante, ce commerce épistolaire séduit par une riche palette stylistique. Il se révèle un document essentiel à la compréhension de l'homme, comme à l'intelligence de l'oeuvre romanesque.