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Michel Audiard

Dernière sortie
Le terminus des prétentieux
La redécouverte d'un roman jubilatoire de Michel Audiard inédit depuis sa première publication en 1968.
" Il pressent, Ceccaldi, il flaire, il subodore... et crac !
Le couperet tombe ! "
Bienvenue dans le monde de Gustave, tombeur de ces dames, gigolo à ses heures, escroc à la petite semaine. De Juan-les-Pins à Deauville, Michel Audiard nous invite à suivre les tribulations de ce héros passionnément malhonnête dans le monde parfois naïf des grandes familles et des nantis.
Si vous aimez les briquets en or et les Ferrari, si vous louchez sur l'aluminium du Paraguay, vous frappez à la bonne porte. Si vous préférez le faisan chasseur, les jolies jeunes femmes aux dents longues ou encore les balles dans la nuque, vous serez aussi largement servi. Il y en a en effet pour tous les goûts dans ces pages hautes en couleur au détour desquelles on croise - non sans une certaine appréhension - l'irrésistible inspecteur Ceccaldi qui évoque avec superbe le Bertrand Blier des grands jours. Lorsqu'il écrit au début des années soixante Les Tontons flingueurs, Michel Audiard souhaite intituler le film Le Terminus des prétentieux.
On ne lui accorde pas ce plaisir, il ne lâche pas l'affaire : quelques années plus tard, en 1968, il donne enfin le titre qu'il affectionne à ce roman méchamment interlope, resté inédit depuis sa première publication.
Si vous aimez les briquets en or et les Ferrari, si vous louchez sur l'aluminium du Paraguay, vous frappez à la bonne porte. Si vous préférez le faisan chasseur, les jolies jeunes femmes aux dents longues ou encore les balles dans la nuque, vous serez aussi largement servi. Il y en a en effet pour tous les goûts dans ces pages hautes en couleur au détour desquelles on croise - non sans une certaine appréhension - l'irrésistible inspecteur Ceccaldi qui évoque avec superbe le Bertrand Blier des grands jours. Lorsqu'il écrit au début des années soixante Les Tontons flingueurs, Michel Audiard souhaite intituler le film Le Terminus des prétentieux.
On ne lui accorde pas ce plaisir, il ne lâche pas l'affaire : quelques années plus tard, en 1968, il donne enfin le titre qu'il affectionne à ce roman méchamment interlope, resté inédit depuis sa première publication.
La redécouverte d'un roman jubilatoire de Michel Audiard inédit depuis sa première publication en 1968.
" Il pressent, Ceccaldi, il flaire, il subodore... et crac !
Le couperet tombe ! "
Bienvenue dans le monde de Gustave, tombeur de ces dames, gigolo à ses heures, escroc à la petite semaine. De Juan-les-Pins à Deauville, Michel Audiard nous invite à suivre les tribulations de ce héros passionnément malhonnête dans le monde parfois naïf des grandes familles et des nantis.
Si vous aimez les briquets en or et les Ferrari, si vous louchez sur l'aluminium du Paraguay, vous frappez à la bonne porte. Si vous préférez le faisan chasseur, les jolies jeunes femmes aux dents longues ou encore les balles dans la nuque, vous serez aussi largement servi. Il y en a en effet pour tous les goûts dans ces pages hautes en couleur au détour desquelles on croise - non sans une certaine appréhension - l'irrésistible inspecteur Ceccaldi qui évoque avec superbe le Bertrand Blier des grands jours. Lorsqu'il écrit au début des années soixante Les Tontons flingueurs, Michel Audiard souhaite intituler le film Le Terminus des prétentieux.
On ne lui accorde pas ce plaisir, il ne lâche pas l'affaire : quelques années plus tard, en 1968, il donne enfin le titre qu'il affectionne à ce roman méchamment interlope, resté inédit depuis sa première publication.
Si vous aimez les briquets en or et les Ferrari, si vous louchez sur l'aluminium du Paraguay, vous frappez à la bonne porte. Si vous préférez le faisan chasseur, les jolies jeunes femmes aux dents longues ou encore les balles dans la nuque, vous serez aussi largement servi. Il y en a en effet pour tous les goûts dans ces pages hautes en couleur au détour desquelles on croise - non sans une certaine appréhension - l'irrésistible inspecteur Ceccaldi qui évoque avec superbe le Bertrand Blier des grands jours. Lorsqu'il écrit au début des années soixante Les Tontons flingueurs, Michel Audiard souhaite intituler le film Le Terminus des prétentieux.
On ne lui accorde pas ce plaisir, il ne lâche pas l'affaire : quelques années plus tard, en 1968, il donne enfin le titre qu'il affectionne à ce roman méchamment interlope, resté inédit depuis sa première publication.
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