Mai 1980. A la sortie de l'école, Ilaria, huit ans, monte dans la voiture de son père Fulvio. Commencent des années de cavale à travers l'Italie, un kidnapping qui, à hauteur d'enfant, peut prendre des allures d'aventure. Mais Fulvio boit trop. Et Ilaria oublie peu à peu les visages de sa mère et de sa soeur. Dans une langue saisissante, rapide et précise, ce roman relate de l'intérieur l'écroulement d'une petite fille qui observe et ressent tout.
D'origines anglaise, italienne et suisse, Gabriella Zalapì habite à Paris. Depuis son premier roman, "Antonia" (Zoé, 2019), elle tisse une oeuvre saluée par la critique. "Les cabines téléphoniques sont des cages à la frontière entre trois mondes. Quand il se met à parler, je vois danser dans cette petite boîte le monde de Maman, de Papa et celui de l'autoroute".
Mai 1980. A la sortie de l'école, Ilaria, huit ans, monte dans la voiture de son père Fulvio. Commencent des années de cavale à travers l'Italie, un kidnapping qui, à hauteur d'enfant, peut prendre des allures d'aventure. Mais Fulvio boit trop. Et Ilaria oublie peu à peu les visages de sa mère et de sa soeur. Dans une langue saisissante, rapide et précise, ce roman relate de l'intérieur l'écroulement d'une petite fille qui observe et ressent tout.
D'origines anglaise, italienne et suisse, Gabriella Zalapì habite à Paris. Depuis son premier roman, "Antonia" (Zoé, 2019), elle tisse une oeuvre saluée par la critique. "Les cabines téléphoniques sont des cages à la frontière entre trois mondes. Quand il se met à parler, je vois danser dans cette petite boîte le monde de Maman, de Papa et celui de l'autoroute".