Dernière sortie
Le zèle apostolique exemplaire d'un évêque missionnaire du XXe siècle
En 25 années d'un labeur sans égal (1945-1970), Joseph Cucherousset mérita d'être devenu le véritable père de la chrétienté centrafricaine. La guerre finie, un jeune missionnaire pressé arrive à Bangui. Deux ans plus tard, le siège épiscopal étant devenu vacant par accident, c'est lui qui est désigné pour l'occuper. Jeune homme, il avait participé à la naissance de l'action catholique dans son pays (Laviron, en Franche-Comté).
Entré dans la Congrégation du Saint-Esprit, il s'était vu contraint de rester en France après son ordination. Il exerça alors, pendant cinq ans, un ministère sacerdotal très actif en banlieue parisienne, dans la fondation de la paroisse Sainte Colombe de Villejuif.
Entré dans la Congrégation du Saint-Esprit, il s'était vu contraint de rester en France après son ordination. Il exerça alors, pendant cinq ans, un ministère sacerdotal très actif en banlieue parisienne, dans la fondation de la paroisse Sainte Colombe de Villejuif.
En 25 années d'un labeur sans égal (1945-1970), Joseph Cucherousset mérita d'être devenu le véritable père de la chrétienté centrafricaine. La guerre finie, un jeune missionnaire pressé arrive à Bangui. Deux ans plus tard, le siège épiscopal étant devenu vacant par accident, c'est lui qui est désigné pour l'occuper. Jeune homme, il avait participé à la naissance de l'action catholique dans son pays (Laviron, en Franche-Comté).
Entré dans la Congrégation du Saint-Esprit, il s'était vu contraint de rester en France après son ordination. Il exerça alors, pendant cinq ans, un ministère sacerdotal très actif en banlieue parisienne, dans la fondation de la paroisse Sainte Colombe de Villejuif.
Entré dans la Congrégation du Saint-Esprit, il s'était vu contraint de rester en France après son ordination. Il exerça alors, pendant cinq ans, un ministère sacerdotal très actif en banlieue parisienne, dans la fondation de la paroisse Sainte Colombe de Villejuif.
