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Maud Pfaff-Reydellet

Dernière sortie
Le bestiaire des poètes
Une analyse de l'étonnante vision des animaux chez les poètes latins Quand ils évoquent la nature et la place de l'homme en son sein, Lucrèce, Virgile et Ovide font la part belle aux animaux, tantôt décrits comme des individus, tantôt énumérés dans des listes. Ils s'inspirent de modèles grecs, tant pour les savoirs zoologiques issus de philosophes comme Empédocle, Platon et Aristote, que pour l'héritage littéraire des comparaisons homériques, des épigrammes hellénistiques et des fables ésopiques.
En combinant ces différents types de discours sur les bêtes, les poètes latins renouvellent la perception de l'animal et de ses relations avec l'homme. Ils opèrent ainsi une mise en images des savoirs grecs, qui se cristallisent chez eux dans des exemples concrets. L'animal s'impose dans sa présence singulière qui touche le lecteur, invité à l'observer avec attention pour éduquer son regard aux merveilles de la nature.
Attachés à l'articulation de l'universel et du particulier, Lucrèce, Virgile et Ovide proposent de regarder les bêtes à la fois de l'extérieur et de l'intérieur, d'éprouver pour elles de l'empathie, jusqu'à voir le monde à travers leurs yeux. Les animaux sont-ils alors anthropomorphisés, ou est-ce en l'homme qu'on décèle une part d'animalité ? Dans ce jeu de miroirs, le lecteur découvre qu'il a beaucoup à apprendre de la contemplation de l'animal.
Maud Pfaff-Reydellet éclaire la manière dont la représentation de l'animal par Lucrèce, Virgile et Ovide révèle la singularité de leur art poétique, dévoilant une touche personnelle, une sensibilité et une conception de la nature qui est propre à chacun. La mise en scène de l'animal devient presque un autoportrait. Maud Pfaff-Reydellet est maîtresse de conférences HDR de langue et littérature latines à l'université de Strasbourg.
Ses recherches portent sur les Fastes d'Ovide, les mythes étiologiques et les rituels religieux dans la Rome du Principat. Elle s'intéresse à la constitution des savoirs, aux pratiques de collection et aux représentations poétiques de l'animal, entre regard naturaliste et élaboration mythologique.
En combinant ces différents types de discours sur les bêtes, les poètes latins renouvellent la perception de l'animal et de ses relations avec l'homme. Ils opèrent ainsi une mise en images des savoirs grecs, qui se cristallisent chez eux dans des exemples concrets. L'animal s'impose dans sa présence singulière qui touche le lecteur, invité à l'observer avec attention pour éduquer son regard aux merveilles de la nature.
Attachés à l'articulation de l'universel et du particulier, Lucrèce, Virgile et Ovide proposent de regarder les bêtes à la fois de l'extérieur et de l'intérieur, d'éprouver pour elles de l'empathie, jusqu'à voir le monde à travers leurs yeux. Les animaux sont-ils alors anthropomorphisés, ou est-ce en l'homme qu'on décèle une part d'animalité ? Dans ce jeu de miroirs, le lecteur découvre qu'il a beaucoup à apprendre de la contemplation de l'animal.
Maud Pfaff-Reydellet éclaire la manière dont la représentation de l'animal par Lucrèce, Virgile et Ovide révèle la singularité de leur art poétique, dévoilant une touche personnelle, une sensibilité et une conception de la nature qui est propre à chacun. La mise en scène de l'animal devient presque un autoportrait. Maud Pfaff-Reydellet est maîtresse de conférences HDR de langue et littérature latines à l'université de Strasbourg.
Ses recherches portent sur les Fastes d'Ovide, les mythes étiologiques et les rituels religieux dans la Rome du Principat. Elle s'intéresse à la constitution des savoirs, aux pratiques de collection et aux représentations poétiques de l'animal, entre regard naturaliste et élaboration mythologique.
Une analyse de l'étonnante vision des animaux chez les poètes latins Quand ils évoquent la nature et la place de l'homme en son sein, Lucrèce, Virgile et Ovide font la part belle aux animaux, tantôt décrits comme des individus, tantôt énumérés dans des listes. Ils s'inspirent de modèles grecs, tant pour les savoirs zoologiques issus de philosophes comme Empédocle, Platon et Aristote, que pour l'héritage littéraire des comparaisons homériques, des épigrammes hellénistiques et des fables ésopiques.
En combinant ces différents types de discours sur les bêtes, les poètes latins renouvellent la perception de l'animal et de ses relations avec l'homme. Ils opèrent ainsi une mise en images des savoirs grecs, qui se cristallisent chez eux dans des exemples concrets. L'animal s'impose dans sa présence singulière qui touche le lecteur, invité à l'observer avec attention pour éduquer son regard aux merveilles de la nature.
Attachés à l'articulation de l'universel et du particulier, Lucrèce, Virgile et Ovide proposent de regarder les bêtes à la fois de l'extérieur et de l'intérieur, d'éprouver pour elles de l'empathie, jusqu'à voir le monde à travers leurs yeux. Les animaux sont-ils alors anthropomorphisés, ou est-ce en l'homme qu'on décèle une part d'animalité ? Dans ce jeu de miroirs, le lecteur découvre qu'il a beaucoup à apprendre de la contemplation de l'animal.
Maud Pfaff-Reydellet éclaire la manière dont la représentation de l'animal par Lucrèce, Virgile et Ovide révèle la singularité de leur art poétique, dévoilant une touche personnelle, une sensibilité et une conception de la nature qui est propre à chacun. La mise en scène de l'animal devient presque un autoportrait. Maud Pfaff-Reydellet est maîtresse de conférences HDR de langue et littérature latines à l'université de Strasbourg.
Ses recherches portent sur les Fastes d'Ovide, les mythes étiologiques et les rituels religieux dans la Rome du Principat. Elle s'intéresse à la constitution des savoirs, aux pratiques de collection et aux représentations poétiques de l'animal, entre regard naturaliste et élaboration mythologique.
En combinant ces différents types de discours sur les bêtes, les poètes latins renouvellent la perception de l'animal et de ses relations avec l'homme. Ils opèrent ainsi une mise en images des savoirs grecs, qui se cristallisent chez eux dans des exemples concrets. L'animal s'impose dans sa présence singulière qui touche le lecteur, invité à l'observer avec attention pour éduquer son regard aux merveilles de la nature.
Attachés à l'articulation de l'universel et du particulier, Lucrèce, Virgile et Ovide proposent de regarder les bêtes à la fois de l'extérieur et de l'intérieur, d'éprouver pour elles de l'empathie, jusqu'à voir le monde à travers leurs yeux. Les animaux sont-ils alors anthropomorphisés, ou est-ce en l'homme qu'on décèle une part d'animalité ? Dans ce jeu de miroirs, le lecteur découvre qu'il a beaucoup à apprendre de la contemplation de l'animal.
Maud Pfaff-Reydellet éclaire la manière dont la représentation de l'animal par Lucrèce, Virgile et Ovide révèle la singularité de leur art poétique, dévoilant une touche personnelle, une sensibilité et une conception de la nature qui est propre à chacun. La mise en scène de l'animal devient presque un autoportrait. Maud Pfaff-Reydellet est maîtresse de conférences HDR de langue et littérature latines à l'université de Strasbourg.
Ses recherches portent sur les Fastes d'Ovide, les mythes étiologiques et les rituels religieux dans la Rome du Principat. Elle s'intéresse à la constitution des savoirs, aux pratiques de collection et aux représentations poétiques de l'animal, entre regard naturaliste et élaboration mythologique.
Les livres de Maud Pfaff-Reydellet

Le bestiaire des poètes. La mise en scène de l’animal chez Lucrèce, Virgile et Ovide
Maud Pfaff-Reydellet
Grand Format
26,00 €

Segetis certa fides meae. Hommages offerts à Gérard Freyburger
Catherine Notter, Maud Pfaff-Reydellet
84,40 €

Figures mythiques et discours religieux dans l'Empire gréco-romain
Frédéric Chapot, Johann Goeken, Maud Pfaff-Reydellet
Grand Format
97,10 €