Tête-à-tête N° 4, automne 2012
Catastrophe !
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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- Poids0.27 kg
- Dimensions20,1 cm × 26,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-35687-210-4
- EAN9782356872104
- Date de parution24/11/2012
- ÉditeurLe Bord de l'eau
Résumé
La planète est en danger, le monde court à sa perte, nos jours sont comptés. Les scientifiques, relayés par les écologistes, ne cessent de nous mettre en garde devant le réchauffement climatique, la déforestation, la raréfaction des espèces…Catastrophe et progrès semblent plus que jamais l’avers et le revers d’une même médaille, comme l’affirmait Hannah Arendt. À chaque nouvelle catastrophe, nous entendons sonner le glas du séjour de l’homme sur Terre.
Plus de châtiment divin, mais une éco-responsabilité qui nous poursuit jusque dans notre bain. Millénarisme culpabilisant, ou bien péril réel qui place l’homme à l’origine et au centre de sa perte ? Aux catastrophismes divers nous répondons à grands coups de « principe de précaution », de « risque zéro » et de « cellules psychologiques ». Les discours sécuritaires s’alimentent des images de destruction venues de partout et diffusées sur les écrans du monde entier.
Le spectacle des souffrances humaines donne lieu aux récupérations les plus variées, médiatiques, politiques, religieuses, voire artistiques. À l’abri de ces manifestations de surface peuvent sans doute se maintenir en place des systèmes qui menacent l’humanité, l’intoxiquent, l’affament…Danger véritable ou chiffon rouge agité devant nos yeux, la catastrophe, qu’elle soit naturelle, industrielle, humanitaire, militaire, politique ou financière est le lieu d’infinis fantasmes, mais aussi de critiques profondes du monde tel qu’il est.
Des flamboyants films catastrophes (The Host de Bong Joon-ho) au roman épuré, post-apocalyptique, d’un Cormac McCarthy, sur le fond de nos désirs les plus troubles, se dessine l’image sombre, en négatif, de notre monde, en mettant à jour sa mécanique infernale. Pourtant, de la catastrophe peuvent naître aussi des trésors d’ingéniosité et de solidarités nouvelles. Effrayante et féconde, elle a le mérite de rendre l’avenir à son incertitude.
Plus de châtiment divin, mais une éco-responsabilité qui nous poursuit jusque dans notre bain. Millénarisme culpabilisant, ou bien péril réel qui place l’homme à l’origine et au centre de sa perte ? Aux catastrophismes divers nous répondons à grands coups de « principe de précaution », de « risque zéro » et de « cellules psychologiques ». Les discours sécuritaires s’alimentent des images de destruction venues de partout et diffusées sur les écrans du monde entier.
Le spectacle des souffrances humaines donne lieu aux récupérations les plus variées, médiatiques, politiques, religieuses, voire artistiques. À l’abri de ces manifestations de surface peuvent sans doute se maintenir en place des systèmes qui menacent l’humanité, l’intoxiquent, l’affament…Danger véritable ou chiffon rouge agité devant nos yeux, la catastrophe, qu’elle soit naturelle, industrielle, humanitaire, militaire, politique ou financière est le lieu d’infinis fantasmes, mais aussi de critiques profondes du monde tel qu’il est.
Des flamboyants films catastrophes (The Host de Bong Joon-ho) au roman épuré, post-apocalyptique, d’un Cormac McCarthy, sur le fond de nos désirs les plus troubles, se dessine l’image sombre, en négatif, de notre monde, en mettant à jour sa mécanique infernale. Pourtant, de la catastrophe peuvent naître aussi des trésors d’ingéniosité et de solidarités nouvelles. Effrayante et féconde, elle a le mérite de rendre l’avenir à son incertitude.
La planète est en danger, le monde court à sa perte, nos jours sont comptés. Les scientifiques, relayés par les écologistes, ne cessent de nous mettre en garde devant le réchauffement climatique, la déforestation, la raréfaction des espèces…Catastrophe et progrès semblent plus que jamais l’avers et le revers d’une même médaille, comme l’affirmait Hannah Arendt. À chaque nouvelle catastrophe, nous entendons sonner le glas du séjour de l’homme sur Terre.
Plus de châtiment divin, mais une éco-responsabilité qui nous poursuit jusque dans notre bain. Millénarisme culpabilisant, ou bien péril réel qui place l’homme à l’origine et au centre de sa perte ? Aux catastrophismes divers nous répondons à grands coups de « principe de précaution », de « risque zéro » et de « cellules psychologiques ». Les discours sécuritaires s’alimentent des images de destruction venues de partout et diffusées sur les écrans du monde entier.
Le spectacle des souffrances humaines donne lieu aux récupérations les plus variées, médiatiques, politiques, religieuses, voire artistiques. À l’abri de ces manifestations de surface peuvent sans doute se maintenir en place des systèmes qui menacent l’humanité, l’intoxiquent, l’affament…Danger véritable ou chiffon rouge agité devant nos yeux, la catastrophe, qu’elle soit naturelle, industrielle, humanitaire, militaire, politique ou financière est le lieu d’infinis fantasmes, mais aussi de critiques profondes du monde tel qu’il est.
Des flamboyants films catastrophes (The Host de Bong Joon-ho) au roman épuré, post-apocalyptique, d’un Cormac McCarthy, sur le fond de nos désirs les plus troubles, se dessine l’image sombre, en négatif, de notre monde, en mettant à jour sa mécanique infernale. Pourtant, de la catastrophe peuvent naître aussi des trésors d’ingéniosité et de solidarités nouvelles. Effrayante et féconde, elle a le mérite de rendre l’avenir à son incertitude.
Plus de châtiment divin, mais une éco-responsabilité qui nous poursuit jusque dans notre bain. Millénarisme culpabilisant, ou bien péril réel qui place l’homme à l’origine et au centre de sa perte ? Aux catastrophismes divers nous répondons à grands coups de « principe de précaution », de « risque zéro » et de « cellules psychologiques ». Les discours sécuritaires s’alimentent des images de destruction venues de partout et diffusées sur les écrans du monde entier.
Le spectacle des souffrances humaines donne lieu aux récupérations les plus variées, médiatiques, politiques, religieuses, voire artistiques. À l’abri de ces manifestations de surface peuvent sans doute se maintenir en place des systèmes qui menacent l’humanité, l’intoxiquent, l’affament…Danger véritable ou chiffon rouge agité devant nos yeux, la catastrophe, qu’elle soit naturelle, industrielle, humanitaire, militaire, politique ou financière est le lieu d’infinis fantasmes, mais aussi de critiques profondes du monde tel qu’il est.
Des flamboyants films catastrophes (The Host de Bong Joon-ho) au roman épuré, post-apocalyptique, d’un Cormac McCarthy, sur le fond de nos désirs les plus troubles, se dessine l’image sombre, en négatif, de notre monde, en mettant à jour sa mécanique infernale. Pourtant, de la catastrophe peuvent naître aussi des trésors d’ingéniosité et de solidarités nouvelles. Effrayante et féconde, elle a le mérite de rendre l’avenir à son incertitude.