Sociétés & Représentations N° 42, automne 2016
Dire l'inceste

Par : Anne-Emmanuelle Demartini

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  • Nombre de pages268
  • PrésentationBroché
  • Poids0.534 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-85944-969-8
  • EAN9782859449698
  • Date de parution12/12/2016
  • ÉditeurPublications de la Sorbonne

Résumé

En 2015, à l'issue d'une mobilisation des associations et des victimes, d'un débat public et de rebondissements judiciaires, l'inceste a été inscrit dans le Code pénal par un vote unanime. A la lumière de cette situation récente, ce numéro de Sociétés et Représentations intitulé "Dire l'inceste" questionne l'évolution des conceptions et représentations de l'inceste, à partir d'une réflexion sur le tabou de l'inceste à l'époque contemporaine (tout en offrant une mise en perspective historique avec la conception médiévale de l'inceste).
Il réunit les contributions de huit chercheurs, issus d'horizons disciplinaires différents (l'histoire surtout, mais aussi l'histoire de l'art, l'anthropologie, la littérature), qui prennent pour objet la parole sur l'inceste, émanant des différents acteurs du jeu social : victimes, agresseurs, proches et voisins, juges et avocats, journalistes, simples particuliers, artistes et écrivains renommés, etc.) parmi lesquels sont les chercheurs eux-mêmes, ce qui invite à prendre en compte également les effets du tabou sur le chercheur en sciences sociales.
En 2015, à l'issue d'une mobilisation des associations et des victimes, d'un débat public et de rebondissements judiciaires, l'inceste a été inscrit dans le Code pénal par un vote unanime. A la lumière de cette situation récente, ce numéro de Sociétés et Représentations intitulé "Dire l'inceste" questionne l'évolution des conceptions et représentations de l'inceste, à partir d'une réflexion sur le tabou de l'inceste à l'époque contemporaine (tout en offrant une mise en perspective historique avec la conception médiévale de l'inceste).
Il réunit les contributions de huit chercheurs, issus d'horizons disciplinaires différents (l'histoire surtout, mais aussi l'histoire de l'art, l'anthropologie, la littérature), qui prennent pour objet la parole sur l'inceste, émanant des différents acteurs du jeu social : victimes, agresseurs, proches et voisins, juges et avocats, journalistes, simples particuliers, artistes et écrivains renommés, etc.) parmi lesquels sont les chercheurs eux-mêmes, ce qui invite à prendre en compte également les effets du tabou sur le chercheur en sciences sociales.