Sept N° 15
L'homme et la #mer

Par : Revue Sept
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.667 kg
  • Dimensions19,0 cm × 27,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-9701131-1-9
  • EAN9782970113119
  • Date de parution23/12/2016
  • ÉditeurRevue Sept

Résumé

Ce numéro de Sept consacré à l'homme et la mer nous amène au Japon où l'on ne mange quasiment plus de baleine, mais où près de 80% de la population reste en faveur de sa chasse. Le sort du cétacé y déchaîne tant les passions que le dialogue entre les pro et les antipêche est aujourd'hui rompu. Mais pourquoi les Japonais tiennent-ils autant à conserver la baleine dans leur assiette alors qu'ils n'ont plus envie d'en manger ? Plus à l'ouest, les pêcheurs de la mer d'Aral ont eux perdu leur gagne-pain, évaporé pour quelques champs de coton dans le désert d'Asie centrale.
Aujourd'hui, ils reprennent espoir grâce à un barrage providentiel et à la renaissance de leur petite mer, comme a pu constater le photographe Didier Bizet. Mais le mal est fait. Plus au sud, du côté de Chittagong, ce sont les vieux navires occidentaux qui finissent dépecés sur les plages du Bangladesh. Des chantiers navals de démantèlement qui tuent plus lentement la masse de ses forçats, plus discrètement que l'effondrement d'une usine au coeur de la ville.
Visite de l'un des plus grands cimetières maritimes au monde. Quant aux enfants marins du pensionnat belge de l'Ibis, ils ont toujours le vague à l'âme, même sous l'objectif de la photographe Elena Fusco. L'ambiance est propre à celle de la côte flamande : tout y est carré, propre, fonctionnel et gris.
Ce numéro de Sept consacré à l'homme et la mer nous amène au Japon où l'on ne mange quasiment plus de baleine, mais où près de 80% de la population reste en faveur de sa chasse. Le sort du cétacé y déchaîne tant les passions que le dialogue entre les pro et les antipêche est aujourd'hui rompu. Mais pourquoi les Japonais tiennent-ils autant à conserver la baleine dans leur assiette alors qu'ils n'ont plus envie d'en manger ? Plus à l'ouest, les pêcheurs de la mer d'Aral ont eux perdu leur gagne-pain, évaporé pour quelques champs de coton dans le désert d'Asie centrale.
Aujourd'hui, ils reprennent espoir grâce à un barrage providentiel et à la renaissance de leur petite mer, comme a pu constater le photographe Didier Bizet. Mais le mal est fait. Plus au sud, du côté de Chittagong, ce sont les vieux navires occidentaux qui finissent dépecés sur les plages du Bangladesh. Des chantiers navals de démantèlement qui tuent plus lentement la masse de ses forçats, plus discrètement que l'effondrement d'une usine au coeur de la ville.
Visite de l'un des plus grands cimetières maritimes au monde. Quant aux enfants marins du pensionnat belge de l'Ibis, ils ont toujours le vague à l'âme, même sous l'objectif de la photographe Elena Fusco. L'ambiance est propre à celle de la côte flamande : tout y est carré, propre, fonctionnel et gris.
Sept N° 29
Revue Sept
E-book
14,99 €
Sept N° 28
Revue Sept
E-book
14,99 €
Image Placeholder
Revue Sept
Grand Format
27,90 €
Sept N° 28
Revue Sept
Grand Format
27,80 €