Sciences de la Société N° 58, Février 2003
Les universités à l'heure de la gouvernance
Par : , Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- Poids0.46 kg
- Dimensions16,5 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN2-85816-658-7
- EAN9782858166589
- Date de parution01/02/2003
- ÉditeurPresses Universitaires Mirail
Résumé
Si, dès la fin des années 1960, l'Université se voyait perdre son âme sous le rouleau compresseur de rapports marchands, plus de trente ans après, elle semble s'être accommodée à sa " crise d'identité ". L'apparent éclatement de l'objet " université " a ouvert des espaces à des établissements universitaires faisant l'apprentissage de l'autonomie : incitées à développer des projets dans le cadre de contrats quadriennaux et mieux pilotées par des présidents s'initiant au management, les universités ont relevé de nombreux défis.
Elles sont devenues des acteurs de premier plan dans leur environnement et ont découvert de nouvelles formes d'actions collectives et la complexité de la décision. Dans le même temps, l'Etat se fait de plus en plus discret, s'attachant seulement à définir un nouvel espace de négociation et d'action dans lequel aucune régulation ne domine : chaque logique d'action collective doit composer avec les autres, le changement et la " modernisation " s'opèrent par des infléchissements à la marge, qui composent un résultat final, toujours différent de ce qu'espérait chacun des acteurs.
Elles sont devenues des acteurs de premier plan dans leur environnement et ont découvert de nouvelles formes d'actions collectives et la complexité de la décision. Dans le même temps, l'Etat se fait de plus en plus discret, s'attachant seulement à définir un nouvel espace de négociation et d'action dans lequel aucune régulation ne domine : chaque logique d'action collective doit composer avec les autres, le changement et la " modernisation " s'opèrent par des infléchissements à la marge, qui composent un résultat final, toujours différent de ce qu'espérait chacun des acteurs.
Si, dès la fin des années 1960, l'Université se voyait perdre son âme sous le rouleau compresseur de rapports marchands, plus de trente ans après, elle semble s'être accommodée à sa " crise d'identité ". L'apparent éclatement de l'objet " université " a ouvert des espaces à des établissements universitaires faisant l'apprentissage de l'autonomie : incitées à développer des projets dans le cadre de contrats quadriennaux et mieux pilotées par des présidents s'initiant au management, les universités ont relevé de nombreux défis.
Elles sont devenues des acteurs de premier plan dans leur environnement et ont découvert de nouvelles formes d'actions collectives et la complexité de la décision. Dans le même temps, l'Etat se fait de plus en plus discret, s'attachant seulement à définir un nouvel espace de négociation et d'action dans lequel aucune régulation ne domine : chaque logique d'action collective doit composer avec les autres, le changement et la " modernisation " s'opèrent par des infléchissements à la marge, qui composent un résultat final, toujours différent de ce qu'espérait chacun des acteurs.
Elles sont devenues des acteurs de premier plan dans leur environnement et ont découvert de nouvelles formes d'actions collectives et la complexité de la décision. Dans le même temps, l'Etat se fait de plus en plus discret, s'attachant seulement à définir un nouvel espace de négociation et d'action dans lequel aucune régulation ne domine : chaque logique d'action collective doit composer avec les autres, le changement et la " modernisation " s'opèrent par des infléchissements à la marge, qui composent un résultat final, toujours différent de ce qu'espérait chacun des acteurs.