Revue des Sciences Humaines N° 304, 4/2011
Le dire du peu

Par : Franck Villain

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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • Poids0.388 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-913761-51-3
  • EAN9782913761513
  • Date de parution01/03/2012
  • ÉditeurPU du Septentrion

Résumé

Ce collectif aborde la question du lien au monde porté par une parole marquée esthétiquement par le minimalisme et s'attache à dégager ce que ce langage du peu vise à établir. Le livre se structure alors autour de trois axes : "potentialité du peu", "matières du peu", "retraits du peu". La première partie aborde ainsi le "dire du peu" sur son aspect énergétique, et le décline de la "graine" à la "ruine" des mots.
La seconde partie, elle, s'arrête sur la capacité que le "dire du peu" a à absorber des perceptions jugées mineures voire insignifiantes et à dégager en elles des noyaux de questionnements ontologiques fondamentaux. Le troisième volet du livre, quant à lui, se centre sur les moyens esthétiques qui permettent à ce "dire du peu" de tailler, réduire, concentrer la parole sur une frange minimale de mots ; sont alors abordées les questions de la coupure, du retranchement de l'appareil perceptif sur une posture d'accueil au monde plus en prise avec l'épuré, la nudité, le creusement du figuratif.
Ce collectif aborde la question du lien au monde porté par une parole marquée esthétiquement par le minimalisme et s'attache à dégager ce que ce langage du peu vise à établir. Le livre se structure alors autour de trois axes : "potentialité du peu", "matières du peu", "retraits du peu". La première partie aborde ainsi le "dire du peu" sur son aspect énergétique, et le décline de la "graine" à la "ruine" des mots.
La seconde partie, elle, s'arrête sur la capacité que le "dire du peu" a à absorber des perceptions jugées mineures voire insignifiantes et à dégager en elles des noyaux de questionnements ontologiques fondamentaux. Le troisième volet du livre, quant à lui, se centre sur les moyens esthétiques qui permettent à ce "dire du peu" de tailler, réduire, concentrer la parole sur une frange minimale de mots ; sont alors abordées les questions de la coupure, du retranchement de l'appareil perceptif sur une posture d'accueil au monde plus en prise avec l'épuré, la nudité, le creusement du figuratif.