Pauvretés esthétiques au XIXe siècle. Regards croisés franco-britanniques
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- Nombre de pages194
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.343 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-36441-437-2
- EAN9782364414372
- Date de parution17/05/2022
- CollectionEcritures
- ÉditeurEU de Dijon
Résumé
Les grandes sociétés industrielles et libérales que sont le Royaume-Uni et la France au cours du XIXe siècle, en plein essor du capitalisme, connaissent une pauvreté urbaine, d'autant plus criante qu'elle contraste autant avec les idéologies du progrès et de l'effort qu'avec les aménagements hygiénistes des villes. La présence dans les rues de Londres et de Paris de mendiants, femmes perdues et enfants abandonnés, est documentée par la photographie naissante, débattue au parlement, étudiée dans des essais d'économie, de médecine, d'urbanisme.
Elle est aussi partout dans l'art, par la peinture de genre, la gravure, les romans réalistes. Comment la dénonciation de la misère s'accommode-t-elle de son esthétisation ? Le regard empathique porté sur l'extrême dénuement sert-il ou dessert-il la charité privée, la mise en place de politiques de santé, l'aide de l'Etat aux indigents ? L'étude croisée de romans et de tableaux, en France et au Royaume-Uni, permet d'analyser le portrait de ces "bons" et "beaux" pauvres, remarquables sujets de fictions, que l'on se plaît à lire et à regarder.
Elle est aussi partout dans l'art, par la peinture de genre, la gravure, les romans réalistes. Comment la dénonciation de la misère s'accommode-t-elle de son esthétisation ? Le regard empathique porté sur l'extrême dénuement sert-il ou dessert-il la charité privée, la mise en place de politiques de santé, l'aide de l'Etat aux indigents ? L'étude croisée de romans et de tableaux, en France et au Royaume-Uni, permet d'analyser le portrait de ces "bons" et "beaux" pauvres, remarquables sujets de fictions, que l'on se plaît à lire et à regarder.
Les grandes sociétés industrielles et libérales que sont le Royaume-Uni et la France au cours du XIXe siècle, en plein essor du capitalisme, connaissent une pauvreté urbaine, d'autant plus criante qu'elle contraste autant avec les idéologies du progrès et de l'effort qu'avec les aménagements hygiénistes des villes. La présence dans les rues de Londres et de Paris de mendiants, femmes perdues et enfants abandonnés, est documentée par la photographie naissante, débattue au parlement, étudiée dans des essais d'économie, de médecine, d'urbanisme.
Elle est aussi partout dans l'art, par la peinture de genre, la gravure, les romans réalistes. Comment la dénonciation de la misère s'accommode-t-elle de son esthétisation ? Le regard empathique porté sur l'extrême dénuement sert-il ou dessert-il la charité privée, la mise en place de politiques de santé, l'aide de l'Etat aux indigents ? L'étude croisée de romans et de tableaux, en France et au Royaume-Uni, permet d'analyser le portrait de ces "bons" et "beaux" pauvres, remarquables sujets de fictions, que l'on se plaît à lire et à regarder.
Elle est aussi partout dans l'art, par la peinture de genre, la gravure, les romans réalistes. Comment la dénonciation de la misère s'accommode-t-elle de son esthétisation ? Le regard empathique porté sur l'extrême dénuement sert-il ou dessert-il la charité privée, la mise en place de politiques de santé, l'aide de l'Etat aux indigents ? L'étude croisée de romans et de tableaux, en France et au Royaume-Uni, permet d'analyser le portrait de ces "bons" et "beaux" pauvres, remarquables sujets de fictions, que l'on se plaît à lire et à regarder.