Quaderni N° 88, Automne 2015
Les séries, politique fiction
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- Nombre de pages139
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.255 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-7351-2037-6
- EAN9782735120376
- Date de parution05/11/2015
- ÉditeurMaison des Sciences de l'Homme
Résumé
Ce numéro propose une voie d’entrée dans l’analyse des séries, qui considère que l’esthétique narrative de plusieurs productions contemporaines dépeint un monde social alternatif au nôtre, et pense à ce qui fait «communauté», à ce qui la défait, et aux voies qui permettraient de la refaire. Les séries sont donc «politiques» en ce sens. Leur force est qu’elles donnent à voir des univers plausibles, séduisants, décalés, où le «réalisme» n’est que le moyen de rendre ces univers familiers.
C’est précisément pour satisfaire cet objectif politique que les séries relèvent de la fiction. Il faut donc travailler tout ce que la fiction apporte au réel, et s’intéresser à la part fictionnelle de la fiction.
C’est précisément pour satisfaire cet objectif politique que les séries relèvent de la fiction. Il faut donc travailler tout ce que la fiction apporte au réel, et s’intéresser à la part fictionnelle de la fiction.
Ce numéro propose une voie d’entrée dans l’analyse des séries, qui considère que l’esthétique narrative de plusieurs productions contemporaines dépeint un monde social alternatif au nôtre, et pense à ce qui fait «communauté», à ce qui la défait, et aux voies qui permettraient de la refaire. Les séries sont donc «politiques» en ce sens. Leur force est qu’elles donnent à voir des univers plausibles, séduisants, décalés, où le «réalisme» n’est que le moyen de rendre ces univers familiers.
C’est précisément pour satisfaire cet objectif politique que les séries relèvent de la fiction. Il faut donc travailler tout ce que la fiction apporte au réel, et s’intéresser à la part fictionnelle de la fiction.
C’est précisément pour satisfaire cet objectif politique que les séries relèvent de la fiction. Il faut donc travailler tout ce que la fiction apporte au réel, et s’intéresser à la part fictionnelle de la fiction.