Lumières N° 40, 2e semestre 2022
Autour des Lettres persanes : Montesquieu et la fiction

Par : Aurélia Gaillard
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  • Nombre de pages238
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.437 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN979-10-300-0859-3
  • EAN9791030008593
  • Date de parution11/01/2023
  • ÉditeurPU Bordeaux

Résumé

Qu'est-ce que la fiction pour un penseur comme Montesquieu ? Un divertissement, un moyen de faire sentir ses idées, une métaphore ? Dans les Lettres persanes comme dans ses contes orientaux, l'auteur-philosophe explore les limites de la fiction. Qu'est-ce que la fiction pour un penseur comme Montesquieu ? Un divertissement, un moyen de faire sentir et éprouver des idées, une métaphore ? Beaucoup a été dit et écrit sur le roman des Lettres persanes, entre écrit journalistique, philosophique, littéraire, à la fois satire, fiction, allégorie et livre d'idées.
Le présent volume réexamine, à l'occasion du tricentenaire de sa publication, en 1721, la part romanesque de cette oeuvre phare en la plaçant sous l'éclairage nouveau des autres fictions bien moins célèbres, contes orientaux et textes courts, narratifs ou non, et d'une réflexion sur le statut du fictif et de la fictionnalité chez l'auteur. Ce numéro interroge donc la relation, y compris à géométrie variable d'une édition à l'autre, qu'entretiennent les Lettres persanes avec la fiction - c'est-à-dire avec la fiction du roman dans son ensemble ou avec ses fictions insérées - mais aussi celle expérimentée par les deux contes principaux, Histoire véritable et Arsace et Isménie, sans exclure un parcours dans toute l'oeuvre, du Temple de Gnide aux Pensées.
Autour des Lettres persanes, explore, y compris depuis ses marges, la pratique très originale d'une fiction conçue par un auteur-philosophe comme un laboratoire de tous les possibles.
Qu'est-ce que la fiction pour un penseur comme Montesquieu ? Un divertissement, un moyen de faire sentir ses idées, une métaphore ? Dans les Lettres persanes comme dans ses contes orientaux, l'auteur-philosophe explore les limites de la fiction. Qu'est-ce que la fiction pour un penseur comme Montesquieu ? Un divertissement, un moyen de faire sentir et éprouver des idées, une métaphore ? Beaucoup a été dit et écrit sur le roman des Lettres persanes, entre écrit journalistique, philosophique, littéraire, à la fois satire, fiction, allégorie et livre d'idées.
Le présent volume réexamine, à l'occasion du tricentenaire de sa publication, en 1721, la part romanesque de cette oeuvre phare en la plaçant sous l'éclairage nouveau des autres fictions bien moins célèbres, contes orientaux et textes courts, narratifs ou non, et d'une réflexion sur le statut du fictif et de la fictionnalité chez l'auteur. Ce numéro interroge donc la relation, y compris à géométrie variable d'une édition à l'autre, qu'entretiennent les Lettres persanes avec la fiction - c'est-à-dire avec la fiction du roman dans son ensemble ou avec ses fictions insérées - mais aussi celle expérimentée par les deux contes principaux, Histoire véritable et Arsace et Isménie, sans exclure un parcours dans toute l'oeuvre, du Temple de Gnide aux Pensées.
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