Liberté politique N° 47, Décembre 2009
La postmodernité contre l' Eglise

Par : Gérard Thoris, Jacques Bichot, Emmanuel Tranchant, Hélène Bodenez

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  • Nombre de pages209
  • PrésentationBroché
  • Poids0.365 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-7089-9814-8
  • EAN9782708998148
  • Date de parution10/12/2009
  • ÉditeurPrivat

Résumé

Les attaques contre le pape Benoît XVI qui ont émaillé l'année 2009 conduisent à s'interroger sur les fondements culturels qui portent une telle réaction, perçue jusque dans l'arène politique française et les arcanes du Parlement européen. En réfléchissant sur les présupposés de la culture médiatique occidentale, on est directement conduit à analyser ce qui est communément appelé le postmodernisme, dont le lieu emblématique d'application est la liberté absolue dans la pratique sexuelle.
Succédant aux velléités modernes, le postmodernisme ne se veut pas un courant théorique : il est avant tout pratique et son " projet " vise à déconstruire l'anthropologie chrétienne en faisant naître un homme parfaitement individualiste. Face à cet hyper- individualisme, où l'argent est devenu le principe stabilisateur de la société, l'Église possède un langage clair et authentiquement libérateur.
Face au surendettement phénoménal et global des économies développées, qui concerne aussi bien les États, les entreprises, que les particuliers, la tentation de l'inflation surgit inévitablement. Est-ce un bon remède ?
Les attaques contre le pape Benoît XVI qui ont émaillé l'année 2009 conduisent à s'interroger sur les fondements culturels qui portent une telle réaction, perçue jusque dans l'arène politique française et les arcanes du Parlement européen. En réfléchissant sur les présupposés de la culture médiatique occidentale, on est directement conduit à analyser ce qui est communément appelé le postmodernisme, dont le lieu emblématique d'application est la liberté absolue dans la pratique sexuelle.
Succédant aux velléités modernes, le postmodernisme ne se veut pas un courant théorique : il est avant tout pratique et son " projet " vise à déconstruire l'anthropologie chrétienne en faisant naître un homme parfaitement individualiste. Face à cet hyper- individualisme, où l'argent est devenu le principe stabilisateur de la société, l'Église possède un langage clair et authentiquement libérateur.
Face au surendettement phénoménal et global des économies développées, qui concerne aussi bien les États, les entreprises, que les particuliers, la tentation de l'inflation surgit inévitablement. Est-ce un bon remède ?