La revue des affaires N° 6
L'économie du plaisir et des sens

Par : Nicolas Menguy

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  • Nombre de pages100
  • PrésentationBroché
  • Poids0.416 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 0,9 cm
  • ISBN979-10-93240-16-9
  • EAN9791093240169
  • Date de parution20/10/2016
  • ÉditeurVa Press

Résumé

Libéré par l'économie de toute contrainte relative à sa survie, l'homme peut désormais consacrer son existence à "se faire plaisir". Le postulat inhérent à l'esprit de la société contemporaine oppose ainsi l'économie au plaisir. L'un évoque la logistique (l'organisation de la maison étymologiquement) et se décline sous la forme nécessaire du travail, l'autre se caractérise par un état de contentement qui fait implicitement référence à une libération (du besoin, du désir, des sens, etc.).
Pourtant, tel que cela vient d'être suggéré, le plaisir est étroitement lié à la consommation, (de la chair, du temps présent, des histoires qui nous font rêver, des biens qui agrémentent nos identités, etc.). Or peut-il réellement y avoir consommation sans travail préalable et sans activité économique ? En fait, bien que le lien entre les deux notions reste largement inexploré, le plaisir est depuis l'avènement de la société de consommation dans les années 20, devenu un moteur de la vie économique.
L'économie produit du plaisir à travers des biens, des services, mais aussi des histoires. Et si le plaisir est un fond de commerce depuis bientôt cent ans, il tend désormais à s'immiscer dans la logistique qui donne consistance au commerce. C'est tout du moins ce que soulèvent les réflexions récentes sur l'importance de faire du lieu de travail, un espace de plaisir avant tout. Ainsi, le numéro six de la Revue des Affaires balaye la relation entre économie et plaisir, de façon originale, accessible, cognitive, et bien sûr sans démagogie aucune.
Libéré par l'économie de toute contrainte relative à sa survie, l'homme peut désormais consacrer son existence à "se faire plaisir". Le postulat inhérent à l'esprit de la société contemporaine oppose ainsi l'économie au plaisir. L'un évoque la logistique (l'organisation de la maison étymologiquement) et se décline sous la forme nécessaire du travail, l'autre se caractérise par un état de contentement qui fait implicitement référence à une libération (du besoin, du désir, des sens, etc.).
Pourtant, tel que cela vient d'être suggéré, le plaisir est étroitement lié à la consommation, (de la chair, du temps présent, des histoires qui nous font rêver, des biens qui agrémentent nos identités, etc.). Or peut-il réellement y avoir consommation sans travail préalable et sans activité économique ? En fait, bien que le lien entre les deux notions reste largement inexploré, le plaisir est depuis l'avènement de la société de consommation dans les années 20, devenu un moteur de la vie économique.
L'économie produit du plaisir à travers des biens, des services, mais aussi des histoires. Et si le plaisir est un fond de commerce depuis bientôt cent ans, il tend désormais à s'immiscer dans la logistique qui donne consistance au commerce. C'est tout du moins ce que soulèvent les réflexions récentes sur l'importance de faire du lieu de travail, un espace de plaisir avant tout. Ainsi, le numéro six de la Revue des Affaires balaye la relation entre économie et plaisir, de façon originale, accessible, cognitive, et bien sûr sans démagogie aucune.