La recherche N° 556, février 2020
Par :Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
- Nombre de pages98
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.188 kg
- Dimensions20,0 cm × 27,0 cm × 0,2 cm
- ISBN366-3-322-10827-3
- EAN3663322108273
- Date de parution31/01/2020
- ÉditeurSophia Publications
Résumé
Depuis à peu près 40 000 ans, une seule espèce humaine peuple la Terre : la nôtre, Homo sapiens. Nos ancêtres, apparus il y a plus de 300 000 ans, se sont disséminés sur l'ensemble des continents. Jusque dans les années 1990, l'idée d'une évolution spécifique, multirégionaliste, pouvait encore être défendue : les populations modernes seraient directement issues de groupes préhistoriques locaux, enracinés depuis plusieurs centaines de milliers d'années.
Les progrès de l'archéologie et de la génétique ont depuis changé la donne. L'évolution humaine n'est pas un phénomène linéaire, mais suit un processus buissonnant. Nos ancêtres ont côtoyé d'autres groupes humains. L'Europe était le territoire de l'homme de Neandertal ; l'Asie, celui des Dénisoviens. Tandis que, sur des zones isolées - comme l'île de Florès, en Indonésie, ou celle de Luçon, aux Philippines -, pouvaient exister des populations uniques aux caractères très particuliers.
Toutes ont été remplacées par Homo sapiens qui, originaire d'Afrique, a sans doute profité d'un phénomène climatique favorable ("Sahara vert") pour s'aventurer d'abord dans la péninsule arabique, puis en Eurasie. Très rares sont ceux qui s'opposent désormais aux grandes lignes de ce schéma.
Les progrès de l'archéologie et de la génétique ont depuis changé la donne. L'évolution humaine n'est pas un phénomène linéaire, mais suit un processus buissonnant. Nos ancêtres ont côtoyé d'autres groupes humains. L'Europe était le territoire de l'homme de Neandertal ; l'Asie, celui des Dénisoviens. Tandis que, sur des zones isolées - comme l'île de Florès, en Indonésie, ou celle de Luçon, aux Philippines -, pouvaient exister des populations uniques aux caractères très particuliers.
Toutes ont été remplacées par Homo sapiens qui, originaire d'Afrique, a sans doute profité d'un phénomène climatique favorable ("Sahara vert") pour s'aventurer d'abord dans la péninsule arabique, puis en Eurasie. Très rares sont ceux qui s'opposent désormais aux grandes lignes de ce schéma.
Depuis à peu près 40 000 ans, une seule espèce humaine peuple la Terre : la nôtre, Homo sapiens. Nos ancêtres, apparus il y a plus de 300 000 ans, se sont disséminés sur l'ensemble des continents. Jusque dans les années 1990, l'idée d'une évolution spécifique, multirégionaliste, pouvait encore être défendue : les populations modernes seraient directement issues de groupes préhistoriques locaux, enracinés depuis plusieurs centaines de milliers d'années.
Les progrès de l'archéologie et de la génétique ont depuis changé la donne. L'évolution humaine n'est pas un phénomène linéaire, mais suit un processus buissonnant. Nos ancêtres ont côtoyé d'autres groupes humains. L'Europe était le territoire de l'homme de Neandertal ; l'Asie, celui des Dénisoviens. Tandis que, sur des zones isolées - comme l'île de Florès, en Indonésie, ou celle de Luçon, aux Philippines -, pouvaient exister des populations uniques aux caractères très particuliers.
Toutes ont été remplacées par Homo sapiens qui, originaire d'Afrique, a sans doute profité d'un phénomène climatique favorable ("Sahara vert") pour s'aventurer d'abord dans la péninsule arabique, puis en Eurasie. Très rares sont ceux qui s'opposent désormais aux grandes lignes de ce schéma.
Les progrès de l'archéologie et de la génétique ont depuis changé la donne. L'évolution humaine n'est pas un phénomène linéaire, mais suit un processus buissonnant. Nos ancêtres ont côtoyé d'autres groupes humains. L'Europe était le territoire de l'homme de Neandertal ; l'Asie, celui des Dénisoviens. Tandis que, sur des zones isolées - comme l'île de Florès, en Indonésie, ou celle de Luçon, aux Philippines -, pouvaient exister des populations uniques aux caractères très particuliers.
Toutes ont été remplacées par Homo sapiens qui, originaire d'Afrique, a sans doute profité d'un phénomène climatique favorable ("Sahara vert") pour s'aventurer d'abord dans la péninsule arabique, puis en Eurasie. Très rares sont ceux qui s'opposent désormais aux grandes lignes de ce schéma.