L'Histoire N° 531, mai 2025
Haïti

Par : L'Histoire
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Disponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages100
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.302 kg
  • Dimensions20,0 cm × 26,2 cm × 0,8 cm
  • ISBN366-3-322-13211-7
  • EAN3663322132117
  • Date de parution24/04/2025
  • ÉditeurL'Histoire

Résumé

Saint-Domingue, 1791. Dans la colonie la plus prospère de l'empire français, une révolte de milliers d'esclaves se transforme en révolution. L'esclavage y est définitivement aboli. Puis, en 1804, le premier Etat noir des Amériques y voit le jour sous le nom d'" Haïti ". La France mettra plus de vingt ans à accepter cette indépendance qui a stupéfié le monde. Mais, en contrepartie, le roi Charles X impose en 1825 au peuple haïtien une indemnité colossale, destinée à dédommager les anciens propriétaires de plantations.
Incapable d'en payer la totalité, le jeune Etat haïtien a dû emprunter à des banques françaises, tombant dans la spirale de l'endettement et du sous-développement, dont il n'est jamais vraiment sorti. Le bicentenaire de cette rançon est l'occasion de briser le silence autour d'un épisode emblématique du néocolonialisme financier.
Saint-Domingue, 1791. Dans la colonie la plus prospère de l'empire français, une révolte de milliers d'esclaves se transforme en révolution. L'esclavage y est définitivement aboli. Puis, en 1804, le premier Etat noir des Amériques y voit le jour sous le nom d'" Haïti ". La France mettra plus de vingt ans à accepter cette indépendance qui a stupéfié le monde. Mais, en contrepartie, le roi Charles X impose en 1825 au peuple haïtien une indemnité colossale, destinée à dédommager les anciens propriétaires de plantations.
Incapable d'en payer la totalité, le jeune Etat haïtien a dû emprunter à des banques françaises, tombant dans la spirale de l'endettement et du sous-développement, dont il n'est jamais vraiment sorti. Le bicentenaire de cette rançon est l'occasion de briser le silence autour d'un épisode emblématique du néocolonialisme financier.