Etudes théâtrales N° 43/2008
Théâtres du pouvoir, théâtres du quotidien. Retour sur les dramaturgies des années 1970

Par : Armelle Talbot
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  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-930416-28-1
  • EAN9782930416281
  • Date de parution01/09/2008
  • ÉditeurEtudes théâtrales
  • PréfacierJean-Pierre Sarrazac

Résumé

Placée sous le signe du quotidien, une part importante de la production théâtrale des années 1970 est marquée par la volonté de faire accéder à la lumière ce qui en est habituellement exclu. Or ce geste s'avère doublement paradoxal : dramatiquement, parce qu'il promeut la vie ordinaire de gens sans histoire au rang d'objet théâtral digne d'être représenté ; politiquement, dans la mesure où, prenant le parti du plus grand éloignement par rapport aux lieux canoniques du pouvoir, il ne renonce pas pour autant à sa représentation mais s'attache au contraire à en révéler les modes imperceptibles de fonctionnement.
Sans que nous ayons affaire à une Ecole unitaire, ce geste s'offre comme le point de convergence des recherches menées durant la décennie par des auteurs tels que Kroetz, Sperr, Fassbinder, Deutsch, Wenzel ou Vinaver. Placée sous le signe du quotidien, une part importante de la production théâtrale des années 1970 est marquée par la volonté de faire accéder à la lumière ce qui en est habituellement exclu.
Or ce geste s'avère doublement paradoxal : dramatiquement, parce qu'il promeut la vie ordinaire de gens sans histoire au rang d'objet théâtral digne d'être représenté ; politiquement, dans la mesure où, prenant le parti du plus grand éloignement par rapport aux lieux canoniques du pouvoir, il ne renonce pas pour autant à sa représentation mais s'attache au contraire à en révéler les modes imperceptibles de fonctionnement.
Sans que nous ayons affaire à une Ecole unitaire, ce geste s'offre comme le point de convergence des recherches menées durant la décennie par des auteurs tels que Kroetz, Sperr, Fassbinder, Deutsch, Wenzel ou Vinaver.
Placée sous le signe du quotidien, une part importante de la production théâtrale des années 1970 est marquée par la volonté de faire accéder à la lumière ce qui en est habituellement exclu. Or ce geste s'avère doublement paradoxal : dramatiquement, parce qu'il promeut la vie ordinaire de gens sans histoire au rang d'objet théâtral digne d'être représenté ; politiquement, dans la mesure où, prenant le parti du plus grand éloignement par rapport aux lieux canoniques du pouvoir, il ne renonce pas pour autant à sa représentation mais s'attache au contraire à en révéler les modes imperceptibles de fonctionnement.
Sans que nous ayons affaire à une Ecole unitaire, ce geste s'offre comme le point de convergence des recherches menées durant la décennie par des auteurs tels que Kroetz, Sperr, Fassbinder, Deutsch, Wenzel ou Vinaver. Placée sous le signe du quotidien, une part importante de la production théâtrale des années 1970 est marquée par la volonté de faire accéder à la lumière ce qui en est habituellement exclu.
Or ce geste s'avère doublement paradoxal : dramatiquement, parce qu'il promeut la vie ordinaire de gens sans histoire au rang d'objet théâtral digne d'être représenté ; politiquement, dans la mesure où, prenant le parti du plus grand éloignement par rapport aux lieux canoniques du pouvoir, il ne renonce pas pour autant à sa représentation mais s'attache au contraire à en révéler les modes imperceptibles de fonctionnement.
Sans que nous ayons affaire à une Ecole unitaire, ce geste s'offre comme le point de convergence des recherches menées durant la décennie par des auteurs tels que Kroetz, Sperr, Fassbinder, Deutsch, Wenzel ou Vinaver.