Décadrages N° 32-33, printemps 2016
Séries télévisées contemporaines

Par : Mireille Berton, Sylvain Portmann

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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • Poids0.6 kg
  • Dimensions20,8 cm × 19,8 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-9700963-2-0
  • EAN9782970096320
  • Date de parution01/06/2016
  • ÉditeurDécadrages

Résumé

Sans adopter un angle d'approche particulier ou une thématique définie, ce numéro de Décadrages cherche à interroger, non pas pourquoi les séries télévisées ont du succès, mais comment elles fonctionnent, à savoir quels sont les modèles esthétiques, idéologiques, narratifs qui les gouvernent. A défaut d'être exhaustif dans les objets et approches choisis, il propose plus modestement un échantillon de ce que des chercheuses et chercheurs en études du cinéma et autres médias peuvent produire à partir de leurs branches respectives de compétence (Star Studies, Gender Studies, Fan Studies, histoire des genres, esthétique, narratologie, sociologie des médias).
Alors que certains articles proposent des lectures théoriques, d'autres développent une réflexion à partir d'une étude de cas. Ces articles traitent par exemple : - de la question de la sérialité comme forme idéologique (David Buxton) - de l'expérience esthétique offerte par la série TV (Stéphane Benassi) - de la représentation des technologies numériques qui induisent des fantasmes panoptiques (Mireille Berton) - du genre télévisuel du western dans ses liens avec le cinéma, notamment à partir de Deadwood (HBO) (Achille Papakonstantis) - de la figure du fan dans la série Sherlock (BBC) (Jeanne Rohner) - de l'apparition de la guest star vieillissante dans les séries TV (Gwénaëlle Le Gras) - ainsi que des questions raciales et sociales soulevées par The Wire (HBO) (Linda Williams).
Un dernier article présente le résultat d'une table ronde qui a eu lieu aux Journées de Soleure en janvier 2016 à propos des séries et web-séries produites en Suisse (Sylvain Portmann et Anne-Katrin Weber).
Sans adopter un angle d'approche particulier ou une thématique définie, ce numéro de Décadrages cherche à interroger, non pas pourquoi les séries télévisées ont du succès, mais comment elles fonctionnent, à savoir quels sont les modèles esthétiques, idéologiques, narratifs qui les gouvernent. A défaut d'être exhaustif dans les objets et approches choisis, il propose plus modestement un échantillon de ce que des chercheuses et chercheurs en études du cinéma et autres médias peuvent produire à partir de leurs branches respectives de compétence (Star Studies, Gender Studies, Fan Studies, histoire des genres, esthétique, narratologie, sociologie des médias).
Alors que certains articles proposent des lectures théoriques, d'autres développent une réflexion à partir d'une étude de cas. Ces articles traitent par exemple : - de la question de la sérialité comme forme idéologique (David Buxton) - de l'expérience esthétique offerte par la série TV (Stéphane Benassi) - de la représentation des technologies numériques qui induisent des fantasmes panoptiques (Mireille Berton) - du genre télévisuel du western dans ses liens avec le cinéma, notamment à partir de Deadwood (HBO) (Achille Papakonstantis) - de la figure du fan dans la série Sherlock (BBC) (Jeanne Rohner) - de l'apparition de la guest star vieillissante dans les séries TV (Gwénaëlle Le Gras) - ainsi que des questions raciales et sociales soulevées par The Wire (HBO) (Linda Williams).
Un dernier article présente le résultat d'une table ronde qui a eu lieu aux Journées de Soleure en janvier 2016 à propos des séries et web-séries produites en Suisse (Sylvain Portmann et Anne-Katrin Weber).