Cultures & Sociétés N° 6, Avril 2008
Visages du religieux dans le monde contemporain

Par : Guy Ménard, Philippe St-Germain, Thierry Goguel d'Allondans

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  • Nombre de pages153
  • PrésentationBroché
  • Poids0.2 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-912868-55-8
  • EAN9782912868558
  • Date de parution04/06/2008
  • ÉditeurTéraèdre

Résumé

Cultures & Sociétés a choisi de consacrer l'un de ses premiers numéros au thème de la religion. Inutile de dire qu'il y aurait eu des dizaines d'angles d'approche possibles d'une telle thématique, à commencer par l'interrogation de la place de la religion dans l'espace public, qui a nourri de nombreux et importants débats, au cours des années récentes, aussi bien en France qu'au Québec. Inutile également d'ajouter que, compte tenu des dimensions somme toute modestes du présent dossier, il fallait renoncer d'emblée à toute prétention pour ne pas dire à tout fantasme d'exhaustivité.
On a donc choisi de privilégier ici un regard sur les nouveaux visages du religieux dans la société et la culture contemporaines. On le fera en proposant un certain nombre de "coups de sonde" significatifs, et en poursuivant l'objectif d'une meilleure compréhension d'une réalité religieuse marquée par ce que plusieurs contributeurs considèrent comme les avancées de la postmodernité. La notion est assurément discutable voire polémique.
On n'en fera donc pas un dogme mais plutôt une hypothèse heuristique potentiellement féconde. D'aucuns, y compris parmi ceux qui ont contribué à donner ses lettres de créance à cette "hypothèse postmoderne" , préféreront aujourd'hui parler de modernité "avancée" ou "tardive" , voire d' "hypermodernité" . On gardera surtout à l'esprit le fait que, à l'encontre des prédictions plutôt naïves de la modernité positiviste, la religion semble bien loin d'avoir été irréversiblement "reléguée aux poubelles de l'histoire" .
On pourrait être tenté d'ajouter : "pour le meilleur comme pour le pire" si cela avait quelque sens dès lors qu'il est question d'une dimension anthropologique constitutive de l'humain. Force est en tout cas d'admettre que nous pouvons toujours, aujourd'hui, observer de nombreux visages bien vivants du religieux, certains enracinés dans le passé de fort anciennes traditions, mais d'autres émergeant sous nos yeux pour peu que nous prenions la peine de les garder ouverts en circulant dans la société et la culture de ce temps.
Cultures & Sociétés a choisi de consacrer l'un de ses premiers numéros au thème de la religion. Inutile de dire qu'il y aurait eu des dizaines d'angles d'approche possibles d'une telle thématique, à commencer par l'interrogation de la place de la religion dans l'espace public, qui a nourri de nombreux et importants débats, au cours des années récentes, aussi bien en France qu'au Québec. Inutile également d'ajouter que, compte tenu des dimensions somme toute modestes du présent dossier, il fallait renoncer d'emblée à toute prétention pour ne pas dire à tout fantasme d'exhaustivité.
On a donc choisi de privilégier ici un regard sur les nouveaux visages du religieux dans la société et la culture contemporaines. On le fera en proposant un certain nombre de "coups de sonde" significatifs, et en poursuivant l'objectif d'une meilleure compréhension d'une réalité religieuse marquée par ce que plusieurs contributeurs considèrent comme les avancées de la postmodernité. La notion est assurément discutable voire polémique.
On n'en fera donc pas un dogme mais plutôt une hypothèse heuristique potentiellement féconde. D'aucuns, y compris parmi ceux qui ont contribué à donner ses lettres de créance à cette "hypothèse postmoderne" , préféreront aujourd'hui parler de modernité "avancée" ou "tardive" , voire d' "hypermodernité" . On gardera surtout à l'esprit le fait que, à l'encontre des prédictions plutôt naïves de la modernité positiviste, la religion semble bien loin d'avoir été irréversiblement "reléguée aux poubelles de l'histoire" .
On pourrait être tenté d'ajouter : "pour le meilleur comme pour le pire" si cela avait quelque sens dès lors qu'il est question d'une dimension anthropologique constitutive de l'humain. Force est en tout cas d'admettre que nous pouvons toujours, aujourd'hui, observer de nombreux visages bien vivants du religieux, certains enracinés dans le passé de fort anciennes traditions, mais d'autres émergeant sous nos yeux pour peu que nous prenions la peine de les garder ouverts en circulant dans la société et la culture de ce temps.
La Sphinge
Guy Ménard
E-book
19,99 €