Coulisses N° 41, Automne 2010
Le dialogue Orient-Occident ou comment se dépaysent les écritures théâtrales

Par : David Ball
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  • Nombre de pages113
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.165 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-84867-302-8
  • EAN9782848673028
  • Date de parution01/04/2011
  • CollectionAnnales Littéraires
  • ÉditeurPU de Franche-Comté - PUFC

Résumé

Le dossier de ce numéro de Coulisses est consacré au théâtre oriental et à son influence sur celui de l'Occident au vingtième siècle. L'article de Coralia Costas revisite les idées principales d'Antonin Artaud par le biais du théâtre balinais. Flore Garcin-Marrou se sert des pièces inédites de Félix Guattari inspirées par le théâtre japonais pour revoir deux idées clé de l'anti-Œdipe, la machine désirante et le corps sans organes de la schizophrénie sous le capitalisme.
Mais le théâtre oriental a subi à son tour l'influence de dramaturges occidentaux, de Shakespeare surtout, et l'article de Françoise Quillet nous présente la version du Roi Lear de l'auteur, acteur et metteur en scène taïwanais, Wu Hsing-Kuo. Enfin, l'article de Viviane Sotier-Dardeau présente, avec illustrations, les techniques traditionnelles du théâtre de l'état de Kerala en Inde. Et pour conclure, une pièce nô anglaise d'aujourd'hui, Pagode, d'une grande élégance et fidélité aux conventions du nô, démontre que l'influence orientale est toujours vivante au vingt-et-unième siècle.
Le dossier de ce numéro de Coulisses est consacré au théâtre oriental et à son influence sur celui de l'Occident au vingtième siècle. L'article de Coralia Costas revisite les idées principales d'Antonin Artaud par le biais du théâtre balinais. Flore Garcin-Marrou se sert des pièces inédites de Félix Guattari inspirées par le théâtre japonais pour revoir deux idées clé de l'anti-Œdipe, la machine désirante et le corps sans organes de la schizophrénie sous le capitalisme.
Mais le théâtre oriental a subi à son tour l'influence de dramaturges occidentaux, de Shakespeare surtout, et l'article de Françoise Quillet nous présente la version du Roi Lear de l'auteur, acteur et metteur en scène taïwanais, Wu Hsing-Kuo. Enfin, l'article de Viviane Sotier-Dardeau présente, avec illustrations, les techniques traditionnelles du théâtre de l'état de Kerala en Inde. Et pour conclure, une pièce nô anglaise d'aujourd'hui, Pagode, d'une grande élégance et fidélité aux conventions du nô, démontre que l'influence orientale est toujours vivante au vingt-et-unième siècle.