Che vuoi ? N° 8
Michèle Montrelay. Castration, phallus, jouissance
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.296 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-7492-7576-5
- EAN9782749275765
- Date de parution30/01/2025
- ÉditeurErès
Résumé
Dans L'ombre et le nom (1977) et La portée de l'ombre (2009), Michèle Montrelay y exposait une nouvelle approche théorique du féminin, constitutif de l'inconscient. Dans la lignée de ce travail, elle se livre dans ce séminaire à l'étude critique de ces trois concepts clés de la psychanalyse : castration, phallus et jouissance, et à travers eux nous fait part des derniers remaniements théoriques où ses recherches l'ont conduite.
"Il me semble, en écoutant les femmes parler, qu'elles témoignent le plus souvent corporellement, réellement, de l'indicible mais aussi de l'inachèvement de la séparation d'avec celle qui les a portées. C'est à un imaginaire étrange, qui n'est qu'à elles, qu'il faut se faire sensible. Leurs rêves, leurs images, leurs symptômes font état de sortes d'objets qui ont ceci de particulier qu'ils ont un contact des plus intimes avec le corps, notamment la peau."
"Il me semble, en écoutant les femmes parler, qu'elles témoignent le plus souvent corporellement, réellement, de l'indicible mais aussi de l'inachèvement de la séparation d'avec celle qui les a portées. C'est à un imaginaire étrange, qui n'est qu'à elles, qu'il faut se faire sensible. Leurs rêves, leurs images, leurs symptômes font état de sortes d'objets qui ont ceci de particulier qu'ils ont un contact des plus intimes avec le corps, notamment la peau."
Dans L'ombre et le nom (1977) et La portée de l'ombre (2009), Michèle Montrelay y exposait une nouvelle approche théorique du féminin, constitutif de l'inconscient. Dans la lignée de ce travail, elle se livre dans ce séminaire à l'étude critique de ces trois concepts clés de la psychanalyse : castration, phallus et jouissance, et à travers eux nous fait part des derniers remaniements théoriques où ses recherches l'ont conduite.
"Il me semble, en écoutant les femmes parler, qu'elles témoignent le plus souvent corporellement, réellement, de l'indicible mais aussi de l'inachèvement de la séparation d'avec celle qui les a portées. C'est à un imaginaire étrange, qui n'est qu'à elles, qu'il faut se faire sensible. Leurs rêves, leurs images, leurs symptômes font état de sortes d'objets qui ont ceci de particulier qu'ils ont un contact des plus intimes avec le corps, notamment la peau."
"Il me semble, en écoutant les femmes parler, qu'elles témoignent le plus souvent corporellement, réellement, de l'indicible mais aussi de l'inachèvement de la séparation d'avec celle qui les a portées. C'est à un imaginaire étrange, qui n'est qu'à elles, qu'il faut se faire sensible. Leurs rêves, leurs images, leurs symptômes font état de sortes d'objets qui ont ceci de particulier qu'ils ont un contact des plus intimes avec le corps, notamment la peau."