Cahiers épistémo-logiques N°6/2017
Science et métaphysique
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- Nombre de pages238
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.368 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-13520-5
- EAN9782343135205
- Date de parution01/12/2017
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Par-delà la résolution synthétisante de la vieille énigme qui concerne la différence de nature qui existe entre les deux branches des rationalités que sont la science et la métaphysique, il s'agit, pour les contributeurs à ce numéro, d'expliquer comment la science a marqué le destin de la philosophie contemporaine, dans ses bifurcations et ses renoncements, mais avant tout dans ses racines les plus profondes et les plus fécondes, c'est-à-dire la métaphysique avec ou sans histoire scientifique.
Si tant est que, finalement, la métaphysique est liée à la science avec laquelle elle possède une racine commune, la métaphysique renvoyant à l'étude de l'être en tant qu'être, et la science renvoyant à ce qui, dans l'être, fait se plier avec ou fait s'entrelacer entre eux les différents éléments de l'être, ce qu'on appelle donc la "connaissance", alors, il est de bon ton que ces contributeurs eussent cherché, d'abord et toujours, à comprendre "le ciment" entre la "chose métaphysique" et la "chose scientifique", entre le lieu de production des concepts, des argumentations et des doctrines toujours susceptibles d'être remis en question et le cadre théorico-pratique de production des connaissances, la connaissance scientifique n'étant aristotéliciennement que métaphysique.
On y reconnaîtra Edgar Mervin Martial Mba (Le monde 3 poppérien est-il une hypostase ?), Pierre Hubert Mfoutou (La mort : félicité et punition chez Platon), Didier Ngalebaye (Les lieux théoriques de la disjonction contingente entre science et métaphysique : contribution à la critique d'une illusion épistémique), Marcel Nguimbi (Pour l'éthique universelle : le sens de l'humain), Auguste Nsonsissa (Métaphysique des valeurs et science des faits), Michel Wilfrid Nzaba (La conception feyerabendienne de la science), Abou Sangaré (Le droit pénal hégélien : au coeur d'une théorie punitive équivoque), Mahamane Souleymane (Le machiavélisme et la métaphysique), Alexis Tobangui (Des Négrilles aux peuples autochtones congolais : une relecture de l'Afrique ambiguë de Georges Balandier), Emmanuel Banywesize Mukambilwa (L'Ordre-Roi.
Un postulat de la science classique à l'épreuve de l'épistémologie d'Edgar Morin).
Si tant est que, finalement, la métaphysique est liée à la science avec laquelle elle possède une racine commune, la métaphysique renvoyant à l'étude de l'être en tant qu'être, et la science renvoyant à ce qui, dans l'être, fait se plier avec ou fait s'entrelacer entre eux les différents éléments de l'être, ce qu'on appelle donc la "connaissance", alors, il est de bon ton que ces contributeurs eussent cherché, d'abord et toujours, à comprendre "le ciment" entre la "chose métaphysique" et la "chose scientifique", entre le lieu de production des concepts, des argumentations et des doctrines toujours susceptibles d'être remis en question et le cadre théorico-pratique de production des connaissances, la connaissance scientifique n'étant aristotéliciennement que métaphysique.
On y reconnaîtra Edgar Mervin Martial Mba (Le monde 3 poppérien est-il une hypostase ?), Pierre Hubert Mfoutou (La mort : félicité et punition chez Platon), Didier Ngalebaye (Les lieux théoriques de la disjonction contingente entre science et métaphysique : contribution à la critique d'une illusion épistémique), Marcel Nguimbi (Pour l'éthique universelle : le sens de l'humain), Auguste Nsonsissa (Métaphysique des valeurs et science des faits), Michel Wilfrid Nzaba (La conception feyerabendienne de la science), Abou Sangaré (Le droit pénal hégélien : au coeur d'une théorie punitive équivoque), Mahamane Souleymane (Le machiavélisme et la métaphysique), Alexis Tobangui (Des Négrilles aux peuples autochtones congolais : une relecture de l'Afrique ambiguë de Georges Balandier), Emmanuel Banywesize Mukambilwa (L'Ordre-Roi.
Un postulat de la science classique à l'épreuve de l'épistémologie d'Edgar Morin).
Par-delà la résolution synthétisante de la vieille énigme qui concerne la différence de nature qui existe entre les deux branches des rationalités que sont la science et la métaphysique, il s'agit, pour les contributeurs à ce numéro, d'expliquer comment la science a marqué le destin de la philosophie contemporaine, dans ses bifurcations et ses renoncements, mais avant tout dans ses racines les plus profondes et les plus fécondes, c'est-à-dire la métaphysique avec ou sans histoire scientifique.
Si tant est que, finalement, la métaphysique est liée à la science avec laquelle elle possède une racine commune, la métaphysique renvoyant à l'étude de l'être en tant qu'être, et la science renvoyant à ce qui, dans l'être, fait se plier avec ou fait s'entrelacer entre eux les différents éléments de l'être, ce qu'on appelle donc la "connaissance", alors, il est de bon ton que ces contributeurs eussent cherché, d'abord et toujours, à comprendre "le ciment" entre la "chose métaphysique" et la "chose scientifique", entre le lieu de production des concepts, des argumentations et des doctrines toujours susceptibles d'être remis en question et le cadre théorico-pratique de production des connaissances, la connaissance scientifique n'étant aristotéliciennement que métaphysique.
On y reconnaîtra Edgar Mervin Martial Mba (Le monde 3 poppérien est-il une hypostase ?), Pierre Hubert Mfoutou (La mort : félicité et punition chez Platon), Didier Ngalebaye (Les lieux théoriques de la disjonction contingente entre science et métaphysique : contribution à la critique d'une illusion épistémique), Marcel Nguimbi (Pour l'éthique universelle : le sens de l'humain), Auguste Nsonsissa (Métaphysique des valeurs et science des faits), Michel Wilfrid Nzaba (La conception feyerabendienne de la science), Abou Sangaré (Le droit pénal hégélien : au coeur d'une théorie punitive équivoque), Mahamane Souleymane (Le machiavélisme et la métaphysique), Alexis Tobangui (Des Négrilles aux peuples autochtones congolais : une relecture de l'Afrique ambiguë de Georges Balandier), Emmanuel Banywesize Mukambilwa (L'Ordre-Roi.
Un postulat de la science classique à l'épreuve de l'épistémologie d'Edgar Morin).
Si tant est que, finalement, la métaphysique est liée à la science avec laquelle elle possède une racine commune, la métaphysique renvoyant à l'étude de l'être en tant qu'être, et la science renvoyant à ce qui, dans l'être, fait se plier avec ou fait s'entrelacer entre eux les différents éléments de l'être, ce qu'on appelle donc la "connaissance", alors, il est de bon ton que ces contributeurs eussent cherché, d'abord et toujours, à comprendre "le ciment" entre la "chose métaphysique" et la "chose scientifique", entre le lieu de production des concepts, des argumentations et des doctrines toujours susceptibles d'être remis en question et le cadre théorico-pratique de production des connaissances, la connaissance scientifique n'étant aristotéliciennement que métaphysique.
On y reconnaîtra Edgar Mervin Martial Mba (Le monde 3 poppérien est-il une hypostase ?), Pierre Hubert Mfoutou (La mort : félicité et punition chez Platon), Didier Ngalebaye (Les lieux théoriques de la disjonction contingente entre science et métaphysique : contribution à la critique d'une illusion épistémique), Marcel Nguimbi (Pour l'éthique universelle : le sens de l'humain), Auguste Nsonsissa (Métaphysique des valeurs et science des faits), Michel Wilfrid Nzaba (La conception feyerabendienne de la science), Abou Sangaré (Le droit pénal hégélien : au coeur d'une théorie punitive équivoque), Mahamane Souleymane (Le machiavélisme et la métaphysique), Alexis Tobangui (Des Négrilles aux peuples autochtones congolais : une relecture de l'Afrique ambiguë de Georges Balandier), Emmanuel Banywesize Mukambilwa (L'Ordre-Roi.
Un postulat de la science classique à l'épreuve de l'épistémologie d'Edgar Morin).