Agir N° 35, Septembre 200
La question du développement
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- Nombre de pages126
- PrésentationBroché
- Poids0.225 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-914319-27-0
- EAN9782914319270
- Date de parution08/10/2008
- ÉditeurSociété de stratégie
Résumé
On a fait du " développement " la référence universelle: le classement entre pays développés et sous-développés en est l'illustration; la croissance économique est devenue la mesure de ce qu'on appelait autrefois le " progrès ". Mais on voit bien aujourd'hui que ce concept bat de l'aile, d'abord parce qu'il s'avère inopérant à rendre compte de la réalité du monde, ensuite et surtout parce qu'il ne " marche " plus ! Le monde est en proie à des problèmes de fonctionnement, voire de survie - alimentation, eau, air, protection des ressources, etc.
- qui sont autant d'enjeux stratégiques auxquels le modèle de développement n'a pas su ou pu, en temps utile, apporter des réponses concrètes. La question du développement se pose avec force et urgence parce qu'on a fait croire à toute l'humanité qu'il était la seule voie d'un " avenir radieux " alors qu'il s'avère être, pour une grande partie de la population mondiale, une utopie de plus après tant d'autres, et donc une impasse.
Comment faire, dans ces conditions, pour fonder de nouveaux espoirs, tracer d'autres pistes, éviter en quelque sorte l'explosion d'un monde factice et sauver l'essentiel des espoirs que porte la mondialisation ?
- qui sont autant d'enjeux stratégiques auxquels le modèle de développement n'a pas su ou pu, en temps utile, apporter des réponses concrètes. La question du développement se pose avec force et urgence parce qu'on a fait croire à toute l'humanité qu'il était la seule voie d'un " avenir radieux " alors qu'il s'avère être, pour une grande partie de la population mondiale, une utopie de plus après tant d'autres, et donc une impasse.
Comment faire, dans ces conditions, pour fonder de nouveaux espoirs, tracer d'autres pistes, éviter en quelque sorte l'explosion d'un monde factice et sauver l'essentiel des espoirs que porte la mondialisation ?
On a fait du " développement " la référence universelle: le classement entre pays développés et sous-développés en est l'illustration; la croissance économique est devenue la mesure de ce qu'on appelait autrefois le " progrès ". Mais on voit bien aujourd'hui que ce concept bat de l'aile, d'abord parce qu'il s'avère inopérant à rendre compte de la réalité du monde, ensuite et surtout parce qu'il ne " marche " plus ! Le monde est en proie à des problèmes de fonctionnement, voire de survie - alimentation, eau, air, protection des ressources, etc.
- qui sont autant d'enjeux stratégiques auxquels le modèle de développement n'a pas su ou pu, en temps utile, apporter des réponses concrètes. La question du développement se pose avec force et urgence parce qu'on a fait croire à toute l'humanité qu'il était la seule voie d'un " avenir radieux " alors qu'il s'avère être, pour une grande partie de la population mondiale, une utopie de plus après tant d'autres, et donc une impasse.
Comment faire, dans ces conditions, pour fonder de nouveaux espoirs, tracer d'autres pistes, éviter en quelque sorte l'explosion d'un monde factice et sauver l'essentiel des espoirs que porte la mondialisation ?
- qui sont autant d'enjeux stratégiques auxquels le modèle de développement n'a pas su ou pu, en temps utile, apporter des réponses concrètes. La question du développement se pose avec force et urgence parce qu'on a fait croire à toute l'humanité qu'il était la seule voie d'un " avenir radieux " alors qu'il s'avère être, pour une grande partie de la population mondiale, une utopie de plus après tant d'autres, et donc une impasse.
Comment faire, dans ces conditions, pour fonder de nouveaux espoirs, tracer d'autres pistes, éviter en quelque sorte l'explosion d'un monde factice et sauver l'essentiel des espoirs que porte la mondialisation ?