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    Comment la musique est devenue "romantique"
    Ouvrage passionnant et fourmillant d'informations, MAIS une faute surprenante, surtout émanant d'un spécialiste, entâche l'ouvrage et laisse dubitatif quant à la véracité des autres propos tenus... Pages 100 à 104, il est fait référence au compositeur français Adolphe ADAM et à sa Méthode de piano publiée en 1804, de même que page 163 à son ouvrage "Charlotte ou le tombeau de Werther" datant de 1792. Or, Adolphe ADAM, auteur entre autres des opéras-comiques "Le Chalet" et "Le postillon de Lonjumeau" et du célèbre ballet "Giselle", est né en 1803 et mort en 1856. Difficile donc pour lui d'éditer une Méthode de piano à 1 an ! Quant à 1792...? En revanche, son père, Jean-Louis ADAM (1758-1848) était un pianiste virtuose et fut le premier professeur de piano du Conservatoire de Musique de Paris nouvellement créé. Vraisemblablement, c'est de lui qu'il s'agit dans cet ouvrage, et non de son fils, père de "Giselle" et de "Minuit, chrétiens". Bévue peut-être, mais fort malencontreuse dans un ouvrage d'érudition très spécifique. Personne ne corrige chez Fayard ? Dommage...
    Ouvrage passionnant et fourmillant d'informations, MAIS une faute surprenante, surtout émanant d'un spécialiste, entâche l'ouvrage et laisse dubitatif quant à la véracité des autres propos tenus... Pages 100 à 104, il est fait référence au compositeur français Adolphe ADAM et à sa Méthode de piano publiée en 1804, de même que page 163 à son ouvrage "Charlotte ou le tombeau de Werther" datant de 1792. Or, Adolphe ADAM, auteur entre autres des opéras-comiques "Le Chalet" et "Le postillon de Lonjumeau" et du célèbre ballet "Giselle", est né en 1803 et mort en 1856. Difficile donc pour lui d'éditer une Méthode de piano à 1 an ! Quant à 1792...? En revanche, son père, Jean-Louis ADAM (1758-1848) était un pianiste virtuose et fut le premier professeur de piano du Conservatoire de Musique de Paris nouvellement créé. Vraisemblablement, c'est de lui qu'il s'agit dans cet ouvrage, et non de son fils, père de "Giselle" et de "Minuit, chrétiens". Bévue peut-être, mais fort malencontreuse dans un ouvrage d'érudition très spécifique. Personne ne corrige chez Fayard ? Dommage...
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