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MizieFourmi

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Les dernières notes et avis

Notes et avis 1 à 8 sur un total de 20
La Malédiction d'Old Haven
Note donnée le 2014-08-10
Plaisirs coupables
Note donnée le 2014-08-10
Le caveau de famille
Avis posté le 2014-04-15
    Le caveau de famille
    On m’avait offert le premier tome que j’avais littéralement dévoré. C’est pleine d’entrain que je me suis jetée sur le deuxième tome. Mais j’ai été un petit peu déçue. On retrouve Benny et Désirée qui ont décidés d’avoir un enfant. Surprise, ça finit par fonctionner. Ils commencent alors une nouvelle vie. Le style de l’auteur est toujours là. Des chapitres courts mais intenses, emplis d’humour. On retrouve avec plaisir ces deux personnages, même si la fraicheur du premier roman est un peu perdue. L’action s’enchaine, et on en vient à deviner ce qui va finir par se passer. J’ai trouvé que l’auteur ne mettait plus en valeur les caractères qui définissaient ses deux héros. Ils sont tous les deux coincés dans leur univers et on finit par y rester coincés avec eux. Pourtant, le premier roman nous laissait un peu sur notre faim. Mais ce deuxième opus donne plus l’impression de lire les chroniques d’une gentille famille entre campagne et ville. Même si on a toujours cette touche d’humour et ce fossé entre les deux univers. En conclusion, je vous conseille vivement le premier tome. C’est un régal.
    On m’avait offert le premier tome que j’avais littéralement dévoré. C’est pleine d’entrain que je me suis jetée sur le deuxième tome. Mais j’ai été un petit peu déçue. On retrouve Benny et Désirée qui ont décidés d’avoir un enfant. Surprise, ça finit par fonctionner. Ils commencent alors une nouvelle vie. Le style de l’auteur est toujours là. Des chapitres courts mais intenses, emplis d’humour. On retrouve avec plaisir ces deux personnages, même si la fraicheur du premier roman est un peu perdue. L’action s’enchaine, et on en vient à deviner ce qui va finir par se passer. J’ai trouvé que l’auteur ne mettait plus en valeur les caractères qui définissaient ses deux héros. Ils sont tous les deux coincés dans leur univers et on finit par y rester coincés avec eux. Pourtant, le premier roman nous laissait un peu sur notre faim. Mais ce deuxième opus donne plus l’impression de lire les chroniques d’une gentille famille entre campagne et ville. Même si on a toujours cette touche d’humour et ce fossé entre les deux univers. En conclusion, je vous conseille vivement le premier tome. C’est un régal.
    Night School Tome 1
    Avis posté le 2014-04-15
      Night School
      Allie Sheridan déteste son lycée, ses parents et la vie qu’elle mène. Après une énième convocation au commissariat, ses parents décident de l’envoyer au pensionnat Cimmeria. Allie est bien décidé à détester cette école, les gens qui s’y trouvent et l’ambiance qu’elle dégage. Mais curieusement, Allie s’y plait et en vient à s’interroger sur les étranges Night School qui recrute quelques élèves. Allie se pose de nombreuses questions et personne n’y répond. Plus inquiétant encore, on lui cache énormément de choses et elle est bien décidée à découvrir quoi. J’ai emprunté ce livre à la blogueuse Le p’tit monde de Sly, merci beaucoup à elle et j’ai commencé cette lecture suite à l’enthousiasme débordant de Livres and Cie. Je suis assez partagée sur cette lecture. Alors je vais faire comme dans Télérama, le pour et le contre ^^. Commençons pas le contre. Le premier point négatif, ce sont les personnages. Ils m’ont très vite énervé ! Allie en particulier. Cette ado pseudo-rebelle qui s’intègre sans qu’on ai eu le temps de dire ouf, je suis un peu restée scotchée. Je pensais qu’elle allait un peu plus râler, ou du moins s’opposer plus farouchement aux professeurs. Les autres élèves de sexe féminin m’ont un peu fait penser à des poupées barbies et j’ai eu du mal à m’y attacher. Les garçons aussi m’ont paru un peu niais et assez stéréotypés. Le gentil garçon qui accueille et le solitaire qui finit par craquer sur la nouvelle… euh…mouais. Enfin, dernier point négatif ce serait l’intrigue. Je m’y attendais dés les premières pages du livre et ça m’a refroidie. Maintenant passons au pour. Le style de l’auteur est très bien. Même si l’intrigue n’est pas fameuse à mes yeux, on entre quand même bien dans son univers ce qui est assez paradoxal au final. C’est pour cela que cette lecture m’a laissé un peu perplexe. J’avoue que le tome 1 m’a un peu laissé sur ma faim. Même si le tome 1 ne m’a pas intéressé plus que ça, je pense lire la suite car il arrive parfois que les tomes suivants soient meilleurs. Avez-vous lu cette saga ? Qu’en avez-vous pensé ?
      Allie Sheridan déteste son lycée, ses parents et la vie qu’elle mène. Après une énième convocation au commissariat, ses parents décident de l’envoyer au pensionnat Cimmeria. Allie est bien décidé à détester cette école, les gens qui s’y trouvent et l’ambiance qu’elle dégage. Mais curieusement, Allie s’y plait et en vient à s’interroger sur les étranges Night School qui recrute quelques élèves. Allie se pose de nombreuses questions et personne n’y répond. Plus inquiétant encore, on lui cache énormément de choses et elle est bien décidée à découvrir quoi. J’ai emprunté ce livre à la blogueuse Le p’tit monde de Sly, merci beaucoup à elle et j’ai commencé cette lecture suite à l’enthousiasme débordant de Livres and Cie. Je suis assez partagée sur cette lecture. Alors je vais faire comme dans Télérama, le pour et le contre ^^. Commençons pas le contre. Le premier point négatif, ce sont les personnages. Ils m’ont très vite énervé ! Allie en particulier. Cette ado pseudo-rebelle qui s’intègre sans qu’on ai eu le temps de dire ouf, je suis un peu restée scotchée. Je pensais qu’elle allait un peu plus râler, ou du moins s’opposer plus farouchement aux professeurs. Les autres élèves de sexe féminin m’ont un peu fait penser à des poupées barbies et j’ai eu du mal à m’y attacher. Les garçons aussi m’ont paru un peu niais et assez stéréotypés. Le gentil garçon qui accueille et le solitaire qui finit par craquer sur la nouvelle… euh…mouais. Enfin, dernier point négatif ce serait l’intrigue. Je m’y attendais dés les premières pages du livre et ça m’a refroidie. Maintenant passons au pour. Le style de l’auteur est très bien. Même si l’intrigue n’est pas fameuse à mes yeux, on entre quand même bien dans son univers ce qui est assez paradoxal au final. C’est pour cela que cette lecture m’a laissé un peu perplexe. J’avoue que le tome 1 m’a un peu laissé sur ma faim. Même si le tome 1 ne m’a pas intéressé plus que ça, je pense lire la suite car il arrive parfois que les tomes suivants soient meilleurs. Avez-vous lu cette saga ? Qu’en avez-vous pensé ?
      Fukushima. Récit d'un désastre
      Avis posté le 2014-04-15
        Fukushima
        Nous sommes à Tokyo, quelques heures avant le séisme qui a ravagé le Japon le 11 mars 2011. Mickaël Ferrier se trouve dans la capitale japonaise lors de la catastrophe. Il décrit avec exactitude et précisions le phénomène et les conséquences qui en a découlé. Le livre est divisé en trois parties. Du séisme jusqu'à la prise de conscience de la dangerosité de la situation, en passant par le tsunami et la catastrophe nucléaire, l’auteur décrit tout, recueille les témoignages et tente de comprendre comment tout cela a pu arriver. Je commencerais par dire, pour plagier Magrit, que ceci n’est pas un roman. Mais ce n’est pas un documentaire non plus. Les émotions décrites par l’auteur rendent l’ouvrage vivant. On le suit durant son périple, à travers le Japon pour récolter les parcelles de vie qui subsistent encore après le désastre. Il commence par décrire les sensations qu’il a éprouvé durant le tremblement de terre. Puis il demande aux habitants, aux chercheurs de partager leur vision des choses. Ensuite, il enquête sur le tsunami, part dans les refuges, amène des vivres et des médicaments. Il va même jusque sur la zone contaminée par les réacteurs nucléaires. Il la traverse puis repart à Tokyo où il tente de nous expliquer avec quelle sorte de demi-vie le Japon commence à s’organiser. C’est un livre très complet et indispensable pour ceux ou celles qui veulent en connaitre plus sur la catastrophe. Loin des discours médiatiques et gouvernementaux, Mickaël Ferrier nous livre le Japon des victimes, celui des hommes et des femmes qui n’ont pas pu sauver leur maisons ou qui ont vu disparaitre leur famille. Ceux qui s’inquiètent de ne plus pouvoir vivre de leurs ressources ou encore le Japon des fatalistes qui attendent en silence la prochaine catastrophe. Le roman est un poème en prose. Un poème du désastre. Le séisme est comparé à un orchestre, le tsunami à un dieu aquatique et le nucléaire à une volonté qui dépasse les hommes. Pour conclure, je vous donne un extrait qui m’a beaucoup marquée.
        Nous sommes à Tokyo, quelques heures avant le séisme qui a ravagé le Japon le 11 mars 2011. Mickaël Ferrier se trouve dans la capitale japonaise lors de la catastrophe. Il décrit avec exactitude et précisions le phénomène et les conséquences qui en a découlé. Le livre est divisé en trois parties. Du séisme jusqu'à la prise de conscience de la dangerosité de la situation, en passant par le tsunami et la catastrophe nucléaire, l’auteur décrit tout, recueille les témoignages et tente de comprendre comment tout cela a pu arriver. Je commencerais par dire, pour plagier Magrit, que ceci n’est pas un roman. Mais ce n’est pas un documentaire non plus. Les émotions décrites par l’auteur rendent l’ouvrage vivant. On le suit durant son périple, à travers le Japon pour récolter les parcelles de vie qui subsistent encore après le désastre. Il commence par décrire les sensations qu’il a éprouvé durant le tremblement de terre. Puis il demande aux habitants, aux chercheurs de partager leur vision des choses. Ensuite, il enquête sur le tsunami, part dans les refuges, amène des vivres et des médicaments. Il va même jusque sur la zone contaminée par les réacteurs nucléaires. Il la traverse puis repart à Tokyo où il tente de nous expliquer avec quelle sorte de demi-vie le Japon commence à s’organiser. C’est un livre très complet et indispensable pour ceux ou celles qui veulent en connaitre plus sur la catastrophe. Loin des discours médiatiques et gouvernementaux, Mickaël Ferrier nous livre le Japon des victimes, celui des hommes et des femmes qui n’ont pas pu sauver leur maisons ou qui ont vu disparaitre leur famille. Ceux qui s’inquiètent de ne plus pouvoir vivre de leurs ressources ou encore le Japon des fatalistes qui attendent en silence la prochaine catastrophe. Le roman est un poème en prose. Un poème du désastre. Le séisme est comparé à un orchestre, le tsunami à un dieu aquatique et le nucléaire à une volonté qui dépasse les hommes. Pour conclure, je vous donne un extrait qui m’a beaucoup marquée.