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Gaël Imberdis

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Les derniers avis

Les rouges
Avis posté le 2014-05-19
    Les rouges
    Très bonne histoire de la gauche française du moyen-âge à nos jours sur fond d'histoire d'amour entre Madeleine militante gauchiste et un certain JC ancien cadre d'extrême gauche devenu très influant au PS (voire plus en ce moment si c'est bien celui auquel je pense...).
    Très bonne histoire de la gauche française du moyen-âge à nos jours sur fond d'histoire d'amour entre Madeleine militante gauchiste et un certain JC ancien cadre d'extrême gauche devenu très influant au PS (voire plus en ce moment si c'est bien celui auquel je pense...).
    Mauvaise étoile
    Avis posté le 2014-01-31
      Bof
      Tout est bien qui finit bien pour un livre où la violence gratuite devient vite pesante et où le passage de la petite délinquance à la folie meurtrière parait peu crédible.
      Tout est bien qui finit bien pour un livre où la violence gratuite devient vite pesante et où le passage de la petite délinquance à la folie meurtrière parait peu crédible.
      Confiteor
      Avis posté le 2014-01-08
        Meilleur livre depuis des années
        Rien de laborieux, de fabriqué, dans ce texte inouï qui parle à tous, aux murs, aux objets, aux morts, aux pas encore nés. Tout coule de source, comme dans la cervelle du héros, surdoué captant trop d'ondes, envahi par le vacarme de l'Inquisition, du franquisme, de la Shoah, hanté par les voix de ses proches, père abject et tyrannique, mère desséchée par l'insatis­faction, dans le Barcelone des années 1940, 50, 60, 70, 80, 90, 2000, et peut-être même au-delà, tant l'acuité visionnaire d'Adrià Ardevol est grande.
        Rien de laborieux, de fabriqué, dans ce texte inouï qui parle à tous, aux murs, aux objets, aux morts, aux pas encore nés. Tout coule de source, comme dans la cervelle du héros, surdoué captant trop d'ondes, envahi par le vacarme de l'Inquisition, du franquisme, de la Shoah, hanté par les voix de ses proches, père abject et tyrannique, mère desséchée par l'insatis­faction, dans le Barcelone des années 1940, 50, 60, 70, 80, 90, 2000, et peut-être même au-delà, tant l'acuité visionnaire d'Adrià Ardevol est grande.
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