Retour


Les dernières notes et avis
Notes et avis 1 à 4 sur un total de 4
La condition historique. Entretiens avec François Azouvi et Sylvain Piron
Avis posté le 2012-11-18
Vue globale du cheminement et de la pensée de Gauchet
Ce livre sous forme d'interview nous offre une belle perspective d'ensemble sur la pensée de Gauchet, à travers ses détours et ses liens logiques. On redécouvre son œuvre en contexte, imbriquée dans une histoire à la fois récente et que les personnes de ma génération n'ont pas connue (ce n'est pas le sens premier du titre, mais il a sûrement été choisi parce qu'il permettait la référence).
Je ne suis pas toujours complètement d'accord avec ses thèses, mais ce livre a l'intérêt de lui donner directement la parole en leur défense. Une critique superficielle ou toute faite n'est plus possible.
Ce livre sous forme d'interview nous offre une belle perspective d'ensemble sur la pensée de Gauchet, à travers ses détours et ses liens logiques. On redécouvre son œuvre en contexte, imbriquée dans une histoire à la fois récente et que les personnes de ma génération n'ont pas connue (ce n'est pas le sens premier du titre, mais il a sûrement été choisi parce qu'il permettait la référence).
Je ne suis pas toujours complètement d'accord avec ses thèses, mais ce livre a l'intérêt de lui donner directement la parole en leur défense. Une critique superficielle ou toute faite n'est plus possible.

Fifty Shades Tome 1
Cinquante nuances de Grey
Cinquante nuances de Grey
Avis posté le 2012-11-17
- XXIe siècle
- Attendrissant
- Ennuyant
- romance
- Anastasia Steele
- Christian Grey
- Vancouver/Seattle
- WA (États-Unis)
- romance érotique
- BDSM
Une romance assez classique, somme toute !
Il y a des lectrices de romance qui ont détesté 50 Shades, d'autres qui l'ont adoré. Moi, j'ai bien aimé, sans plus. Ce livre souffre d'un "sagging middle", mais le début et la fin ne sont pas mal. L'histoire est super classique, voire cliché, mais fonctionne toujours. Quant à l'irruption du BDSM là-dedans, c'est à la fois semi-original, et pas choquant pour un sou... que les fleurs bleues se rassurent.
Au passage, je trouve l'appellation "mommy porn" stupide et avilissante pour les femmes ; le contenu de ce livre ne mérite pas cela. Quant aux personnes qui trouvent cela mal écrit, je les engage à m'envoyer leurs propres manuscrits, afin que je puisse me délecter de leur style sans faille et de leur supériorité si éblouissante. (Ceci n'est pas une blague.)
Il y a des lectrices de romance qui ont détesté 50 Shades, d'autres qui l'ont adoré. Moi, j'ai bien aimé, sans plus. Ce livre souffre d'un "sagging middle", mais le début et la fin ne sont pas mal. L'histoire est super classique, voire cliché, mais fonctionne toujours. Quant à l'irruption du BDSM là-dedans, c'est à la fois semi-original, et pas choquant pour un sou... que les fleurs bleues se rassurent.
Au passage, je trouve l'appellation "mommy porn" stupide et avilissante pour les femmes ; le contenu de ce livre ne mérite pas cela. Quant aux personnes qui trouvent cela mal écrit, je les engage à m'envoyer leurs propres manuscrits, afin que je puisse me délecter de leur style sans faille et de leur supériorité si éblouissante. (Ceci n'est pas une blague.)

La Confrérie de la dague noire Tome 2
L'Amant Eternel
L'Amant Eternel
Avis posté le 2012-11-17
- Emouvant
- XXIe siècle
- vampires
- romance
- Caldwell
- NY (États-Unis)
- Rhage
- Mary Luce
- romance paranormale
La série décolle dans ce tome 2
Chose promise, chose due, je m’attèle aujourd’hui à la chronique de Lover Eternal, le deuxième tome de la série BDB de J. R. Ward. Puis-je à ce propos exprimer mon avis sur l’ineptie des titres français, qui traduisent tous les “lover” par “l’amant” ? Il suffit de lire les livres pour s’apercevoir que ce terme fait parfois référence aux héroïnes, et non aux héros. C’est pour moi clairement le cas du tome 6, où ce n’est pas Phury qui est “enshrined” mais bien Cormia, et c’est encore le cas ici… mais je ne vous en dis pas plus.
Rhage, surnom Hollywood, c’est le beau blond baraqué aux yeux bleus qui se tape plein de filles, en somme qui a l’air aussi parfait que bienheureux. Sauf que. Dès qu’il ressent des émotions trop intenses, il se métamorphose en “bête”, en monstre immense et destructeur qui ne connaît plus ni ami ni ennemi, ni bien ni mal, que l’appétit de tuer. Comme dans La Belle et la Bête, il s’agit d’une malédiction jetée par la Vierge Scribe pour le punir d’avoir jadis été jeune et insouciant, vaniteux et égoïste.
Il rencontre l’héroïne par hasard ; si les circonstances sont moins spectaculaires que dans la plupart des romances, elles en manquent du coup un peu d’étincelles.
Suite de la chronique sur mon blog : http://romanceville.wordpress.com/2012/11/16/la-confrerie-de-la-dague-noire-rhage-lover-eternal/
Chose promise, chose due, je m’attèle aujourd’hui à la chronique de Lover Eternal, le deuxième tome de la série BDB de J. R. Ward. Puis-je à ce propos exprimer mon avis sur l’ineptie des titres français, qui traduisent tous les “lover” par “l’amant” ? Il suffit de lire les livres pour s’apercevoir que ce terme fait parfois référence aux héroïnes, et non aux héros. C’est pour moi clairement le cas du tome 6, où ce n’est pas Phury qui est “enshrined” mais bien Cormia, et c’est encore le cas ici… mais je ne vous en dis pas plus.
Rhage, surnom Hollywood, c’est le beau blond baraqué aux yeux bleus qui se tape plein de filles, en somme qui a l’air aussi parfait que bienheureux. Sauf que. Dès qu’il ressent des émotions trop intenses, il se métamorphose en “bête”, en monstre immense et destructeur qui ne connaît plus ni ami ni ennemi, ni bien ni mal, que l’appétit de tuer. Comme dans La Belle et la Bête, il s’agit d’une malédiction jetée par la Vierge Scribe pour le punir d’avoir jadis été jeune et insouciant, vaniteux et égoïste.
Il rencontre l’héroïne par hasard ; si les circonstances sont moins spectaculaires que dans la plupart des romances, elles en manquent du coup un peu d’étincelles.
Suite de la chronique sur mon blog : http://romanceville.wordpress.com/2012/11/16/la-confrerie-de-la-dague-noire-rhage-lover-eternal/