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Jonathan P

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Les dernières notes et avis

Notes et avis 1 à 8 sur un total de 93
Tuez qui vous voulez
Avis posté le 2014-04-25
    Un bon polar historique!
    Je suis très loin d’aimer le XVIIIe siècle. La période de renaissance est une période que je n’ai jamais été tenté d’étudier, préférant le moyen âge ou l’âge des empires. Ainsi, lorsque les librairies Décitre m’ont offert très chaleureusement (et je les en remercie !) le livre « Tuez qui vous voulez » de Barde-Cabuçon en échange d’une critique, j’ai eu très peur de ne pas aimer. De plus, il faut savoir que ce livre fait partie d’une série de livre des « enquêtes du commissaire aux morts étranges ». N’ayant pas lu les deux précédents livres, je n’en ai pas pour autant était perdu car mis à part quelques allusions aux deux précédentes enquêtes, nul besoin de les avoir lus dans le détail pour apprécier celle-ci. Donc ici, l’auteur nous transporte durant quelques jours de fin décembre, au cœur d’un Paris du milieu 18e siècle. La prostitution bas son plein, la répression policière est à son apogée, les libertés sont bafouées, la religion est omniprésente et la fête des fous se profile à l’horizon ! On doit bien avouer que l’auteur a de la matière pour travailler ! Sans compter que ce livre est un polar et qui dit polar dit… meurtres ! Triple ici ! L’histoire ne se limite pas à une simple interrogation du type « Qui est le coupable ? ». Non ici, l’auteur nous balade entre conflits religieux, conflits politiques, conflits amoureux, conflits familiaux… Cette enquête nous balance dans tous les sens pour nous perdre et nous révéler un meurtrier que l’on ne soupçonnait même pas ! Mais l’histoire tire surtout sa richesse de ses personnages. Outre le commissaire aux morts étrangers, Volnay se son prénom, personnage très ténébreux, intelligent et sérieux, il y a mon chouchou… Le moine, père du commissaire. Un homme en marge de la société, très contemporain dans sa façon de penser, à la réplique humoristique efficace et dont la jeunesse n’est pas à prouver ! Un duo de choc qui fait mouche et on sait tous que les duos dans les polars ont toujours était efficaces ! Enfin, l’auteur nous fait partager une passion pour cette époque. Il ne manque pas de glisser des anecdotes qui n’alourdissent pas pour autant le récit. D’autant plus que l’auteur à un style très direct et ne tourne ainsi jamais autour du pot. Une grande qualité qui fluidifie l’histoire. En conclusion, c’est un bon polar qui m’a agréablement surpris au point de me pousser à lire les précédentes enquêtes du commissaire. Il plaira à tous les amateurs du genre et davantage aux amoureux d’histoire française !
    Je suis très loin d’aimer le XVIIIe siècle. La période de renaissance est une période que je n’ai jamais été tenté d’étudier, préférant le moyen âge ou l’âge des empires. Ainsi, lorsque les librairies Décitre m’ont offert très chaleureusement (et je les en remercie !) le livre « Tuez qui vous voulez » de Barde-Cabuçon en échange d’une critique, j’ai eu très peur de ne pas aimer. De plus, il faut savoir que ce livre fait partie d’une série de livre des « enquêtes du commissaire aux morts étranges ». N’ayant pas lu les deux précédents livres, je n’en ai pas pour autant était perdu car mis à part quelques allusions aux deux précédentes enquêtes, nul besoin de les avoir lus dans le détail pour apprécier celle-ci. Donc ici, l’auteur nous transporte durant quelques jours de fin décembre, au cœur d’un Paris du milieu 18e siècle. La prostitution bas son plein, la répression policière est à son apogée, les libertés sont bafouées, la religion est omniprésente et la fête des fous se profile à l’horizon ! On doit bien avouer que l’auteur a de la matière pour travailler ! Sans compter que ce livre est un polar et qui dit polar dit… meurtres ! Triple ici ! L’histoire ne se limite pas à une simple interrogation du type « Qui est le coupable ? ». Non ici, l’auteur nous balade entre conflits religieux, conflits politiques, conflits amoureux, conflits familiaux… Cette enquête nous balance dans tous les sens pour nous perdre et nous révéler un meurtrier que l’on ne soupçonnait même pas ! Mais l’histoire tire surtout sa richesse de ses personnages. Outre le commissaire aux morts étrangers, Volnay se son prénom, personnage très ténébreux, intelligent et sérieux, il y a mon chouchou… Le moine, père du commissaire. Un homme en marge de la société, très contemporain dans sa façon de penser, à la réplique humoristique efficace et dont la jeunesse n’est pas à prouver ! Un duo de choc qui fait mouche et on sait tous que les duos dans les polars ont toujours était efficaces ! Enfin, l’auteur nous fait partager une passion pour cette époque. Il ne manque pas de glisser des anecdotes qui n’alourdissent pas pour autant le récit. D’autant plus que l’auteur à un style très direct et ne tourne ainsi jamais autour du pot. Une grande qualité qui fluidifie l’histoire. En conclusion, c’est un bon polar qui m’a agréablement surpris au point de me pousser à lire les précédentes enquêtes du commissaire. Il plaira à tous les amateurs du genre et davantage aux amoureux d’histoire française !
    La Tour Sombre Tome 3
    Terres perdues
    Avis posté le 2013-11-30
      Dieu soit Lud.
      J’entends d’ici les batteries de Lud.(http://www.youtube.com/watch?v=s6VIuQbjDEQ). Durant la lecture et même après, l’univers de la tour sombre m’engloutit. Stephen King nous entraîne ici dans son monde, son esprit, sa folie, son imagination. Avec ce tome 3, nous mettons réellement le pied dans cet univers, les présentations étant faites. On retrouve ainsi nos amis, le ka-tet, quelques mois après l’épisode des portes sur la plage de la mer occidentale. Place à la découverte de ce monde, et ce, sans attendre ! On est transporté dans cet univers étrange où science-fiction, conte, western et fantasy se côtoient avec brio. C’est plusieurs « roues de charrette » que l’on parcourt avec un réel plaisir, avec des sauts dans notre monde via la réalité ou le rêve... On y rencontre des personnages étranges, des personnages d’autres bouquins de King, des personnages terrifiants, des personnages inexistants qui nous hantent, des entités... Puis on arrive dans cette grande cité où on se prend au jeu de courir, de ne pas se trainer, d’être emporté par le récit sans se retourner. Blaine nous terrifie et nous apporte de la sympathie, sentiments qui se mêlent de façon naturelle. Bref, ce roman est de loin le meilleur des trois premiers tomes, il n’y a rien à redire, c’est une merveille. On a juste envie de lire le tome suivant après ce cliffhanger digne de meilleures séries américaines. D’ailleurs il s’agit de cela. Quand je parcours les lignes de ce roman, je ressens la même excitation qu’à l’époque devant un épisode de Lost. Quel rapport me direz-vous ? Les mystères, la découverte, l’horreur, l’attendrissement, la tristesse, l’interactivité, la destinée des personnages (le ka-tet et le ka). Mais qu’attendent les chaines américaines ? Et puis cette fin qui ouvre sur un monde fantastique incroyablement étendu pour finir claustro sur une scène qui nous laisse sans voix. Comment puis-je résister à la lecture ? S’il fallait parler de point négatif : - Le titre du roman que je trouve mal choisi. - Le regret de ne pas avoir vécu les sorties de ces livres et la frustration des fans face à cette fin incroyable. Si ce n’est pas déjà fait, lancez vous dans cette lecture incroyable..
      J’entends d’ici les batteries de Lud.(http://www.youtube.com/watch?v=s6VIuQbjDEQ). Durant la lecture et même après, l’univers de la tour sombre m’engloutit. Stephen King nous entraîne ici dans son monde, son esprit, sa folie, son imagination. Avec ce tome 3, nous mettons réellement le pied dans cet univers, les présentations étant faites. On retrouve ainsi nos amis, le ka-tet, quelques mois après l’épisode des portes sur la plage de la mer occidentale. Place à la découverte de ce monde, et ce, sans attendre ! On est transporté dans cet univers étrange où science-fiction, conte, western et fantasy se côtoient avec brio. C’est plusieurs « roues de charrette » que l’on parcourt avec un réel plaisir, avec des sauts dans notre monde via la réalité ou le rêve... On y rencontre des personnages étranges, des personnages d’autres bouquins de King, des personnages terrifiants, des personnages inexistants qui nous hantent, des entités... Puis on arrive dans cette grande cité où on se prend au jeu de courir, de ne pas se trainer, d’être emporté par le récit sans se retourner. Blaine nous terrifie et nous apporte de la sympathie, sentiments qui se mêlent de façon naturelle. Bref, ce roman est de loin le meilleur des trois premiers tomes, il n’y a rien à redire, c’est une merveille. On a juste envie de lire le tome suivant après ce cliffhanger digne de meilleures séries américaines. D’ailleurs il s’agit de cela. Quand je parcours les lignes de ce roman, je ressens la même excitation qu’à l’époque devant un épisode de Lost. Quel rapport me direz-vous ? Les mystères, la découverte, l’horreur, l’attendrissement, la tristesse, l’interactivité, la destinée des personnages (le ka-tet et le ka). Mais qu’attendent les chaines américaines ? Et puis cette fin qui ouvre sur un monde fantastique incroyablement étendu pour finir claustro sur une scène qui nous laisse sans voix. Comment puis-je résister à la lecture ? S’il fallait parler de point négatif : - Le titre du roman que je trouve mal choisi. - Le regret de ne pas avoir vécu les sorties de ces livres et la frustration des fans face à cette fin incroyable. Si ce n’est pas déjà fait, lancez vous dans cette lecture incroyable..
      No steak
      Avis posté le 2013-06-12
        Pas tout à fait d'accord...
        En tant que citoyen m’inquiétant pour l’avenir de notre planète, que dis-je, de l’humanité plutôt, la planète n’ayant pas besoin de nous pour survivre, je voulais m’intéresser au débat de l’alimentation et du régime carnivore. Aymeric Caron que je connaissais bien entendu par sa place médiatique au sein de l’émission « On n’est pas couché » s’attaque donc à ce sujet, une raison pour moi de lire son livre. Cet essai est d’une grande richesse et parcours de nombreux domaines tel que la politique, l’écologie, la sociologie, l’économie, la religion, l’histoire... Le tout détaillé en huit raisons d’arrêter de manger de la viande. - RAISON N° 1 – PARCE QUE LA VIANDE DÉTRUIT LA PLANÈTE - RAISON N° 2 – PARCE QUE NOUS SOMMES INCOHÉRENTS AVEC LES ANIMAUX - RAISON N° 3 – PARCE QUE L’ON N’ASSUME PAS LA MORT DE L’ANIMAL QUE L’ON MANGE - RAISON N° 4 – PARCE QUE L’AMOUR DE LA VIANDE EST CULTUREL, PAS NATUREL - RAISON N° 5 – PARCE QUE NOUS N’AVONS PAS BESOIN DE VIANDE POUR VIVRE - RAISON N° 6 – PARCE QUE LES ANIMAUX QUE NOUS MANGEONS NOUS RESSEMBLENT - RAISON N° 7 – PARCE QUE LA MORALE NOUS COMMANDE D’ARRÊTER LA VIANDE - RAISON N° 8 – PARCE QUE LE VÉGÉTARISME EST MODERNE DEPUIS DES MILLÉNAIRES Malgré ce découpage, on ne sent pas vraiment une envie de l’auteur de nous mépriser, nous, mangeurs de viande. Bien au contraire, ce livre se repose sur des constats, sur des pensées, sur des déplacements de l’auteur et de ses rencontres avec d’autres personnages ou visions du monde. C’est bien là la force de ce livre ! Concernant le fond maintenant, la première raison dite écologique est amplement justifiée et rejoint même la quatrième raison. Pourquoi mangeons-nous de la viande ? Parce que cela nous procure du plaisir, ce n’est pas vital loin de là, c’est même contre-productif. Pourtant le plaisir n’est-il pas dans le fait de manger autour d’une table avec une bande d’amis ? Nous sommes tellement ancrés dans une société aveugle que nous en oublions bien souvent d’en prendre du recul. Oui l’élevage pollue (30% des GES) et gâche un potentiel énergétique énorme ! De plus, l’auteur le rappelle bien, mais un végétalien ne manquera pas d’éléments essentiels à conditions d’avoir une alimentation raisonnée. Un autre aspect détaillé dans ce roman est l’aspect barbare de l’élevage et du devenir des animaux qui en sortent. On ne peut qu’approuver qu’un élevage intensif soit inhumain et que les pratiques de certains abattoirs laissent à désirer. Seulement, je ne suis pas forcément d’accord avec l’aspect évolutionniste du propos de l’auteur. Il justifie le végétarisme de par la complexité des animaux. Par exemple, pour lui, il est plus normal de manger des végétaux plutôt que de manger des insectes. Du point de vue évolutif, tout cela laisse à désirer : les premiers insectes datant du Dévonien alors que les angiospermes datent du crétacé. Mais bon c’est aussi parce que de mon point de vue, l’entomophagie et la grande solution aux problèmes alimentaires tant la biomasse disponible est conséquente et le rendement énorme. Surtout qu’on oubliant qu’il s’agit de vers ou de criquets, on ne voit pas la différence avec un bon poulet. Le problème ne vient pas tant de l’idée de tuer pour se nourrir mais bien d’adapter notre alimentation à la réalité du monde actuel. Tuer une vache et tout aussi tragique que de tuer un plan de maïs, les deux composant un même agrosystème... Ce qu’il m’a manqué également, c’est peut-être ce lien qu’on aurait pu faire entre les animaux et les végétaux dans le sens, ok les animaux se nourrissent des végétaux mais sont également une richesse vis-à-vis des cultures. Sans oublier que les cultures intensives OGM roundupisé ne valent pas mieux qu’une culture intensive de poules en cages. Bref il faut contraster tout cela, c’est un propos très complexe de notre temps, ce livre bien que complet nécessite des lectures latérales. Déjà bien avant de passer au végétarisme, voir au végétalisme, arrêter de manger de la viande matin, midi et soir, arrêter de prendre des œufs de catégorie 1 2 ou 3, arrêter d’alimenter des multinationales à la con, arrêter de ne pas acheter bio, arrêter de s’empoisonner aux pesticides ou aux nitrates. Devenir un Eco-citoyen responsable qui mange moins mais mieux et qui trouve son plaisir, non pas dans la bouffe, mais dans ces moments partagés autour d’un bon repas sain et équilibré.
        En tant que citoyen m’inquiétant pour l’avenir de notre planète, que dis-je, de l’humanité plutôt, la planète n’ayant pas besoin de nous pour survivre, je voulais m’intéresser au débat de l’alimentation et du régime carnivore. Aymeric Caron que je connaissais bien entendu par sa place médiatique au sein de l’émission « On n’est pas couché » s’attaque donc à ce sujet, une raison pour moi de lire son livre. Cet essai est d’une grande richesse et parcours de nombreux domaines tel que la politique, l’écologie, la sociologie, l’économie, la religion, l’histoire... Le tout détaillé en huit raisons d’arrêter de manger de la viande. - RAISON N° 1 – PARCE QUE LA VIANDE DÉTRUIT LA PLANÈTE - RAISON N° 2 – PARCE QUE NOUS SOMMES INCOHÉRENTS AVEC LES ANIMAUX - RAISON N° 3 – PARCE QUE L’ON N’ASSUME PAS LA MORT DE L’ANIMAL QUE L’ON MANGE - RAISON N° 4 – PARCE QUE L’AMOUR DE LA VIANDE EST CULTUREL, PAS NATUREL - RAISON N° 5 – PARCE QUE NOUS N’AVONS PAS BESOIN DE VIANDE POUR VIVRE - RAISON N° 6 – PARCE QUE LES ANIMAUX QUE NOUS MANGEONS NOUS RESSEMBLENT - RAISON N° 7 – PARCE QUE LA MORALE NOUS COMMANDE D’ARRÊTER LA VIANDE - RAISON N° 8 – PARCE QUE LE VÉGÉTARISME EST MODERNE DEPUIS DES MILLÉNAIRES Malgré ce découpage, on ne sent pas vraiment une envie de l’auteur de nous mépriser, nous, mangeurs de viande. Bien au contraire, ce livre se repose sur des constats, sur des pensées, sur des déplacements de l’auteur et de ses rencontres avec d’autres personnages ou visions du monde. C’est bien là la force de ce livre ! Concernant le fond maintenant, la première raison dite écologique est amplement justifiée et rejoint même la quatrième raison. Pourquoi mangeons-nous de la viande ? Parce que cela nous procure du plaisir, ce n’est pas vital loin de là, c’est même contre-productif. Pourtant le plaisir n’est-il pas dans le fait de manger autour d’une table avec une bande d’amis ? Nous sommes tellement ancrés dans une société aveugle que nous en oublions bien souvent d’en prendre du recul. Oui l’élevage pollue (30% des GES) et gâche un potentiel énergétique énorme ! De plus, l’auteur le rappelle bien, mais un végétalien ne manquera pas d’éléments essentiels à conditions d’avoir une alimentation raisonnée. Un autre aspect détaillé dans ce roman est l’aspect barbare de l’élevage et du devenir des animaux qui en sortent. On ne peut qu’approuver qu’un élevage intensif soit inhumain et que les pratiques de certains abattoirs laissent à désirer. Seulement, je ne suis pas forcément d’accord avec l’aspect évolutionniste du propos de l’auteur. Il justifie le végétarisme de par la complexité des animaux. Par exemple, pour lui, il est plus normal de manger des végétaux plutôt que de manger des insectes. Du point de vue évolutif, tout cela laisse à désirer : les premiers insectes datant du Dévonien alors que les angiospermes datent du crétacé. Mais bon c’est aussi parce que de mon point de vue, l’entomophagie et la grande solution aux problèmes alimentaires tant la biomasse disponible est conséquente et le rendement énorme. Surtout qu’on oubliant qu’il s’agit de vers ou de criquets, on ne voit pas la différence avec un bon poulet. Le problème ne vient pas tant de l’idée de tuer pour se nourrir mais bien d’adapter notre alimentation à la réalité du monde actuel. Tuer une vache et tout aussi tragique que de tuer un plan de maïs, les deux composant un même agrosystème... Ce qu’il m’a manqué également, c’est peut-être ce lien qu’on aurait pu faire entre les animaux et les végétaux dans le sens, ok les animaux se nourrissent des végétaux mais sont également une richesse vis-à-vis des cultures. Sans oublier que les cultures intensives OGM roundupisé ne valent pas mieux qu’une culture intensive de poules en cages. Bref il faut contraster tout cela, c’est un propos très complexe de notre temps, ce livre bien que complet nécessite des lectures latérales. Déjà bien avant de passer au végétarisme, voir au végétalisme, arrêter de manger de la viande matin, midi et soir, arrêter de prendre des œufs de catégorie 1 2 ou 3, arrêter d’alimenter des multinationales à la con, arrêter de ne pas acheter bio, arrêter de s’empoisonner aux pesticides ou aux nitrates. Devenir un Eco-citoyen responsable qui mange moins mais mieux et qui trouve son plaisir, non pas dans la bouffe, mais dans ces moments partagés autour d’un bon repas sain et équilibré.
        Vers l'abîme ?
        Avis posté le 2013-06-12
          Le monde par Morin
          « Vers l’abîme » est un essai d’Edgar Morin publié en 2007 et qui m’a été chaudement recommandé pour me faire une idée de l’œuvre de ce grand penseur de notre époque. Dans cet ouvrage, M. Morin nous dévoile sa vision du monde, aussi bien passée, que présente et future. Il y développe la thèse de la « société-monde » comme une solution à nos nombreux problèmes de relations internationales. Il revient notamment sur l’idée de modernité, sur la vision historique du progrès, sur le bon et mauvais penchant de celui-ci. Il fait de même avec la science, l’économie, la religion… Il revient sur les événements qui ont marqués le XXIe siècle avec notamment le 11 septembre et la « police » américaines contre les terroristes. Il nous démontre ainsi que nous tendons en tous sens vers la mondialisation du tout et du n’importe quoi, mais nous penchons du mauvais côté, vers l’abîme et non vers une société-monde raisonnée et bien pensée. Le seul défaut du livre concerne sa forme : des textes datant de la dernière décennie rejoint sous un recueil : de nombreuses idées, passages, citations se recoupent ce qui donne une lourdeur au livre, c’est dommage.
          « Vers l’abîme » est un essai d’Edgar Morin publié en 2007 et qui m’a été chaudement recommandé pour me faire une idée de l’œuvre de ce grand penseur de notre époque. Dans cet ouvrage, M. Morin nous dévoile sa vision du monde, aussi bien passée, que présente et future. Il y développe la thèse de la « société-monde » comme une solution à nos nombreux problèmes de relations internationales. Il revient notamment sur l’idée de modernité, sur la vision historique du progrès, sur le bon et mauvais penchant de celui-ci. Il fait de même avec la science, l’économie, la religion… Il revient sur les événements qui ont marqués le XXIe siècle avec notamment le 11 septembre et la « police » américaines contre les terroristes. Il nous démontre ainsi que nous tendons en tous sens vers la mondialisation du tout et du n’importe quoi, mais nous penchons du mauvais côté, vers l’abîme et non vers une société-monde raisonnée et bien pensée. Le seul défaut du livre concerne sa forme : des textes datant de la dernière décennie rejoint sous un recueil : de nombreuses idées, passages, citations se recoupent ce qui donne une lourdeur au livre, c’est dommage.
          Georges et les secrets de l'univers
          Avis posté le 2013-06-12
            Un voyage dans les étoiles...
            Voilà maintenant six ans que je veux me procurer ce livre jeunesse sur l’univers, écrit par le grand Stephen Hawking en collaboration avec sa fille Lucy Hawking. L’histoire est celle de Georges, fils de parents hippies extrémistes et passionné de technologie, de découverte et de sciences. Il suffira d’un ordinateur permettant de se promener dans l’univers pour bouleverser sa vie ! L’histoire est, certes, pleine de clichée, ça sent la roman jeunesse, la fin est comme celle qu’on attendait. Mais ce livre n’en est pas moins riche en rebondissement ! Les personnages sont charismatiques, peut-être même trop mais tout cela colle à cet univers. Les écrits sont accompagnés de dessins en noir et blanc illustrant parfaitement les scènes à raison d’une page sur deux. Mais la richesse de ce livre se trouve également dans les documents scientifiques vulgarisant proposés sur des éléments du livre. Des fiches sur les planètes du système solaire, les satellites, les particules, la matière, la masse, les comètes, les exoplanètes… Sans oublier 25 pages en couleurs dotées de photos de très grande qualité de notre univers ! Bref un objet d’une grande valeur scénaristique, visuelle et scientifique que j’aurais adoré avoir entre les mains étant plus jeune ! Cela ne m’empêche pas d’y avoir pris un grand plaisir à la lecture malgré mon âge et mes connaissances !
            Voilà maintenant six ans que je veux me procurer ce livre jeunesse sur l’univers, écrit par le grand Stephen Hawking en collaboration avec sa fille Lucy Hawking. L’histoire est celle de Georges, fils de parents hippies extrémistes et passionné de technologie, de découverte et de sciences. Il suffira d’un ordinateur permettant de se promener dans l’univers pour bouleverser sa vie ! L’histoire est, certes, pleine de clichée, ça sent la roman jeunesse, la fin est comme celle qu’on attendait. Mais ce livre n’en est pas moins riche en rebondissement ! Les personnages sont charismatiques, peut-être même trop mais tout cela colle à cet univers. Les écrits sont accompagnés de dessins en noir et blanc illustrant parfaitement les scènes à raison d’une page sur deux. Mais la richesse de ce livre se trouve également dans les documents scientifiques vulgarisant proposés sur des éléments du livre. Des fiches sur les planètes du système solaire, les satellites, les particules, la matière, la masse, les comètes, les exoplanètes… Sans oublier 25 pages en couleurs dotées de photos de très grande qualité de notre univers ! Bref un objet d’une grande valeur scénaristique, visuelle et scientifique que j’aurais adoré avoir entre les mains étant plus jeune ! Cela ne m’empêche pas d’y avoir pris un grand plaisir à la lecture malgré mon âge et mes connaissances !