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Classique, mais efficace ! Une jolie petite romance qui, bien que très classique, saura vous charmer. Dear !, c’est ce petit parfum d’adolescence à la fois doux et amer. L’amitié est le début de cette histoire, mais c’est donc bien une jolie romance qui en est au cœur. Confusion, déclarations, peines et baisers sont au rendez-vous. ^^ Et l’avantage du format court de la série, c’est que vous n’aurez pas de multiples retournements de situation caractéristiques des longs shôjos ou d’étirements sans fin de l’histoire. C Si vous recherchez une série courte et légère, Dear ! est faite pour vous. ^^ Ma critique complète : http://gekkou.free.fr/index.php/manga-critique-dear-de-mitsuki-kako-tomes-12-complet-lami-aimant/

N’avez-vous jamais eu besoin d’un bon Samaritain pour vous aider à dissimuler un corps après avoir commis un meurtre ? En particulier si vous n’aviez pas calculé ce crime dans les moindres détails. Dans Le Dévouement du suspect X d’Higashino Keigo, il est question de mathématiques. De logique. Et d’une logique impitoyable, méthodique et cruelle. Pourtant, en apparence (et tout sera question d’apparences), ce roman possède l’intrigue la plus transparente et la plus limpide qu’il soit. En effet, nous savons qui est le meurtrier, qui est la victime et comment elle a été tuée dès le départ. Ne reste alors que la façon dont le meurtrier va essayer de cacher le corps… Et heureusement pour la vendeuse de bentôs Yasuko Hanaoka et sa fille qui ont tué l’ex-mari venu les harceler, leur voisin Ishigami est prêt à les aider. Génie et professeur de mathématiques, il va mettre à leur service son intelligence et leur monter un alibi imparable. Mais bientôt, les mathématiques vont se heurter à la physique, représentée par le professeur Yukawa venu aider la police et également un ancien ami d’Ishigami. Le duel entre ces deux génies est d’autant, sinon plus passionnant que le bras de fer entre Ishigami avec la police. Car chacun sait que l’autre sait… Mais le mobile du mathématicien est-il vraiment ce que tout le monde semble croire ? Et si vous doutiez du sens du mot « dévouement », ne vous étonnez pas de celui d’Ishigami envers sa voisine. Personnage dépressif mais passionné, il n’en est que plus impressionnant, mais aussi très effrayant. Le roman est d’ailleurs desservi par une écriture douce et resserrée, pour mieux dissimuler son double-sens. Il suffit de voir Yukawa et Ishigami parler de problèmes et de solutions… Il se lit aussi d’une traite avec un rythme efficace. Pas forcément soutenu, mais efficace. Il ne laisse pas de place à l’ennui ni à des dialogues trop ennuyeux. Au contraire, il faut prêter attention à tout… Car chaque parole est un indice menant à la fin de ce roman.