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Marie-Christine L. - 1

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La fileuse de verre
Avis posté le 2024-06-17
  • italie
  • Venise ( Italie)
  • Murano
  • verriers
Une belle immersion dans le monde des verriers de Murano
La Fileuse de verre de Tracy Chevalier est un roman historique captivant qui nous plonge dans l’univers fascinant des maîtres et apprentis verriers à Murano, en Italie. Nous sommes en 1486 au sein de la famille Rosso, verriers de génération en génération. Mais ce n’est pas l’affaire des femmes jusqu’au jour où un malheur arrive au sein de la famille et que la fille Orsola Rosso, pour éviter la ruine, se lance dans le travail du verre, chose impensable pour une femme. Ainsi, elle façonne en secret des perles de verre et se lance dans le commerce dans le port de Venise… Parviendra-t’elle à sauver sa famille ? Tandis que se succèdent guerres, épidémies, amours et deuils, elle affûte son savoir-faire. Ainsi nous suivons l’histoire d’Orsola à travers les siècles, de Venise à Murano, grâce à un style intéressant de l’auteure, style qui consiste à changer d'époque à chaque chapitre, tout en laissant intacts les personnages sous prétexte que Venise possède son propre espace temps. Les époques se succèdent de 1486 à 2019, et cela nous permet de voir l'évolution de la ville et du commerce au fil des siècles. C’est un peu déroutant au départ puis rapidement nous comprenons le sens de ces « ricochets » dans le temps. J’ai vraiment aimé découvrir cette Venise que je ne connaissais pas, cette évolution dans le temps, les lieux, les décors, les odeurs, et surtout l’artisanat verrier. Nous nous attachons très vite à cette famille et surtout à Orsola, figure féminine d’une force incroyable… Ce roman est captivant et Tracy Chevalier parvient à mêler habilement l’Histoire et l’intimité de cette famille au sein de laquelle chaque membre occupe une place propre au caractère de chacun. Orsola devient très vite notre héroïne, à la fois fragile, cherchant à tout prix la reconnaissance des siens et en même temps habitée par une force et une détermination sans bornes. Lorsque la dernière page est tournée, je suis déjà nostalgique de quitter Orsola mais rien ne vaut une bonne Polenta pour s’en remettre… Belle lecture ! Roman lu dans le cadre d’un partenariat avec Gleeph et la maison d’éditions La Table Ronde. Merci pour la belle découverte !
La Fileuse de verre de Tracy Chevalier est un roman historique captivant qui nous plonge dans l’univers fascinant des maîtres et apprentis verriers à Murano, en Italie. Nous sommes en 1486 au sein de la famille Rosso, verriers de génération en génération. Mais ce n’est pas l’affaire des femmes jusqu’au jour où un malheur arrive au sein de la famille et que la fille Orsola Rosso, pour éviter la ruine, se lance dans le travail du verre, chose impensable pour une femme. Ainsi, elle façonne en secret des perles de verre et se lance dans le commerce dans le port de Venise… Parviendra-t’elle à sauver sa famille ? Tandis que se succèdent guerres, épidémies, amours et deuils, elle affûte son savoir-faire. Ainsi nous suivons l’histoire d’Orsola à travers les siècles, de Venise à Murano, grâce à un style intéressant de l’auteure, style qui consiste à changer d'époque à chaque chapitre, tout en laissant intacts les personnages sous prétexte que Venise possède son propre espace temps. Les époques se succèdent de 1486 à 2019, et cela nous permet de voir l'évolution de la ville et du commerce au fil des siècles. C’est un peu déroutant au départ puis rapidement nous comprenons le sens de ces « ricochets » dans le temps. J’ai vraiment aimé découvrir cette Venise que je ne connaissais pas, cette évolution dans le temps, les lieux, les décors, les odeurs, et surtout l’artisanat verrier. Nous nous attachons très vite à cette famille et surtout à Orsola, figure féminine d’une force incroyable… Ce roman est captivant et Tracy Chevalier parvient à mêler habilement l’Histoire et l’intimité de cette famille au sein de laquelle chaque membre occupe une place propre au caractère de chacun. Orsola devient très vite notre héroïne, à la fois fragile, cherchant à tout prix la reconnaissance des siens et en même temps habitée par une force et une détermination sans bornes. Lorsque la dernière page est tournée, je suis déjà nostalgique de quitter Orsola mais rien ne vaut une bonne Polenta pour s’en remettre… Belle lecture ! Roman lu dans le cadre d’un partenariat avec Gleeph et la maison d’éditions La Table Ronde. Merci pour la belle découverte !
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