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Les exilés de Byzance
Avis posté le 2025-01-15
Dommage pour les incohérences…
Le titre du livre est très prometteur. Au début, on découvre l’histoire de deux frères séparés suite à la chute de Byzance avec leurs parcours respectifs en Russie et au Proche-Orient à travers les siècles. Très rapidement on est surpris par un saut dans le temps où l’histoire des premières générations est à peine évoquée. Ensuite, les références aux personnages successifs et les liens entre eux ne sont pas toujours très clairs dans le texte. Heureusement, il y a l’arbre généalogique à la fin qui sauve la mise et, si on veut bien suivre, on doit le consulter très souvent. Enfin, il y a plusieurs incohérences chronologiques, notamment les âges des personnages en rapport avec les événements successifs de leur vie. Par exemple, page 432, les parents de Constantin meurent dans un accident de voiture lorsqu’il avait deux ans (donc en 1902, puisqu’il est né en 1900) et, page 449, en 1930, Constantin “consternait son père en refusant de lui succéder “… dommage! Le livre reste agréable à lire si on fait abstraction des nombreuses incohérences.
Le titre du livre est très prometteur. Au début, on découvre l’histoire de deux frères séparés suite à la chute de Byzance avec leurs parcours respectifs en Russie et au Proche-Orient à travers les siècles. Très rapidement on est surpris par un saut dans le temps où l’histoire des premières générations est à peine évoquée. Ensuite, les références aux personnages successifs et les liens entre eux ne sont pas toujours très clairs dans le texte. Heureusement, il y a l’arbre généalogique à la fin qui sauve la mise et, si on veut bien suivre, on doit le consulter très souvent. Enfin, il y a plusieurs incohérences chronologiques, notamment les âges des personnages en rapport avec les événements successifs de leur vie. Par exemple, page 432, les parents de Constantin meurent dans un accident de voiture lorsqu’il avait deux ans (donc en 1902, puisqu’il est né en 1900) et, page 449, en 1930, Constantin “consternait son père en refusant de lui succéder “… dommage! Le livre reste agréable à lire si on fait abstraction des nombreuses incohérences.

Les exilés de Byzance
Avis posté le 2025-01-15
Dommage pour les incohérences…
Le titre du livre est très prometteur. Au début, on découvre l’histoire de deux frères séparés suite à la chute de Byzance avec leurs parcours respectifs en Russie et au Proche-Orient à travers les siècles. Très rapidement on est surpris par un saut dans le temps où l’histoire des premières générations est à peine évoquée. Ensuite, les références aux personnages successifs et les liens entre eux ne sont pas toujours très clairs dans le texte. Heureusement, il y a l’arbre généalogique à la fin qui sauve la mise et, si on veut bien suivre, on doit le consulter très souvent. Enfin, il y a plusieurs incohérences chronologiques, notamment les âges des personnages en rapport avec les événements successifs de leur vie. Par exemple, page 432, les parents de Constantin meurent dans un accident de voiture lorsqu’il avait deux ans (donc en 1902, puisqu’il est né en 1900) et, page 449, en 1930, Constantin “consternait son père en refusant de lui succéder “… dommage! Le livre reste agréable à lire si on fait abstraction des nombreuses incohérences.
Le titre du livre est très prometteur. Au début, on découvre l’histoire de deux frères séparés suite à la chute de Byzance avec leurs parcours respectifs en Russie et au Proche-Orient à travers les siècles. Très rapidement on est surpris par un saut dans le temps où l’histoire des premières générations est à peine évoquée. Ensuite, les références aux personnages successifs et les liens entre eux ne sont pas toujours très clairs dans le texte. Heureusement, il y a l’arbre généalogique à la fin qui sauve la mise et, si on veut bien suivre, on doit le consulter très souvent. Enfin, il y a plusieurs incohérences chronologiques, notamment les âges des personnages en rapport avec les événements successifs de leur vie. Par exemple, page 432, les parents de Constantin meurent dans un accident de voiture lorsqu’il avait deux ans (donc en 1902, puisqu’il est né en 1900) et, page 449, en 1930, Constantin “consternait son père en refusant de lui succéder “… dommage! Le livre reste agréable à lire si on fait abstraction des nombreuses incohérences.