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L'Invention de l'histoire
Avis posté le 2023-01-25
- famille
Vendre et acheter la Tour Eiffel : Le pourquoi du comment.
Thomas est un homme qui doute de nature. Aujourd’hui père de famille séparé de sa conjointe et au chômage après avoir travaillé deux décennies dans la pub, il s’interroge sérieusement et tente, bon gré mal gré, de trouver des réponses. Surtout le jour où son fils lui demande en guise de devoir pour l’école de retracer son arbre généalogique. Cet évènement le ramène à sa propre expérience enfant, trente ans plus tôt, où il apprit que son arrière-grand-père, dans les années vingt, a fait l’acquisition de la Tour Eiffel. Histoire vraie ? Thomas se dit que le moment est venu d’en avoir le cœur net.
Bien que le narrateur nous emmène avec lui parcourir à pied, en train ou en voiturette tous les chemins de Marennes et de Paris, L’invention de l’histoire est une quête avant tout introspective. L’heure est venue pour lui de remettre en question sa croyance depuis toujours : sa famille a-t-elle vraiment acheté la Tour Eiffel à ce Victor Lustig, mondialement connu comme « l’homme qui vendit la Tour Eiffel » et le plus grand arnaqueur de son siècle? À ce sujet, vaste est le questionnement de l’homme qui doute...
À travers les joies, les peines et les autodérisions de Thomas et animé par la franche camaraderie de sa médiathèque, quartier général et haut-lieu de ses investigations, ce livre est tout simplement drôle. Et l’on comprend à la fin le pourquoi du comment vendre et acheter la Dame de Fer de Paris.
Pour ma part, j’ai beaucoup ri. Je recommande.
Thomas est un homme qui doute de nature. Aujourd’hui père de famille séparé de sa conjointe et au chômage après avoir travaillé deux décennies dans la pub, il s’interroge sérieusement et tente, bon gré mal gré, de trouver des réponses. Surtout le jour où son fils lui demande en guise de devoir pour l’école de retracer son arbre généalogique. Cet évènement le ramène à sa propre expérience enfant, trente ans plus tôt, où il apprit que son arrière-grand-père, dans les années vingt, a fait l’acquisition de la Tour Eiffel. Histoire vraie ? Thomas se dit que le moment est venu d’en avoir le cœur net.
Bien que le narrateur nous emmène avec lui parcourir à pied, en train ou en voiturette tous les chemins de Marennes et de Paris, L’invention de l’histoire est une quête avant tout introspective. L’heure est venue pour lui de remettre en question sa croyance depuis toujours : sa famille a-t-elle vraiment acheté la Tour Eiffel à ce Victor Lustig, mondialement connu comme « l’homme qui vendit la Tour Eiffel » et le plus grand arnaqueur de son siècle? À ce sujet, vaste est le questionnement de l’homme qui doute...
À travers les joies, les peines et les autodérisions de Thomas et animé par la franche camaraderie de sa médiathèque, quartier général et haut-lieu de ses investigations, ce livre est tout simplement drôle. Et l’on comprend à la fin le pourquoi du comment vendre et acheter la Dame de Fer de Paris.
Pour ma part, j’ai beaucoup ri. Je recommande.

Le mur de l'Atlantique
Avis posté le 2023-01-18
- mémoires
Le roman d’un adieu aux lieux de l’enfance.
La maison familiale située Chemin du Péré au bord de la Charente,à quelques encablures de l’océan, où les enfants avaient pour habitude de passer les vacances , est vendue. Aujourd’hui est la dernière occasion de la visiter avant que n’y aménagent les nouveaux acquéreurs.
Lors de cette excursion, la narratrice, sans jamais se nommer, nous raconte les souvenirs heureux des lieux de son enfance.
À ses côtés, nous revisitons tous les recoins du domaine : la bâtisse, le jardin, le poulailler… avec immanquablement une anecdote amusante en réserve.
Arrive ensuite le moment de regarder les albums aux photographies anciennes. À la vue de ces images et de ces portraits, elle se remémore l’histoire de ses grand-parents Valentino et Giacomina arrivés en France depuis l’Italie dans les années quarante. Braves et travailleurs, le Nonno et la Nonna sont le socle de la famille. Ils ont eu quatre enfants et tous ont été naturalisés français.
Enfin nous partons en exploration en direction de l’Avenue de l’Île Madame. Sur place, nous découvrons le fort Lupin et autres lieux historiques d’une lumière différente. À la manière d’une guide, la narratrice nous explique le passé de ces lieux qu’on appelle le mur de l’Atlantique.
En toute aisance et confidence, Olivia Ressenterra nous transporte vers des endroits et des lieux-dits aux noms pittoresques et parfois méconnus. Le mur de l’Atlantique raconte le pèlerinage de la narratrice et, entre les lignes, la nostalgie du bonheur simple et rustique. Avec pléthore d’images et détails à foison, ce roman est un tendre hommage à la mémoire de ses grands-parents et à sa famille. Je recommande chaleureusement.
La maison familiale située Chemin du Péré au bord de la Charente,à quelques encablures de l’océan, où les enfants avaient pour habitude de passer les vacances , est vendue. Aujourd’hui est la dernière occasion de la visiter avant que n’y aménagent les nouveaux acquéreurs.
Lors de cette excursion, la narratrice, sans jamais se nommer, nous raconte les souvenirs heureux des lieux de son enfance.
À ses côtés, nous revisitons tous les recoins du domaine : la bâtisse, le jardin, le poulailler… avec immanquablement une anecdote amusante en réserve.
Arrive ensuite le moment de regarder les albums aux photographies anciennes. À la vue de ces images et de ces portraits, elle se remémore l’histoire de ses grand-parents Valentino et Giacomina arrivés en France depuis l’Italie dans les années quarante. Braves et travailleurs, le Nonno et la Nonna sont le socle de la famille. Ils ont eu quatre enfants et tous ont été naturalisés français.
Enfin nous partons en exploration en direction de l’Avenue de l’Île Madame. Sur place, nous découvrons le fort Lupin et autres lieux historiques d’une lumière différente. À la manière d’une guide, la narratrice nous explique le passé de ces lieux qu’on appelle le mur de l’Atlantique.
En toute aisance et confidence, Olivia Ressenterra nous transporte vers des endroits et des lieux-dits aux noms pittoresques et parfois méconnus. Le mur de l’Atlantique raconte le pèlerinage de la narratrice et, entre les lignes, la nostalgie du bonheur simple et rustique. Avec pléthore d’images et détails à foison, ce roman est un tendre hommage à la mémoire de ses grands-parents et à sa famille. Je recommande chaleureusement.

Le mur de l'Atlantique
Avis posté le 2023-01-18
- mémoires
Le roman d’un adieu aux lieux de l’enfance.
La maison familiale située Chemin du Péré au bord de la Charente,à quelques encablures de l’océan, où les enfants avaient pour habitude de passer les vacances , est vendue. Aujourd’hui est la dernière occasion de la visiter avant que n’y aménagent les nouveaux acquéreurs.
Lors de cette excursion, la narratrice, sans jamais se nommer, nous raconte les souvenirs heureux des lieux de son enfance.
À ses côtés, nous revisitons tous les recoins du domaine : la bâtisse, le jardin, le poulailler… avec immanquablement une anecdote amusante en réserve.
Arrive ensuite le moment de regarder les albums aux photographies anciennes. À la vue de ces images et de ces portraits, elle se remémore l’histoire de ses grand-parents Valentino et Giacomina arrivés en France depuis l’Italie dans les années quarante. Braves et travailleurs, le Nonno et la Nonna sont le socle de la famille. Ils ont eu quatre enfants et tous ont été naturalisés français.
Enfin nous partons en exploration en direction de l’Avenue de l’Île Madame. Sur place, nous découvrons le fort Lupin et autres lieux historiques d’une lumière différente. À la manière d’une guide, la narratrice nous explique le passé de ces lieux qu’on appelle le mur de l’Atlantique.
En toute aisance et confidence, Olivia Ressenterra nous transporte vers des endroits et des lieux-dits aux noms pittoresques et parfois méconnus. Le mur de l’Atlantique raconte le pèlerinage de la narratrice et, entre les lignes, la nostalgie du bonheur simple et rustique. Avec pléthore d’images et détails à foison, ce roman est un tendre hommage à la mémoire de ses grands-parents et à sa famille. Je recommande chaleureusement.
La maison familiale située Chemin du Péré au bord de la Charente,à quelques encablures de l’océan, où les enfants avaient pour habitude de passer les vacances , est vendue. Aujourd’hui est la dernière occasion de la visiter avant que n’y aménagent les nouveaux acquéreurs.
Lors de cette excursion, la narratrice, sans jamais se nommer, nous raconte les souvenirs heureux des lieux de son enfance.
À ses côtés, nous revisitons tous les recoins du domaine : la bâtisse, le jardin, le poulailler… avec immanquablement une anecdote amusante en réserve.
Arrive ensuite le moment de regarder les albums aux photographies anciennes. À la vue de ces images et de ces portraits, elle se remémore l’histoire de ses grand-parents Valentino et Giacomina arrivés en France depuis l’Italie dans les années quarante. Braves et travailleurs, le Nonno et la Nonna sont le socle de la famille. Ils ont eu quatre enfants et tous ont été naturalisés français.
Enfin nous partons en exploration en direction de l’Avenue de l’Île Madame. Sur place, nous découvrons le fort Lupin et autres lieux historiques d’une lumière différente. À la manière d’une guide, la narratrice nous explique le passé de ces lieux qu’on appelle le mur de l’Atlantique.
En toute aisance et confidence, Olivia Ressenterra nous transporte vers des endroits et des lieux-dits aux noms pittoresques et parfois méconnus. Le mur de l’Atlantique raconte le pèlerinage de la narratrice et, entre les lignes, la nostalgie du bonheur simple et rustique. Avec pléthore d’images et détails à foison, ce roman est un tendre hommage à la mémoire de ses grands-parents et à sa famille. Je recommande chaleureusement.